La ministre Nicole Belloubet a déclaré que suite à l'acceptation de la PMA, procréation médicalement assistée pour les femmes célibataires et lesbiennes, l'état civil en France serait modifié puisque les concepts farfelus de mère 1 et mère 2 seraient mentionnés et remplaceraient père et mère.
Ainsi, un nouvel état civil va naitre, celui de bâtard sans père. La réalité biologique de la filiation se meurt ainsi en France suite aux pressions exercées par les représentants associatifs auto-proclamés de la soi-disante communauté LGBT.
Nous savons par divers témoignages ce qu'engendre la négation de la filiation biologique et le fait de céder aux caprices du désir d'enfant, une partie, certes minoritaires, de cette nouvelle génération tentera le suicide par défaut d'identité comme l'ont fait les adolescents et et adultes nés sous X ou adoptés précédemment.
Et ces nouveaux morts seront enterrés sous un faux nom, celui d'un fantasme de lesbiennes et non leur nom biologique !
Et ces nouveaux morts seront enterrés sous un faux nom, celui d'un fantasme de lesbiennes et non leur nom biologique !
Qu'est ce qu'un suicide face au désir d'enfants d'une femme ou d'un homme français ? Rien !
Si chez Code 7H99, nous ne sommes nullement opposés à la PMA y compris pour des femmes célibataires, nous considérons que le refus de la filiation biologique et un état civil à la filiation imaginaire est une catastrophe annoncée comme écrit. La France assumera-t-elle ces nouveaux suicides ? Bien évidemment que non, elle inventera un nouveau nom, le déni de filiation, un héritier du concept de déni de grossesse qui signifie en France : Tentative d'homicide sur enfant en bas âge.
Si en France la déchéance de nationalité pour cause de terrorisme n'a pas été votée, la déchéance d'identité pour cause LGBT va l'être.
Nous laissons les français à leur déchéance choisie.
Pour conclure deux témoignages :
Un couple de lesbienne dans les années 80 a décidé de faire appel à un ami pour une procréation. L'une d'elle acceptant de coucher avec cet homme pendant sa période de fertilité. Le pacte était que l'ami n'aurait aucun lien avec l'enfant. L'enfant est né, les deux lesbiennes étaient heureuses.
Quelques années plus tard, elles se sont séparées et au moment de l'éducation de l'enfant avec cette séparation, la non porteuse de l'enfant a déclaré que de toute façon, elle n'était pas la mère de cet enfant, elle n'avait pas à s'en occuper. La vraie mère de l'enfant l'a élevé seule.
A l'adolescence, l'enfant a demandé d'où il venait, et la mère a fini par lui expliquer qui était son vrai père. Or, l'ami, père de déjà 3 enfants n'avaient qu'une crainte avec la législation française, soit de devoir une pension alimentaire. Un soir, quelqu'un frappa à sa porte, c'était ce fils. Il a fait connaissance avec ses 3 nouvelles sœurs. Devenu adulte, cet enfant considère sa génitrice comme sa mère, l'ancienne copine de sa mère comme l'ancienne copine de sa mère et son géniteur comme son père. Il a demandé à porter le nom son père accolé à celui de sa mère.
Dans les années 70, une femme tombe enceinte, tente sans succès d'avorter puis accouche, se devant d'élever cet enfant dont elle ne voulait pas. Quelques années plus tard, 6 pour être précis, elle rencontre un homme, lui explique que le père de l'enfant est mort, ils décident de se marier. Cet homme est amoureux de cette femme et il a un désir d'enfant, comme l'enfant de cette femme n'a pas de père (il est mort d'après le déclaratif). L'homme décide de reconnaitre cet enfant. Au mariage, l'enfant change de nom à l'état civil, on lui explique que son père se marie tardivement avec sa mère, l'enfant commence par croire ce mensonge.
Devenu adolescent, l'enfant apprendra l'histoire vraie et il fera plusieurs tentatives de suicide face au refus de la justice française de lui redonner son premier nom et non de lui faire porter le nom d'un homme qui n'est pas son père et qui d'ailleurs a déclaré avoir cru pouvoir être son père, être dans le désir de paternité mais qu'il ne se sentait nullement être le père de cet enfant au final surtout depuis qu'il avait eu une fille avec cette femme. il faisait le distinguo entre cet enfant et sa vraie fille.
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