Des statistiques aux actions ?
Quand nous nous basons sur des statistiques pour déterminer des actions de remédiations afin d'améliorer le couplage Formation-Emploi, il faut s'assurer que la Data sera significative et non anecdotique.
Avec les statistiques de consultation du blog Code 7H99, les articles les plus consultés sont :
- Les 5 grandes théories de l'apprentissage
- Le salaire en intérim
- Les primes en intérim
- La marge brute et l'intérim
- L'accident du travail en intérim
- L'impact des contrôleurs du Pôle Emploi
- L'indemnité de fin de mission
- Des Tests managériaux
- La signature du contrat de travail
Nous pourrions en déduire, à première analyse, qu'il s'agit des 9 centres de préoccupation chez un individu lambda. Nous manqueraient-ils des élèments ? Toute la question est là.
Nous pourrions consulter en complément les analyses et méta-analyses des chercheurs afin de développer l'angle de vue pour obtenir une vision plus globale du pont entre l'éducation et la formation avec l'emploi et son avenir.
Or, quand un pont s'effondre, le cas du Pont de Tahoma, ce n'est pas la résonance entre un élément extérieur au pont le vent avec un des élèments de construction du pont mais Voir notre article sur les systèmes prédictifs.
Et, si le système développe ses propres propriétés, elles ne sont pas nécessairement celles de l'individu, ce qui peut conduire à des résistances, des conflits, des refus temporaires ou permanents ou une amélioration significative pour l'individu.
L'éducation et l'apprentissage questionnent tant par la modalité des solutions que par leur idéologie qui peuvent être sous-jacentes. Les méthodes éducatives Les 5 grandes théories de l'apprendre ont évolué en plusieurs siècles comme les modalités d'apprentissage et du travail. Certaines s'interconnectent et permettent alors une transition, d'autres non. Ce point d'équilibre du système sera alors modifié entre le poids de ceux qui réussissent et ceux qui échouent.
Quels seront alors les critères de réussite et d'échec à prendre en considération afin d'améliorer la situation professionnelle d'un des individus en échec ?
Prenons l'exemple d'un professionnel en réussite qui va avoir un accident de la vie et voir ainsi tout son environnement modifié ainsi que sa propre perception de ce même système puisque n'étant plus le même, son regard, ses interactions ne seront plus jamais les mêmes.
Nous connaissons et nous avons vu l'évolution de ce genre de personnes. Des professionnels en réussite connaissant un accident les incapacitants à plus de 80% ou moins, quel avenir pour eux ?
D'après ce que l'on entend ici ou là, les corps intermédiaires seraient en charge d'y remédier afin d'apporter une réponse personnalisée mais sans concertation. Là est le hic.
L'exemple qui va suivre n'est pas inspiré d'un cas réel mais extrait d'un cas réel.
Un cuisinier excellent, faisant le travail de 3 personnes habituellement mais payé guère plus qu'un cuisinier Lambda. Il compense par quelques vols de nourriture, fait des extra en complément.
> Accident de la vie > Handicap à plus de 80% à l'issue
Et, si le système développe ses propres propriétés, elles ne sont pas nécessairement celles de l'individu, ce qui peut conduire à des résistances, des conflits, des refus temporaires ou permanents ou une amélioration significative pour l'individu.
L'éducation et l'apprentissage questionnent tant par la modalité des solutions que par leur idéologie qui peuvent être sous-jacentes. Les méthodes éducatives Les 5 grandes théories de l'apprendre ont évolué en plusieurs siècles comme les modalités d'apprentissage et du travail. Certaines s'interconnectent et permettent alors une transition, d'autres non. Ce point d'équilibre du système sera alors modifié entre le poids de ceux qui réussissent et ceux qui échouent.
Quels seront alors les critères de réussite et d'échec à prendre en considération afin d'améliorer la situation professionnelle d'un des individus en échec ?
Prenons l'exemple d'un professionnel en réussite qui va avoir un accident de la vie et voir ainsi tout son environnement modifié ainsi que sa propre perception de ce même système puisque n'étant plus le même, son regard, ses interactions ne seront plus jamais les mêmes.
Nous connaissons et nous avons vu l'évolution de ce genre de personnes. Des professionnels en réussite connaissant un accident les incapacitants à plus de 80% ou moins, quel avenir pour eux ?
D'après ce que l'on entend ici ou là, les corps intermédiaires seraient en charge d'y remédier afin d'apporter une réponse personnalisée mais sans concertation. Là est le hic.
L'exemple qui va suivre n'est pas inspiré d'un cas réel mais extrait d'un cas réel.
Un cuisinier excellent, faisant le travail de 3 personnes habituellement mais payé guère plus qu'un cuisinier Lambda. Il compense par quelques vols de nourriture, fait des extra en complément.
> Accident de la vie > Handicap à plus de 80% à l'issue
Il va y avoir tout le parcours médical où la connaissance et les relations de ce cuisinier permettront de déterminer l'établissement le plus apte à faire les soins et la rééducation.
Un groupe d'experts déterminera à l'issue son degré d'invalidité lui permettant ou non de retrouver un emploi.
Manque dans cette analyse, l'avis des familles qui sont sans connaissance médicale ni juridique et ne peuvent que s'en remettre à l'avis des experts. Quid quand la famille est à 500 Km de la victime et que la victime est accompagnée par un tiers dit de confiance avec nul contact avec la famille ?
Dans notre exemple, le tiers de confiance dans sa fonction support ne pouvait lui-même plus avoir de temps disponible pour sa propre vie. Les aidants connaissent cette situation. Une difficulté pour tous.
Car, le déclaratif de l'accidenté ne correspond plus à son quotidien, à ses problématiques et impossibilités sans que ce dernier en ait conscience. Une difficulté supplémentaire.
Les études universitaires auprès des traumatisés crâniens sévères permettent de voir l'évolution à 5 ou 8 ans mais guère plus, ce type de recherches étant nouveau et nécessitant une interconnexion avec d'autres spécialistes où ce nouveau savoir doit être intégré dans leur base de connaissances et de pratiques.
Or, tant un ignorant ou considéré comme tel sera moqué et on lui imposera de croire tant un docteur expliquera avec son savoir certifié par diplôme Bac+8 que non, peut-être, et si vous lui dites que c'est lui l'ignorant, il répondra comment un niveau bac peut se permettre de critiquer un Bac+8.
Quel tropisme où le dialogue devient impossible alors même que ces deux parties ne visent qu'un meilleur avenir pour l'accidenté. La situation d'entre-aide se transforme en relation d'incompréhension, de mépris voir de refus avec un changement de médecin et non de famille !
Mais le médecin, lui, continuera à perpétuer son ignorance pour différentes raisons sans remise en cause. L'exemple du syndicat de médecins menaçant de ne plus faire d'IVG si les négociations n'avancent plus. La femme devenant otage d'une situation qui lui est extérieure, où elle n'a pas son mot à dire si ce n'est d'exprimer des craintes et l'impact potentiel sur sa propre vie à ce moment-là.
Dans notre exemple, le cuisinier est en CDI, il bénéficie de toutes les protections sociales, quid s'il était intérimaire ou au Rsa ?
De la reconnaissance de l'accident aux solutions déployées, l'avenir n'est plus le même, la prise en charge est différente, les difficultés s'accumulent en dépit du droit et du "bon sens".
Dans ce cadre, la signature du contrat de travail devient impossible. Que devient la personne handicapée ? Que devient l'aidant initial ?
Un groupe d'experts déterminera à l'issue son degré d'invalidité lui permettant ou non de retrouver un emploi.
Manque dans cette analyse, l'avis des familles qui sont sans connaissance médicale ni juridique et ne peuvent que s'en remettre à l'avis des experts. Quid quand la famille est à 500 Km de la victime et que la victime est accompagnée par un tiers dit de confiance avec nul contact avec la famille ?
Dans notre exemple, le tiers de confiance dans sa fonction support ne pouvait lui-même plus avoir de temps disponible pour sa propre vie. Les aidants connaissent cette situation. Une difficulté pour tous.
Car, le déclaratif de l'accidenté ne correspond plus à son quotidien, à ses problématiques et impossibilités sans que ce dernier en ait conscience. Une difficulté supplémentaire.
Les études universitaires auprès des traumatisés crâniens sévères permettent de voir l'évolution à 5 ou 8 ans mais guère plus, ce type de recherches étant nouveau et nécessitant une interconnexion avec d'autres spécialistes où ce nouveau savoir doit être intégré dans leur base de connaissances et de pratiques.
Or, tant un ignorant ou considéré comme tel sera moqué et on lui imposera de croire tant un docteur expliquera avec son savoir certifié par diplôme Bac+8 que non, peut-être, et si vous lui dites que c'est lui l'ignorant, il répondra comment un niveau bac peut se permettre de critiquer un Bac+8.
Quel tropisme où le dialogue devient impossible alors même que ces deux parties ne visent qu'un meilleur avenir pour l'accidenté. La situation d'entre-aide se transforme en relation d'incompréhension, de mépris voir de refus avec un changement de médecin et non de famille !
Mais le médecin, lui, continuera à perpétuer son ignorance pour différentes raisons sans remise en cause. L'exemple du syndicat de médecins menaçant de ne plus faire d'IVG si les négociations n'avancent plus. La femme devenant otage d'une situation qui lui est extérieure, où elle n'a pas son mot à dire si ce n'est d'exprimer des craintes et l'impact potentiel sur sa propre vie à ce moment-là.
Dans notre exemple, le cuisinier est en CDI, il bénéficie de toutes les protections sociales, quid s'il était intérimaire ou au Rsa ?
De la reconnaissance de l'accident aux solutions déployées, l'avenir n'est plus le même, la prise en charge est différente, les difficultés s'accumulent en dépit du droit et du "bon sens".
Dans ce cadre, la signature du contrat de travail devient impossible. Que devient la personne handicapée ? Que devient l'aidant initial ?