Nawak, le dessinateur anti Gilets Jaunes assure la propagande de Macron !

Nawak est dessinateur et il n'aime pas le peuple ! Il n'aime pas les Gilets Jaunes. C'est son droit, le problème est qu'il raconte n'importe quoi !

Explications :

Le RIC, Référendum d'Initiative Populaire ne lui plait pas.

"Non. C'était une époque avec des gens dans une pauvreté incomparable avec aujourd'hui. Avec un régime qui ne s'emmerdait pas avec les droits de l'Homme. Rien à voir avec aujourd'hui. Absolument rien à voir."
"Ridicule... Vous comparez l'incomparable. Et vous pensez vraiment qu'on va en débattre ?"

"Quand on voit les dernières déclarations de Drouet, on peut commencer a vraiment parler de fascisme jaune, non ? Sérieux venez pas me parler de "progressisme" quand un mec comme ça entraîne les foules - pas le peuple - dans ses délires factieux."

Nawak sur twitter

Qui est Nawak ?
Il se définit comme pédé gauchiasse, c'est son choix !

L'analyse de ses tweets permet de le classer dans la catégorie Identitaires  LGBT comme un identitaire musulman lamba. A savoir, il ne voit le monde que par le prisme de la sexualité comme le musulman radical voit le monde par le prisme du Coran.

Il tweete des messages de type les #LBGT vaincront et domineront le monde comme peut le faire un Marwan Muhammad à propos des musulmans.

Et régulièrement, il accuse ses contradicteurs de fascistes tantôt jaune tantôt x ou y. Voilà le personnage, un identitaire haineux qui chouine tout le temps, le grand classique.

Après avoir publié ce dessin de haine, il tente de ridiculiser ses contradicteurs. La technique des sophistes sans argument ! Il faut être un inculte profond pour ignorer que la chasse aux sorcières au moyen âge et au temps moderne a été faite par les élites politiques et religieuses, pas par le peuple. Inculte et plein d'une haine de classe

Pour information :

En Suisse, le référendum populaire n'a tué personne, bien au contraire. Mais à la différence de Macron et de Nawak, le gouvernement suisse respecte ses propres lois et n'instrumentalise pas les outils démocratiques comme le fait la France.

Chantal Jouanno qui dirige l'organisme des débats publics évoque elle-même les manigances de Macron quant au Débat National qui est sa deuxième campagne électorale aux frais des français, les dindons du gouvernement Macron.