Alexandre Benalla, le favori de Macron, la mascotte des Foulards Rouges.
Alexandre Benalla est accusé d'avoir, lors d'une des manifestations du à Paris, usurpé la fonction de policier, et violenté un couple de personnes, après que celles-ci aient jeté des objets contondants sur les agents d'une compagnie de CRS. Il est mis à pied pendant quinze jours en mai, avec rétrogradation et sans que des poursuites judiciaires soient déclenchées. Il lui est également reproché, par des vidéos dévoilées au mois de juillet, d'avoir participé le même jour à une autre interpellation au Jardin des plantes.
Le , au lendemain des révélations du Monde, le parquet ouvre une enquête préliminaire pour « violences par personne chargée d'une mission de service public », « usurpation de fonctions » et « usurpation de signes réservés à l'autorité publique ». Alexandre Benalla est peu après placé en garde à vue et mis en examen, notamment pour « violences en réunion », « immixtion dans l’exercice d’une fonction publique en accomplissant des actes réservés à l’autorité publique » et « recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo protection ». Une procédure de licenciement est également engagée par l’Élysée contre lui.
Deux commissions d'enquêtes parlementaires sont créées, une pour l'Assemblée nationale, et l'autre pour le Sénat, en principe indépendantes des affaires judiciaires ouvertes. Alexandre Benalla est entendu sous serment par la Commission des Lois du Sénat, le 50.
Le doute des partis d'opposition et de certains médias sur la réalité des sanctions et la communication controversée de l’exécutif amplifient la polémique, qui atteint un niveau international. Les partis d'opposition, rejoints par une partie des médias, reprochent au cabinet présidentiel de ne pas avoir signalé les faits au procureur de la République de Paris, s'étonnent de ce qu'ils considèrent comme des privilèges accordés sans justification apparente à Alexandre Benalla (son port d'arme, un logement attribué, un badge d'accès à l'Assemblée nationale, une voiture de service) et craignent l'apparition d'une police parallèle hors contrôle dédiée à la protection du chef de l'État. Cette affaire met en lumière des dysfonctionnements au niveau de l'Élysée, ce que reconnaît Emmanuel Macron lors d'une réunion organisée le au palais de l'Élysée.
Alexandre Benalla est accusé d'avoir, lors d'une des manifestations du à Paris, usurpé la fonction de policier, et violenté un couple de personnes, après que celles-ci aient jeté des objets contondants sur les agents d'une compagnie de CRS. Il est mis à pied pendant quinze jours en mai, avec rétrogradation et sans que des poursuites judiciaires soient déclenchées. Il lui est également reproché, par des vidéos dévoilées au mois de juillet, d'avoir participé le même jour à une autre interpellation au Jardin des plantes.
Le , au lendemain des révélations du Monde, le parquet ouvre une enquête préliminaire pour « violences par personne chargée d'une mission de service public », « usurpation de fonctions » et « usurpation de signes réservés à l'autorité publique ». Alexandre Benalla est peu après placé en garde à vue et mis en examen, notamment pour « violences en réunion », « immixtion dans l’exercice d’une fonction publique en accomplissant des actes réservés à l’autorité publique » et « recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo protection ». Une procédure de licenciement est également engagée par l’Élysée contre lui.
Deux commissions d'enquêtes parlementaires sont créées, une pour l'Assemblée nationale, et l'autre pour le Sénat, en principe indépendantes des affaires judiciaires ouvertes. Alexandre Benalla est entendu sous serment par la Commission des Lois du Sénat, le 50.
Le doute des partis d'opposition et de certains médias sur la réalité des sanctions et la communication controversée de l’exécutif amplifient la polémique, qui atteint un niveau international. Les partis d'opposition, rejoints par une partie des médias, reprochent au cabinet présidentiel de ne pas avoir signalé les faits au procureur de la République de Paris, s'étonnent de ce qu'ils considèrent comme des privilèges accordés sans justification apparente à Alexandre Benalla (son port d'arme, un logement attribué, un badge d'accès à l'Assemblée nationale, une voiture de service) et craignent l'apparition d'une police parallèle hors contrôle dédiée à la protection du chef de l'État. Cette affaire met en lumière des dysfonctionnements au niveau de l'Élysée, ce que reconnaît Emmanuel Macron lors d'une réunion organisée le au palais de l'Élysée.
mise à jour
Il s'agissait d'une opération de @sandrafellous_ et @ElisabethFaure1 de trollage contre les Foulards Rouges qui restent des ptits capo en puissance.
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