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2 avr. 2019

Quand des associations LGBT françaises proposent presque des thérapies de conversion aux lesbiennes.




Les thérapies de conversion ou thérapie de réorientation sexuelle consistent à mettre en place un programme thérapeutique destiné à changer l'orientation sexuelle des personnes.

Cela se base sur la croyance initiale présentée par l'Académie de médecine que l'homosexualité et le transsexualisme étaient des maladies donc un remède pouvait exister, il suffirait de le trouver et seule l'hétérosexualité existerait.

Les religions, heureuses d'avoir un argument "scientifique" en phase avec leur discours à l'époque se sont bien évidemment jetées dessus. Et, notamment les chrétiens comme les musulmans ont mis en place des thérapies de conversion ou ont imposé un changement de sexe, le cas de l'Iran.

Depuis la fin du 20e siècle, l'homosexualité comme le transsexualisme ne sont plus considérés comme des maladies par l'Académie de médecine. Le judaïsme et le protestantisme ont été les premiers mouvements a intégré les LGBT malgré quelques ultra-orthodoxes, le catholicisme s'y met avec le Pape actuel, l'Islam sécuralisé en Europe commence à s' y mettre mais redevient marginal face aux flux migratoires musulmans et la stratégie des islamistes s'appuyant sur le féminisme européen.

Les associations LGBT plus particulièrement et malheureusement* dénoncent ce qui aujourd'hui est considéré comme une torture. Et avec les travaux littéraires de la miss Butler avec sa théorie erronée du genre et du queer qui est entrain de se faire éclater par les neurosciences, nombreux trans ne définissent pas comme transsexuel mais transgenre. Ce qui signifie que ces personnes peuvent être d'apparence masculine et se déclarer femme tout en gardant leur sexe masculin.
A cela, s'ajoute l'orientation sexuelle, ce qui fait qu'une personne avec une bite va se déclarer lesbienne et elle hurlera à la transphobie si une lesbienne la refuse au motif qu'elle aime une vulve et non une bite et elle décidera que ce refus n'est pas l'expression d'une femme mais d'une TERF intolérante voire raciste qui doit se faire soigner quand cette dernière exige un lieu sans bite comme ceux dédiés aux femmes victimes de viol. Il est connu et reconnu qu'une lesbienne aime sucer une bite.

En France, Guillaume Mélanie de l'association Urgence Homophobie tient ce genre de discours et il insulte à tout va toutes les femmes lesbiennes ou hétérosexuelles qui refusent de coucher avec une personne qui a une bite entre les jambes et se déclare femme ou qui exige un lieu sans bite . Il ira jusqu'à dire que refuser de considérer une personne avec une bite comme une femme est du même registre que ceux qui refusaient de considérer les femmes noires comme humaines. Faut oser un tel rappel raciste. Et actuellement, il tente de s'imposer auprès du gouvernement pour faire des formations dans les écoles en s'appuyant sans hasard sur sa dernière agression. Il capitalise dessus.

Et l'agression de la femme trans à République lors de manifestation anti-Bouteflika est nommée transphobie et non juste une agression sexuelle ! 


*Nous avons écrit malheureusement car une lutte contre une discrimination menée par les "concernés" crée plus de frictions et de violences que lorsqu'elle est menée par la société !

Quand Marlène schiappa se servira de son ministère pour faire autre chose que d'écrire des livres et les faire vendre, elle améliora sa compréhension de la situation.

En complément : L'excellent article de Racine Rouge où il est question d'homme se déclarant femme pour aborder des mineures de 12 ans.

Meghan Murphy est une féministe canadienne, et la créatrice du site Feminist Current. Le contenu qu’elle et son équipe y publient est controversé, souvent décrié par la frange libérale du mouvement, en particulier les critiques prenant pour cible le mouvement transgenre, ses militants et son idéologie. Murphy est peu connue en France mais, l’été 2017, devant le Sénat canadien, elle s’est opposée à une proposition de loi visant à introduire les notions d’identité de genre et d’expression de genre comme motifs de discrimination. Murphy y faisait remarquer que le principe de l’identité de genre entre en contradiction avec la notion de sexe, déjà légalement protégée. Les ravages de cette proposition devenue loi ont déjà été constatés. La suite


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