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24 janv. 2020

La lapidation du dernier français : PMA et GPA ou l'illusion d'une vraie parentalité et la réalité des enfants chimères



Le Sénat venait de voter l'officialisation des filiations imaginaires dites fictives ou intentionnelles. Les francs-maçons du Sénat avaient mobilisé leurs troupes, ils avaient déclaré que les enfants chimères, ces êtres humains à qui l'on imposait une filiation fictive au nom d'un désir d'enfant comme on impose à de jeunes filles une excision au nom de croyances. Ce caprice des LGBT devait devenir réalité au nom de la liberté des croyances peu importe les droits de l'Homme et en l'espèce, peu importe les droits de l'enfant. Les travaux en loges en avaient décidé ainsi, la traduction législative serait une formalité. Ce ne serait pas le dernier scandale de la Franc-maçonnerie française, juste un signe supplémentaire du pourrissement de cette confrérie dont tous les idéaux avaient été reniés un par un en raison d'une philosophie positiviste qui n'était au final que l'anti-réalité du réalisme scientifique où le vrai, le juste et le bon n'étaient plus que des concepts chimèriques dans les allées du pouvoir, ce parapolitisme où les maçonnologues conduisaient à s'interroger sur leur capacité d'allégeance à la raison d'état et aux Sciences plutôt qu'à leurs croyances et à leurs frères y compris criminels.

Si la connaissance rend libre, la filiation fictive ainsi officialisée transformait l'enfant en chimère avec une parentalité aliénée digne de la mythologie. Ceux sont les faits eux-mêmes, soit la réalité et non les hommes qui décident si un énoncé est vrai ou faux. La vérité échappe à tout pouvoir humain et la réalité est ce qui refuse de disparaître quand on cesse d'y croire. 
Un enfant est le fruit de la rencontre d'une gamète mâle et femelle, c'est le point de départ de la parentalité. Les parents d'adoption savent que leur désir d'enfant se heurtera toujours au désir de l'enfant à connaître ses parents biologiques. L'enfant considérera les parents d'adoption comme aimants et non égoïstes s'ils l'accompagnent dans cette recherche de vérité et non l'enferment dans un roman fictionnel avec toutes les conséquences pour sa santé mentale à avoir des parents incapables d'être dans le vrai, dans la réalité des choses.

Être un parent adoptif ou d'intention est louable et ne peut être sain pour l'enfant qu'à une seule condition que la reconnaissance de la vérité échappe à l'emprise de vouloir dominer l'esprit de l'autre, et en l'espèce de l'esprit de l'enfant par un mensonge sur sa parentalité, sur ses origines. Qu'un individu accepte que deux personnes sans lien biologique avec lui soit officiellement ses parents n'appartient qu'à lui et cela ne peut exister que dans ce sens. L'inverse relève de la violence, du non consentement si cher aux féministes. Ce viol de l'identité n'est pas sans conséquence sur le développement de l'individu même si notre homme ordinaire sait déjà qu'en France, la rationalité, la vérité et la démocratie sont des souvenirs qui ont été remplacés par des désirs et des caprices d'individus égoïstes.

La différence entre le vrai et le supposé vrai devenait plus grande avec l'officialisation d'un nouvel état civil, celui de bâtard où les lois de la biologie devaient s'effacer oubliant que la biologie de l'attachement referait son apparition et créerait une dramatique chez le parent d'intention. La vérité échappe à tout pouvoir humain, les LGBT et les francs-maçons l'apprendraient à leurs dépends, c'est le prix à payer d'instaurer et de légaliser une nouvelle forme de trafic d'enfants. L'humain n'a pas la capacité de rendre le faux pour du vrai et inversement. Toute tentative de brouiller cette distinction ne ruine pas seulement l'idée de vérité, elle est l'expression d'une volonté exorbitante de pouvoir.


Odin : Phasage en cours

Les enfants se laissent persuader assez facilement de la vérité de ce que leur enseignent les adultes, et il est clair qu’un autre enseignement signifierait un autre système de certitudes et de doutes : « Je sais » signifiera simplement  « On m’a appris et j’ai été convaincu », ce qui peut donner l’impression d’introduire une forme de relativité préoccupante. Ce que nous savons dépend pour une part essentielle de ce que nous avons appris, et ce que nous considérons comme possible ou impossible de croire dépend directement de ce que nous savons. Il y a des choses que nous ne pouvons pas croire parce qu’elles sont en contradiction avec tout ce que nous savons, mais que des hommes d’une autre culture pourraient croire sans que nous ayons les moyens de les convaincre qu’ils ont tort. Et quelle culture peut considérer comme vrai que deux femmes ou deux hommes ont donné naissance à un enfant, excepté les cultures faisant des croyances illusoires leurs vérités. L'éthique de la connaissance comme celle de la croyance ne sont même plus respectées. Les individus ne sont plus, en conséquence, des êtres respectables.

Comme la vérité n’appartient à personne, toute autorité peut être contestée et remise en cause en son nom ; si on pense au contraire, selon la mentalité postmoderne, que ce qui décide du vrai ou du faux est toujours au bout du compte une instance humaine – et peu importe qu’il s’agisse alors d’un tyran, d’une Église, d’un parti, de la majorité, de l’opinion publique, ou du consensus général de la communauté la plus tolérante et la plus cultivée –, l’individu en désaccord n’a plus rien qui puisse légitimer son refus ou sa révolte, sauf à s’auto-instituer lui-même comme une nouvelle autorité et une nouvelle puissance. C’est ruiner les bases même de la mentalité libérale puisque la « vérité » n’est plus conçue que relativement à des systèmes de pouvoir qui la produisent et la soutiennent, et à des effets de pouvoir qu’elle induit et qui la reconduisent jusqu'à sa ruine.

La faillite devenait inéluctable mais tout comme la Révolution Française et son régicide ou la Révolte des Gilets Jaunes, les fameuses élites étaient ivres de leur pouvoir sans prise avec le réel, elles ne  pouvaient être qu'aveugles et sourdes à la trame des événements ne sachant communiquer qu'avec le recours aux faux dilemmes comme Démocratie ou Dictature, Pro Marchandisation des corps ou Homophobie.

La négation de la vérité objective, qui est un des traits majeurs de la mentalité postmoderne est pleinement en phase avec tous les mécanismes, médiatiques par exemple, qui visent à faire perdre à tout un chacun le contact avec le réel et à délégitimer l’expérience et les jugements de l’homme ordinaire. Postmodernisme et médias font ce même travail. C’est une des raisons sans doute pour lesquelles la critique des médias est si absente de la pensée postmoderne. Pour critiquer les médias, il faut croire à la vérité objective. Or, comment croire une présidence qui se pensait dans le vrai avec sa croyance dans une démocratie française encore existante quand les décideurs de la commission européenne n'étaient pas élus par le peuple. Une présidence qui confondait le vrai et le supposé vrai. La dictature devenait une réalité française par l'instauration d'un régime autoritaire basé sur des illusions déjà identifiées



Officialiser une parentalité d'intention démontrait que seules les vérités subjectives comptaient pour les chambres parlementaires. Le retour à la réalité ne se passerait pas sans heurt, la réalité perdure au delà des croyances des églises comme des loges. Les dictatures comme les tyrannies faisant fi du réel ne durent jamais sur un temps long. Les mensonges et préjugés qui leur servent de soubassements ne peuvent perdurer. L'Histoire l'avait déjà tant expliquée.

En parlant avec des individus aux tendances fascistes, il est possible d’apprendre les implications psychologiques de cette idée de la « clé » des tyrannies religieuses, politiques et parapolitiques au service de minorités agissantes. Leurs allusions plus ou moins cryptées révèlent fréquemment une espèce d’orgueil sinistre ; ils parlent comme s’ils avaient deviné et résolu un stratagème autrement insoluble pour le restant de l’humanité (et peu importe le nombre de fois que leur solution a déjà été exprimée). Ils lèvent l’index, au sens littéral ou figuré, parfois avec un sourire d’indulgence supérieure ; ils ont réponse à tout et présentent à leurs interlocuteurs au cours des discussions l’assurance absolue de ceux qui ont coupé tout contact avec ce qui pourrait provoquer une vérification quelconque de leur formule. C’est probablement cette sécurité illusoire qui fascine ceux qui ressentent un manque d’assurance.

La connaissance, en faisant reculer ignorances, erreurs et illusions, rend l’individu plus libre qu’une volonté éclairée des loges et plus libre qu’une volonté aveugle d'une orthodoxie religieuse. Cette conception soulève des difficultés bien connues. D’abord, celle de savoir si la vérité revendiquée en est bien une ; après tout, la formule « la vérité vous rendra libres » figure dans l’évangile de Jean, mais on est en droit de douter que la croyance religieuse ou émanant d'un secret collégial en question soit une vérité et qu’elle soit libératrice.
Assumer inconditionnellement une attitude libérale, se reconnaître intégralement comme des gens ordinaires, aborder la politique à partir des faits et des actes plutôt qu’à partir des idées : voilà trois conditions auxquelles les intellectuels comme les francs-maçons doivent satisfaire s’ils veulent avoir une petite chance d’être des démocrates et perdurer mais la fin de l'histoire était déjà connue. L'équation 2 + 2 = 5 devait être supposée vraie pour croire qu'un parent non biologique puisse s'officialiser origine d'un enfant.

In Odin, web trust

Bien évidemment, les livres scolaires devaient familiariser les enfants aux nouvelles techniques de l'industrie procréative et du capitalisme de la reproduction aux relents eugénistes en présentant 4 couples. Un couple d'hétérosexuels où la femme tombe enceinte du mari, un couple d'homosexuels qui choisit une gestatrice sur catalogue avec un ticket d'entrée à 100 000 €, un couple de lesbiennes dont l'une des femmes devient enceinte grâce à un catalogue de gamètes mâles avec les caractéristiques phénotypiques explicitées et un couple d'écolo-féministes qui choisit l'avortement. Des dessins montreraient le destin des enfants jusqu'à leur tombe où ils rejoindraient les avortés qui auront eu la chance de ne connaître aucune discrimination tout au long de leur non-vie supposée vraie.

Les épisodes précédents

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