Impact sur les enfants
Selon David Blankenhorn , [20] Patrick Fagan , [21] Mitch Pearlstein [22], David Popenoe [23] et Barbara Dafoe Whitehead [24]
, le fait de vivre dans une famille monoparentale est fortement corrélé
à l'échec scolaire et aux problèmes de délinquance, de drogue
utilisation, grossesses précoces, pauvreté et dépendance à l’aide
sociale aux États-Unis. En utilisant une modélisation à plusieurs niveaux, Suet-Ling Pong
a montré qu’une forte proportion d’enfants américains issus de familles
monoparentales obtenaient de piètres résultats en tests de
mathématiques et en lecture. [25] [26]
En Suède, Emma Fransson et al.
ont montré que le bien-être physique, la santé mentale, l’amitié entre
amis, l’intimidation, les activités culturelles, les sports et les
relations familiales des enfants vivant avec un seul parent étaient plus
dégradés que ceux des enfants de familles intactes. En revanche, les enfants bénéficiant d'un partage des responsabilités parentales
qui vivent à peu près autant que leurs père et mère divorcés jouissent
du même bien-être que les enfants de familles intactes et obtiennent de
meilleurs résultats que les enfants avec un seul parent gardien. [27]
L' Office des statistiques nationales du
Royaume-Uni a signalé que les enfants de parents célibataires, après
contrôle d'autres variables telles que le revenu familial, sont plus
susceptibles d'avoir des problèmes, notamment deux fois plus
susceptibles de souffrir de maladie mentale.
Des chercheurs britanniques et américains ont montré que les enfants
sans père étaient trois fois plus susceptibles d’être malheureux et
qu’ils étaient également plus susceptibles d’avoir un comportement
antisocial, d’abuser de la drogue et de se livrer à la délinquance
juvénile. [29] [30] [31] [32]
Wikipedia
A cela, il faut rajouter l'effet Cendrillon :
Les "parents d'intention" non biologiques sont plus violents que les parents biologiques.
Pour 1 violence pour 1000 parents biologiques, l'étude Daly et Wilson
montre 12 violences pour 1000 parents non biologiques. La même étude
montre que dans les familles recomposées, les "parents d'intention" sont
plus violents avec leurs enfants non biologiques qu'avec leurs enfants
biologiques.
Vous pouvez également lire l'étude de Boris Cyrulnik sur la biologie de
l'attachement. puisque ce monsieur est le maitre à penser des 1000
premiers jours de l'enfant depuis l'action lancée par la présidence
française Macron
Et pour conclure, sur les impacts et violences sur les enfants, il faut rajouter les violences conjugales qui sont plus importantes dans les couples de lesbiennes que dans les couples d'hétérosexuels et d'homosexuels hommes comme l'a démontré la CDC, l'équivalent de l'Insee au Canada.
Une femme lesbienne a 44% de probabilités d'être violée par sa compagne. Une femme bisexuelle, 56% d'être violée par sa compagne et une femme hétérosexuelle a 35% de probabilités d'être violée par son compagnon.
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