Dans ce moment de violences, des équipes de journalistes sont pourchassés.
A Toulouse ce jeudi 6 décembre ou en Dordogne précédemment, des journalistes ont été pris à partie.
Qu'en est-il de la parole des journalistes ?
Le 30 novembre, le journaliste Jean-Michel Apathie considère que les Gilets Jaunes sont des évadés fiscaux.
Le 1er décembre, la journaliste Emmanuelle Ducros considère qu'ils sont des débiles profonds et des abrutis qui méritent ce qu'ils ont.
Quand des gens modestes ont manifesté pacifiquement, quels ont été les commentaires ? Une violence verbale sans précédent. Comme l'avait théorisé René Girard, les violences mimétiques s'enclenchent comme nous l'avons détaillé dans l'article précédent. Insulter des gens en colère, les mépriser revient à jeter de l'huile sur le feu.
A Toulouse ce jeudi 6 décembre ou en Dordogne précédemment, des journalistes ont été pris à partie.
Qu'en est-il de la parole des journalistes ?
Le 30 novembre, le journaliste Jean-Michel Apathie considère que les Gilets Jaunes sont des évadés fiscaux.
Le 1er décembre, la journaliste Emmanuelle Ducros considère qu'ils sont des débiles profonds et des abrutis qui méritent ce qu'ils ont.
Quand des gens modestes ont manifesté pacifiquement, quels ont été les commentaires ? Une violence verbale sans précédent. Comme l'avait théorisé René Girard, les violences mimétiques s'enclenchent comme nous l'avons détaillé dans l'article précédent. Insulter des gens en colère, les mépriser revient à jeter de l'huile sur le feu.