Marcel Campion « Moi, j’ai rien contre les homos, d’habitude, je dis les « pédés »,
mais on m’a dit hier qu’il fallait plus que je dise ça. Donc je ne dis
plus les pédés, je dis les homos. J’ai rien contre eux, sauf qu’ils sont
un peu pervers. ». « Lui c’est le plus beau. C’est lui qui commande toute la ville. Il
arrive des syndicats des étudiants (l’Unef) », commence-t-il avant de
verser dans l’homophobie : « Comme il était un peu de la jaquette, il a
rencontré Delanoë, ils ont fait leur folie ensemble et paf ! Il est
premier adjoint. Et avec Anne Hidalgo, il est super parce qu’en même
temps il lui a amené tous les homos de la terre. C’est-à-dire que toute
la ville, maintenant, est gouvernée par des homos. ».
Pour l’Élysée, il y a les bons et mauvais homophobes comme les bons et mauvais antisémites. C'est une particularité française difficile à comprendre, tout dépend qui tient le propos. Venant d'une présidence qui en est à se maquiller les mains, la symbolique est déjà là.
Pour l’Élysée, il y a les bons et mauvais homophobes comme les bons et mauvais antisémites. C'est une particularité française difficile à comprendre, tout dépend qui tient le propos. Venant d'une présidence qui en est à se maquiller les mains, la symbolique est déjà là.
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