Très étonnant discours de l'ONU qui distingue les agressions en fonction de la race et de l'origine ethnique. De fait, l'ONU considère que des races existeraient en complément des origines ethniques.
En même temps l'ONU avec l'Arabie saoudite à la commission des droits de l'Homme, ça devient de la blague.
Dans un contexte de montée des discours de haine, le chef de l’ONU a
appelé à lutter contre le racisme et la discrimination et à
défendre les principes de l'égalité et de la dignité humaine.
Le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie, et
l’intolérance ne connaissent pas de frontières. « Aucun pays ni aucune
communauté n'est à l'abri », a déploré le Secrétaire général des Nations
Unies, António Guterres, lors d’un discours prononcé à l’occasion d'une
cérémonie marquant la Journée internationale pour l'élimination de la
discrimination raciale.
Le massacre dans deux mosquées en Nouvelle-Zélande, il y a 10 jours, «
est la dernière tragédie due à ce poison », a -t-il rappelé.
« Aujourd'hui et chaque jour, nous devons nous unir contre la haine
raciale et religieuse et contre le terrorisme des bigots », a-t-il dit.
M. Guterres s’est dit profondément alarmé par la montée actuelle de
la xénophobie, du racisme et de l'intolérance, alimentés de plus en plus
par des idéologies nationalistes et populistes.
« La propagande haineuse se banalise et se propage comme une traînée
de poudre par le biais des médias sociaux et de la radio. Nous la voyons
se répandre dans les démocraties libérales comme dans les États
autoritaires », a dit le Secrétaire général. « Ces forces obscures
menacent les valeurs démocratiques, la stabilité sociale et la paix. Ils
stigmatisent les femmes, les minorités, les migrants et les réfugiés »,
a-t-il ajouté.
Lorsque des personnes sont attaquées, physiquement, verbalement ou
sur les médias sociaux, en raison de leur race, de leur religion ou de
leur appartenance ethnique, c’est toute la société qui est affaiblie, a
dit le chef de l’ONU.
Dans ce contexte, António Guterres demandé à son Conseiller spécial
pour la prévention du génocide, Adama Dieng, de réunir le système des
Nations Unies pour élaborer une stratégie et un plan d'action visant à
combattre les discours de haine.
Pour la France, la situation dégénère avec une violence mimétique qui ne fait que s'amplifier et ne cessera pas par un usage plus élevé de la répression, bien au contraire.
Les violences inter-LGBT et LGBT Vs les identitaires catholiques et musulmans
avec l'usage du mot meute :
Guillaume Mélanie se défend d' utiliser le terme meute car réservé aux animaux.
L'association sos homophobie utilise le terme effet de meute pour désigner les manifestants apparentés aux algériens contre le régime Bouteflika qui ont agressé en groupe la trans Julia.
L'amicale du Refuge tacle sos homophobie
sos homophobie qui parle de Julia au masculin
Julia qui explique que parler d'elle au masculin est une humiliation
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