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7 oct. 2019

France : Pourquoi les féministes françaises regardent ailleurs quand les hommes meurent ?

 La perversion de la cité commence par la fraude des mots
Platon



Pour ceux qui n'écoutent que les féministes françaises, cette réalité n'existe pas. En effet, les féministes françaises sont connues pour dénoncer le patriarcat et ne choisir que des exemples qui vont dans le sens de leurs théories fallacieuses telles des religieuses cherchant des signes d'existence d'un Dieu.



Aussi bien pour le mythe des féminicides qui devraient s'appeler Uxoricides pour être exact mais qui obligeraient les féministes françaises à prendre en considération non par les violences faites aux femmes mais les violences conjugales dans leur globalité et leur complexité.
A savoir que lors de la mort d'un des deux conjoints, pour les féministes, tout est meurtre. Ainsi, un homme qui se suicide par immolation causant l'incendie de la maison où il se trouve, la femme meurt à cause de l'incendie. Les féministes considèrent le suicide de cet homme comme un féminicide car la femme est morte après. Dans le cadre des morts lors de violences conjugales, les féministes françaises font l'impasse aussi bien sur le fait qu'un homme est tué par sa femme tous les 13 jours en France que sur les viols de lesbiennes par leur conjointe ou les viols d'hommes par des femmes. Et pour conclure sur ce point : 70% des affaires de mort suite à des violences conjugales, la femme est à l'origine des violences. Silence des féministes. Quand la réalité ne leur plait pas, elles ne communiquent pas dessus. Les religieuses féministes n'aiment pas le réel, elles préfèrent le déni.


Yann Carrière, psychologue clinicien, présente son ouvrage, "Du sexisme au fascisme ?".
Un recueil de 7 textes axant la réflexion sur le traitement différencié des hommes et des femmes dans notre société occidentale depuis plusieurs décennies. Une critique sans concession du militantisme féministe moderne qui amène à opposer les femmes aux hommes, accompagnée d'une analyse singulière des mécanismes psychologiques qui sous-tendent ces prises de position et de ses effets sur nos croyances et attitudes quant à la situation actuelle des femmes.
Au menu :
5:24 - Pourquoi le terme fascisme n'est pas trop fort pour désigner le féminisme
11:36 - La suppression de l'identité de genre (et par extension, des différences remarquables) comme outil de purification fasciste de la société
19:36 - Comment le contrôle de la définition de l'égalité par le féminisme lui permet d'écraser l'égalité de droit par son idéologie
23:23 - Construire l'image de "l'ennemi": cas d'usage avec les violences conjugales et les inégalités salariales

Concernant le travail où les féministes françaises ne cessent de crier aux inégalités. Là, encore leur aveuglement est formidable. Les inégalités salariales ne sont que de 4% entre hommes et femmes et résultent le plus souvent d'un choix de vie et non d'une discrimination.
A savoir que les études montrent que les temps partiels majoritairement féminins sont choisis par les femmes et non subis, que les absences au travail plus importantes chez les femmes ce qui fait qu'elles sont moins productives que les hommes et elles négocient moins leur salaire que les hommes. Quand on demande à une femme si elle préfère un temps partiel ou un temps plein, elle répond un temps partiel comme l'a démontré une étude américaine récemment. 
Mais concernant le travail, une violence que taisent les féministes est celle de la mort au travail. Tant la presse fait ses choux gras quand une directrice d'école se suicide au travail mais rien quand plus de 200 hommes font la même chose.

A ce titre, le saviez-vous ?

Le taux de suicide des garçons et des filles agés de moins de 10 ans le même.

Entre 10 et 14 ans : le taux de suicide est deux fois supérieur pour les garçons.
Entre 15 et 19 ans : le taux de suicide est quatre fois supérieur pour les garçons.
Entre 20 et 25 ans : le taux de suicide est cinq fois supérieur pour les garçons.

Les féministes préfèrent axer leur communication sur les tentatives de suicide des femmes et non sur les morts des hommes. Elles se prétendent humanistes, comble du cynisme.
 

Pour conclure sur les morts des accidents du travail sont plus que majoritairement des hommes, silence radio des féministes françaises : Une cartographie des morts au travail. (2 femmes pour plus de 250 hommes)


Concernant nos affirmations, comme nous savons que les féministes françaises rétorqueront que c'est faux,0 voici trois vidéos pour expliquer les manipulations des féministes françaises et les sources des études nous permettant d'écrire nos affirmations !

Uxoricides


L'écart de salaires


Les viols d'hommes par les femmes 

6 oct. 2019

PMA / GPA : Les impacts sur les enfants que la France préfère ignorer face au chantage des LGBT français


Impact sur les enfants

Selon David Blankenhorn , [20] Patrick Fagan , [21] Mitch Pearlstein [22], David Popenoe [23] et Barbara Dafoe Whitehead [24] , le fait de vivre dans une famille monoparentale est fortement corrélé à l'échec scolaire et aux problèmes de délinquance, de drogue utilisation, grossesses précoces, pauvreté et dépendance à l’aide sociale aux États-Unis. En utilisant une modélisation à plusieurs niveaux, Suet-Ling Pong a montré qu’une forte proportion d’enfants américains issus de familles monoparentales obtenaient de piètres résultats en tests de mathématiques et en lecture. [25] [26]
 
En Suède, Emma Fransson et al. ont montré que le bien-être physique, la santé mentale, l’amitié entre amis, l’intimidation, les activités culturelles, les sports et les relations familiales des enfants vivant avec un seul parent étaient plus dégradés que ceux des enfants de familles intactes. En revanche, les enfants bénéficiant d'un partage des responsabilités parentales qui vivent à peu près autant que leurs père et mère divorcés jouissent du même bien-être que les enfants de familles intactes et obtiennent de meilleurs résultats que les enfants avec un seul parent gardien. [27]
 
L' Office des statistiques nationales du Royaume-Uni a signalé que les enfants de parents célibataires, après contrôle d'autres variables telles que le revenu familial, sont plus susceptibles d'avoir des problèmes, notamment deux fois plus susceptibles de souffrir de maladie mentale. Des chercheurs britanniques et américains ont montré que les enfants sans père étaient trois fois plus susceptibles d’être malheureux et qu’ils étaient également plus susceptibles d’avoir un comportement antisocial, d’abuser de la drogue et de se livrer à la délinquance juvénile. [29] [30] [31] [32]

Wikipedia 

A cela, il faut rajouter l'effet Cendrillon :

Les "parents d'intention" non biologiques sont plus violents que les parents biologiques. Pour 1 violence pour 1000 parents biologiques, l'étude Daly et Wilson montre 12 violences pour 1000 parents non biologiques. La même étude montre que dans les familles recomposées, les "parents d'intention" sont plus violents avec leurs enfants non biologiques qu'avec leurs enfants biologiques. Vous pouvez également lire l'étude de Boris Cyrulnik sur la biologie de l'attachement. puisque ce monsieur est le maitre à penser des 1000 premiers jours de l'enfant depuis l'action lancée par la présidence française Macron

Et pour conclure, sur les impacts et violences sur les enfants, il faut rajouter les violences conjugales qui sont plus importantes dans les couples de lesbiennes que dans les couples d'hétérosexuels et d'homosexuels hommes comme l'a démontré la CDC, l'équivalent de l'Insee au Canada. 
Une femme lesbienne a 44% de probabilités d'être violée par sa compagne. Une femme bisexuelle, 56% d'être violée par sa compagne et une femme hétérosexuelle  a 35% de probabilités d'être violée par son compagnon.

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4 oct. 2019

France PMA / GPA : Les hétérosexuels (toujours) autorisés à s'accoupler pour faire des enfants.

La déchéance de la France se poursuit !

Nous comprenons la logique du discours d'Aurore Bergé, car pour certains représentants et promoteurs des PMA / GPA, les hétérosexuels qui font des enfants naturellement stigmatiseraient les couples de lesbiennes et d'homosexuels qui doivent recourir à la PMA / GPA.

Quand les féministes lesbiennes, après leur victoire pour la parentalité à la filiation fictive proposent des thérapies de conversion aux hétérosexuelles car d'après elles, on peut devenir Lesbiennes par choix. Nous comprenons mieux la déchéance intellectuelle qui traverse le mouvement féministe français.

https://www.lesinrocks.com/2019/09/20/actualite/societe/a-paris-un-festival-feministe-propose-de-sortir-de-lheterosexualite/

Et pour conclure, un amendement déposé par la France Insoumise pour faire interdire les mentions d'homme et femme sur l'état civil car cela discriminerait les transsexuels.


Quand, sur la base d'une étude anglaise sur les changements de sexe qui ont augmenté de 5 377 % ces dix dernières années et que ces opérations sont préconisées par les associations LGBT de plus en plus tôt, le nombre de personnes regrettant leur changement de sexe augmente de plus en plus.

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