Emmanuel Macron en réussissant le casse du siècle par son élection au titre de Président de la République a mis fin à un long clivage politique en France entre la droite et la gauche française.
Le quinquennat Hollande par une série de trahisons a réussi à tuer son propre parti politique, le siège a même dû être vendu afin d'éponger les dettes et le manque de rentrées financières en raison du score de 6% de Benoit Hamon, le candidat Ps.
La droite, en raison du scandale de l'affaire Fillon et des emplois de son épouse a été laminée aux mêmes élections.
Emmanuel Macron n'a pas gagné pour son programme politique. Il n'en n'avait pas mais sur la base d'un vague projet et surtout car face à lui, il y avait Marine Le Pen qui sert d'épouvantail depuis la présidence de François Mitterrand.
Nous avons déjà là, un défaut de légitimité d'Emmanuel Macron, certes victorieux à l'élection présidentielle de 2017 mais représentant moins de 20 % de la population française en âge de voter.
Le système français est ainsi, Emmanuel Macron a été déclaré Président de la République.
Indépendamment du manque d'adhésion des français à l'élection de cet homme, il est à mettre à son crédit qu'il a suscité d'énormes attentes par ses discours de remettre de l'exemplarité et de la probité dans les institutions françaises, de réduire les inégalités et d'anoblir à nouveau la fonction des élus de la République connus surtout pour leur abus de biens sociaux et privilèges économiques dans un pays où le peuple lui ne fait que s'appauvrir.
Or, tout le contraire s'est passé avec toute une série de scandales aussi bien liés à la personne d'Emmanuel Macron que liés aux membres du cabinet de l’Élysée et des députés En Marche #LaRem.
A cette première crise de confiance cette première rupture avec le peuple, le mépris régulièrement affiché par la personne d'Emmanuel Macron et les nominations récompenses d'individus qui si ils avaient été du peuple n'auraient pas eu une nomination récompense mais la case prison ! Affaire El Guerrab
Il faut rajouter l'absence de résultats économiques significatifs, ce qui pour une personne dont son entourage ne cesse de souligner le talent et la compétence n'est pas un gage de crédibilité. En France, les personnes sans résultat sont licenciées pour insuffisances professionnelles et ne sont pas flattées sans cesse pour leur bilan inexistant.
Et la crise des Gilets Jaunes arriva et la Présidence sombra dans le plus pur autoritarisme et la répression la plus sanglante depuis la guerre d'Algérie.
La crise des Gilets Jaunes est d'abord une lutte entre territoire et classe sociale comme expliqué notamment par le géographe Christophe Guilluy avec son étude sur la France Périphérique.
En 2019, les questions de légitimité ne sont plus analysées comme au 20e siècle. En effet, pour être légitime en France, il faut être compétent ce qui signifie obtenir des résultats! Avec Emmanuel Macron, zéro résultat, c'est la tête à TOTO !
D'un point de vue économique : Baisse du pouvoir d'achat de 500 € entre 2008 et 2018
D'un point de vue sécurité : Augmentation sans précédent des actes de haine (Antisémitisme, Homophobie, Racisme)
D'un point de vue social : Un développement des inégalités sans précédent
D'un point de vue éthique : Sibeth Ndiaye n'hésite pas à « [appeler] les médias quotidiennement quand on a des divergences d'interprétation » si un article déplaît, ni à affirmer qu'elle n'hésite pas à mentir aux journalistes s'il s'agit de protéger le président. Et ne pas oublier toutes les instrumentalisations de misogynie, de racisme, d'antisémitisme faites par les membres du gouvernement dès lors qu'ils sont mis en défaut.
Le système français est ainsi, Emmanuel Macron a été déclaré Président de la République.
Indépendamment du manque d'adhésion des français à l'élection de cet homme, il est à mettre à son crédit qu'il a suscité d'énormes attentes par ses discours de remettre de l'exemplarité et de la probité dans les institutions françaises, de réduire les inégalités et d'anoblir à nouveau la fonction des élus de la République connus surtout pour leur abus de biens sociaux et privilèges économiques dans un pays où le peuple lui ne fait que s'appauvrir.
Or, tout le contraire s'est passé avec toute une série de scandales aussi bien liés à la personne d'Emmanuel Macron que liés aux membres du cabinet de l’Élysée et des députés En Marche #LaRem.
A cette première crise de confiance cette première rupture avec le peuple, le mépris régulièrement affiché par la personne d'Emmanuel Macron et les nominations récompenses d'individus qui si ils avaient été du peuple n'auraient pas eu une nomination récompense mais la case prison ! Affaire El Guerrab
Il faut rajouter l'absence de résultats économiques significatifs, ce qui pour une personne dont son entourage ne cesse de souligner le talent et la compétence n'est pas un gage de crédibilité. En France, les personnes sans résultat sont licenciées pour insuffisances professionnelles et ne sont pas flattées sans cesse pour leur bilan inexistant.
Et la crise des Gilets Jaunes arriva et la Présidence sombra dans le plus pur autoritarisme et la répression la plus sanglante depuis la guerre d'Algérie.
La crise des Gilets Jaunes est d'abord une lutte entre territoire et classe sociale comme expliqué notamment par le géographe Christophe Guilluy avec son étude sur la France Périphérique.
En 2019, les questions de légitimité ne sont plus analysées comme au 20e siècle. En effet, pour être légitime en France, il faut être compétent ce qui signifie obtenir des résultats! Avec Emmanuel Macron, zéro résultat, c'est la tête à TOTO !
D'un point de vue économique : Baisse du pouvoir d'achat de 500 € entre 2008 et 2018
D'un point de vue sécurité : Augmentation sans précédent des actes de haine (Antisémitisme, Homophobie, Racisme)
D'un point de vue social : Un développement des inégalités sans précédent
D'un point de vue éthique : Sibeth Ndiaye n'hésite pas à « [appeler] les médias quotidiennement quand on a des divergences d'interprétation » si un article déplaît, ni à affirmer qu'elle n'hésite pas à mentir aux journalistes s'il s'agit de protéger le président. Et ne pas oublier toutes les instrumentalisations de misogynie, de racisme, d'antisémitisme faites par les membres du gouvernement dès lors qu'ils sont mis en défaut.
Le futur de l'apprentissage ?
Obsolescence - Dématérialisation - Le Trou dans le mur - Le nuage des ainés - Les environnements auto-organisés d'apprentissage - L'école nuage -L'apprentissage à l'âge du Chaos
Sur les Gilets Jaunes
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