Avec les demandes des LGBT sur leur "droit" à l'enfant, à distinguer du droit des enfants, tous les caprices seront exhaussés, toutes les perversions deviendront réalités, des français seront donc enterrés sous une fausse identité pour faire plaisir aux délires de militants associatifs.
Tant personne ne conteste le droit d'avoir des enfants, cette question s'est déjà posée avec les déficients mentaux qui ont un droit à l'enfant même quand ils sont sous le régime de la tutelle ou curatelle. C'est-à-dire qu'ils n'ont pas le droit de gérer un compte en banque mais la justice leur accorde le droit d'avoir et d'élever un enfant. Un compte en banque est plus complexe qu'un enfant d'après les français.
La question que pose les futures lois françaises ne repose pas sur la légalité d'avoir un enfant mais sur la filiation.
Cette question n'est pas nouvelle, les enfants nés sous X et les enfants adoptés l'avaient déjà posé. Pour eux, le problème n'est pas d'avoir des parents adoptifs mais de ne pas connaitre leurs parents biologiques. Et leur droit à connaitre leur réalité génétique ne s'oppose pas à leur reconnaissance de leurs parents adoptifs. Ils distinguent les deux et cela leur permet un bien-être psychologique mais les adultes en désir d'enfant ne l'entendent pas ainsi. Leur désir doivent devenir réalité.
Nous l'observons en France avec la PMA Postmortem où des femmes ont exigés d'avoir un enfant d'un mort qui de son vivant avait congelé ses spermatozoïdes. Faire un enfant avec un mort a été refusé de justesse cette n-ième fois par les députés, il est à parier qu'à la prochaine votation avec un féminisme plus fort et plus présent, cette demande sera acceptée. Créer un orphelin de père étant déjà une réalité avec la PMA lesbienne. Pour les psychanalystes, on appelle cela tuer le père, non plus au sens figuré mais au sens propre. Un parricide légal pour le bien-être d'un couple de lesbiennes.
Nous l'observons en France avec la PMA Postmortem où des femmes ont exigés d'avoir un enfant d'un mort qui de son vivant avait congelé ses spermatozoïdes. Faire un enfant avec un mort a été refusé de justesse cette n-ième fois par les députés, il est à parier qu'à la prochaine votation avec un féminisme plus fort et plus présent, cette demande sera acceptée. Créer un orphelin de père étant déjà une réalité avec la PMA lesbienne. Pour les psychanalystes, on appelle cela tuer le père, non plus au sens figuré mais au sens propre. Un parricide légal pour le bien-être d'un couple de lesbiennes.
Avec les demandes des LGBT où la filiation biologique est évacuée, niée, discriminée tout simplement Quand les victimes deviennent bourreaux, seul le désir des LGBT est pris en compte. Le droit des enfants à leur filiation n'existe plus. il leur est refusé. Ils devront s'accommoder de la filiation imaginaire et inventée, peu importe si une partie de ces enfants finiront par choisir le suicide plutôt que cette réalité alternative.
Les "parents" LGBT à défaut d'avoir été des adultes responsables seront des "parents" aux enfants suicidés pour une partie d'entre eux. Nous leur souhaitons une longue vie qu'ils puissent avoir le temps de vivre pleinement leur deuil en ayant voulu imposer une filiation sans l'accord des intéressés.
Nous écrivons cela car nous connaissons des enfants à la filiation imaginaire comme celle exigée par les LGBT, qui connaissent l'identité de leurs parents biologiques et qui sont obligés par la législation française de vivre avec une fausse identité, celle que leurs "parents" adoptifs leur ont imposé. Certains d'entre eux ont préféré le suicide et ont été enterrés sous un faux nom. C'est le choix français face aux demandes LGBT.
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