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6 oct. 2019

PMA / GPA : Les impacts sur les enfants que la France préfère ignorer face au chantage des LGBT français


Impact sur les enfants

Selon David Blankenhorn , [20] Patrick Fagan , [21] Mitch Pearlstein [22], David Popenoe [23] et Barbara Dafoe Whitehead [24] , le fait de vivre dans une famille monoparentale est fortement corrélé à l'échec scolaire et aux problèmes de délinquance, de drogue utilisation, grossesses précoces, pauvreté et dépendance à l’aide sociale aux États-Unis. En utilisant une modélisation à plusieurs niveaux, Suet-Ling Pong a montré qu’une forte proportion d’enfants américains issus de familles monoparentales obtenaient de piètres résultats en tests de mathématiques et en lecture. [25] [26]
 
En Suède, Emma Fransson et al. ont montré que le bien-être physique, la santé mentale, l’amitié entre amis, l’intimidation, les activités culturelles, les sports et les relations familiales des enfants vivant avec un seul parent étaient plus dégradés que ceux des enfants de familles intactes. En revanche, les enfants bénéficiant d'un partage des responsabilités parentales qui vivent à peu près autant que leurs père et mère divorcés jouissent du même bien-être que les enfants de familles intactes et obtiennent de meilleurs résultats que les enfants avec un seul parent gardien. [27]
 
L' Office des statistiques nationales du Royaume-Uni a signalé que les enfants de parents célibataires, après contrôle d'autres variables telles que le revenu familial, sont plus susceptibles d'avoir des problèmes, notamment deux fois plus susceptibles de souffrir de maladie mentale. Des chercheurs britanniques et américains ont montré que les enfants sans père étaient trois fois plus susceptibles d’être malheureux et qu’ils étaient également plus susceptibles d’avoir un comportement antisocial, d’abuser de la drogue et de se livrer à la délinquance juvénile. [29] [30] [31] [32]

Wikipedia 

A cela, il faut rajouter l'effet Cendrillon :

Les "parents d'intention" non biologiques sont plus violents que les parents biologiques. Pour 1 violence pour 1000 parents biologiques, l'étude Daly et Wilson montre 12 violences pour 1000 parents non biologiques. La même étude montre que dans les familles recomposées, les "parents d'intention" sont plus violents avec leurs enfants non biologiques qu'avec leurs enfants biologiques. Vous pouvez également lire l'étude de Boris Cyrulnik sur la biologie de l'attachement. puisque ce monsieur est le maitre à penser des 1000 premiers jours de l'enfant depuis l'action lancée par la présidence française Macron

Et pour conclure, sur les impacts et violences sur les enfants, il faut rajouter les violences conjugales qui sont plus importantes dans les couples de lesbiennes que dans les couples d'hétérosexuels et d'homosexuels hommes comme l'a démontré la CDC, l'équivalent de l'Insee au Canada. 
Une femme lesbienne a 44% de probabilités d'être violée par sa compagne. Une femme bisexuelle, 56% d'être violée par sa compagne et une femme hétérosexuelle  a 35% de probabilités d'être violée par son compagnon.

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