Bonjour et bienvenue

Rechercher

1 oct. 2019

En France, un prénom est considéré comme portant atteinte à l'enfant contrairement à une filiation fantasmée : Jihad et la filiation LGBT?



La vie française est faite d'anodins symboliques. C'est dans ces détails non pas que le diable se cache mais que les paradoxes français se révèlent en plein jour.

L'Assemblée Nationale a voté le droit à la PMA Sans père où la filiation fantasmée prime sur la filiation biologique. Le réel n'a plus d'importance, les revendications l'emportent, peu importe l'Intérêt Supérieur de l'Enfant.

Si la France a su à une époque désormais lointaine séparer l’État de l’Église, la Science et la raison des croyances, ce n'est plus le cas aujourd'hui, nous assistons à un basculement au nom d'intérêts communautaires divers et variés.

L'état civil admet que deux femmes peuvent enfanter et fait écrire noir sur blanc que l'enfant est issu de deux femmes ou deux hommes. La science a beau progresser, elle n'en est pas capable mais peu importe le réel et ses conséquences, la tyrannie des minorités l'emporte. La croyance prime à nouveau sur le réel.

Pour autant, la justice française considère que le choix d'un prénom peut porter préjudice à l'intérêt de l'enfant si les parents souhaitent nommer leur enfant Jihad et les invitera à choisir Jahid, ce qui signifie la même chose mais serait moins connoté "guerrier" pour ceux ne maitrisant pas la langue arabe. Nous appelons cela un jeu de dupes.

Cela ne manque pas de cynisme car Latifa Ibn Ziaten peut écrire sur Twitter qu'elle est heureuse de faire son Jihad sans que cela n'émeuve personne puisqu'elle est invitée partout et présentée comme une sainte et peut se promener dans les écoles avec son voile et faire ce que nous considérons comme du prosélytisme religieux en toute tranquilité. 
Ce qui ne manque pas de sel à la vue de son traitement différentiel entre son fils tué par un terroriste islamiste faisant un "Jihad" et son autre fils vivant et homosexuel qui doit rester caché. L'un a les honneurs, l'autre est banni. Cocasse comme situation pour la France vu les débats qui s'y déroulent et les arguments mis en avant.

Pour conclure sur les défaillances de la Justice en France concernant la parentalité, une étude de 2013 du gouvernement sur les gardes d'enfants lors des séparations : 

"Dans le cadre de ces 6 042 décisions définitives, la résidence chez la mère a été prononcée dans 71% des situations, la résidence en alternance dans 17% des situations, la résidence chez le père dans 12% des situations et la résidence chez un tiers dans des cas très marginaux (0,1%)." 

Exprimé autrement : En cas de divorce, si vous êtes le père et que votre demande est en désaccord avec la mère alors vous n'avez que 4% de chance d'être satisfait.

Les juges étant majoritairement des femmes et considérant que la femme est plus apte à élever un enfant. Cela explique aussi la décision française concernant la PMA sans père. Nous mettons en parallèle, le taux de suicides des français qui est le plus élevé d'Europe. Nous vous laissons chercher non la cause mais les corrélations !

Bonne réflexion ! 


Vous aimerez aussi :

  
  
 


Aucun commentaire:

Articles les plus lus