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24 oct. 2019

PMA / GPA : L'université Bordeaux Montaigne coupe sa filiation avec l'esprit des lumières



Comme nous l'avons déjà écrit, il n'y a pas de débat sur la PMA / GPA en France, il y a une fabrique du consentement pour légaliser la marchandisation des corps et promouvoir l'eugénisme à grande échelle. Cela peut se comprendre quand la concentration de sperme chez des hommes vivants aux États-Unis, en Europe, en Australie et en Nouvelle-Zélande a diminuée de 59,3% entre 1973 et 2011. Les européens deviennent infertiles, la technique les sauvera-t-elle ?

A l'université Bordeaux Montaigne, des "groupes" on sait lesquels, on réussit par leurs menaces violentes à faire censurer une conférence. Ces mêmes "groupes" qui se plaignent d'être discriminés sans hasard. Comme nous l'avons déjà écrit, ces "groupes" sont aujourd'hui des générateurs de violences qu'ils subissent d'où notre indifférence à leur sort.

La prochaine conférence Montaigne prévue le jeudi 24 octobre 2019 n’aura pas lieu.

"Sylviane Agacinski, invitée dès le mois de mai dernier, avait choisi d’évoquer "l’être humain à l’époque de sa reproductibilité technique". Ses réflexions portent sur les marchés du corps humain en général (sang, cellules, organes, grossesses).
Des groupes ont décidé d’empêcher la tenue d’un échange légitime et évidemment contradictoire sur ces questions d’ordre éthique et juridique dans le contexte des débats actuels sur la PMA et la GPA. Cette manifestation de censure est une atteinte excessivement grave et violente à la confrontation des idées à laquelle notre université est attachée. Empêcher la discussion au sein d’une communauté participe d’une dérive liberticide.
Ne pouvant assurer pleinement la sécurité des biens et des personnes ni les conditions d’un débat vif mais respectueux face à des menaces violentes, l’université a décidé d’annuler cette rencontre.
La gravité de cette entrave au débat démocratique ne saurait constituer ni fierté, ni victoire pour quiconque, mais une réelle indignation de tous ceux qui sont attachés à la richesse du dialogue, de l’échange pour comprendre la complexité de notre monde."

Les organisateurs des conférences Montaigne :
Béatrice Laville, Bernard Lachaise, Roger Billion, Élisabeth Bridet,
Marie Dinclaux, Linda Lawrance, Maïté Lachaise

 

Comprendre l'origine de cette censure violente par les mouvances LGBT d'extrême-gauche avec le cas de l'université d'Evergreen de l'état de Washington aux USA.

10 oct. 2019

La PMA n'est pas une victoire féministe mais une victoire de l'industrie de la techno-reproduction

Le site Racine Rouge tenu par Cécilia Lépine propose une analyse sur la PMA que nous vous invitons à découvrir.

Lors de la lecture de son texte, nous vous invitons à avoir en mémoire la fabrique du consentement d'Edward Bernays qui s'est servi des mouvements féministes, les suffragettes, pour vendre davantage de cigarettes.

Par ailleurs, nous mettons ici notre commentaire en ligne puisque Cecilia Lépine ne l'accepte pas, elle l'a supprimé. Les féministes n'aiment pas la contradiction, elles préfèrent la pensée en entre-soi comme tous les mouvements sectaires.
Mise à jour 21h33 : Notre commentaire est à nouveau en ligne sur le site de Racine Rouge..
Mise à jour 27/11/2019 16h 22 : Cette tendance que nous observons chez les féministes ne s'applique pas dans le cas spécifique à Cécilia Lépine. Notre premier commentaire fait suite à un quiproquo dû à une question technique de publication des commentaires.



La question de la PMA / GPA, est souvent posée dans le débat public et dans le débat des militants féministes et LGBT comme un débat entre conservateurs et progressistes. Cette manière de poser les cardinaux de ce débat la limite plus qu'autre chose à mon sens car il fait l'impasse sur l'Intérêt Supérieur de l'Enfant, il fait l'impasse sur l'avenir d'un humain, ce dernier, l'enfant étant réifié aussi bien comme réponse à un désir ou expression d'un besoin.

Le progrès tel qu'il est mis en débat met en exergue des technophiles et technophobes, simplement, là encore, ce binarisme, en fait oublier les subtilités. Cela revient à réfléchir par réductionnisme, l'humain ne se distingue plus alors de la machine qui ne pense qu'en 0 ou 1, en vrai et faux, en bien ou mal, etc...

A titre d'exemple, l'Art Pariétal et l'Art Numérique ne s'opposent pas, l'un n'est pas un progrès sur l'autre, chacun véhicule une idée de progrès. Mais chacun aussi amène à se poser la question : Prédire qu'est-ce que le progrès commence par définir le but de l'Histoire avec un H majuscule.

Le progrès notamment technique nous a permis d'améliorer la productivité, notamment au travail, et nous pouvons tous observer à quel point les progrès scientifiques et techniques se sont répandus dans toute la société au point que nous pouvons fabriquer du vivant.
La procréation médicale assistée a permis à des couples à la fertilité incertaine d'avoir des enfants, cette procréation agissait tel un médicament face à un problème de procréation. La technique s'est développée et d'une fécondation dite in vivo, nous sommes passés à une procréation Ex Utero ce qui a donné lieu à l'introduction d'un tiers (spermatozoïde, ovocyte ou embryon) avec une gestation aussi bien chez la génitrice biologique qu'une génitrice extérieure (le cas de la GPA).
La technique permet cela aujourd'hui et les méthodes de techno-reproduction se sont transformées en Assistance médicale Procréative. Cela a induit à un changement de paradigme avec l'émergence d'une fonction injonctive et performative. L'enfant a naître devait être un "bon enfant".
C'est-à-dire que les examens médicaux doivent (déontique) assurer aux futurs "parents" que l'enfant est sans handicap majeur (le cas de la trisomie 21 détectable avant l'implantation dans l'utérus et d'autres maladies identifiables par le dépistage pré-natale non invasif) mais également avec certaines caractéristiques (même phénotype, telle couleur de cheveux ou des yeux, tel groupe sanguin, tel sexe et maintenant tel niveau de QI). Nous sommes donc arrivés au seuil du transhumanisme et de la fabrication d'enfants dits parfaits grâce à la techno-reproduction.

Simplement, ce progrès technique et scientifique fait également l'impasse sur le progrès humain et des conditions de vie qui eux aussi composent ce concept de progrès.

Les études (Aux USA, en Suède et au Royaume-Uni) à ce jour permettent de savoir, par exemple, que les enfants de familles mono-parentales ont une moindre réussite scolaire, ont une probabilité de basculer dans la délinquance et la toxicomanie plus importante.
Par mono-parentale s'entend une famille où l'enfant est orphelin suite à un accident de la vie et maintenant suite à un choix délibéré et volontaire d'une femme, c'est le cas de la PMA femme célibataire. N'est pas considéré comme mono-parentales, des enfants qui seraient sous le régime de la garde alternée, ceux là, ont les mêmes chances de réussite que les enfants de familles non divorcées.

D'autres études, notamment celle de Daly et Wilson, éclairent sur l'Effet Cendrillon, à savoir que des parents non biologiques sont 12 fois plus violents que des parents biologiques. Ainsi dans une famille dite recomposée ou dans le cas d'une PMA de couples, on observe plus de violences de la part des parents sur leurs enfants non biologiques y compris quand le foyer est composé d'enfants biologiques et non biologiques.

L'étude Bowen faite sur 252 enfants montrent que les enfants fabriqués par la méthode FIV ISCI, privilégiée par l'Inserm, augmente le risque de retard dans le développement de l'enfant.

Une étude israélienne montre que les enfants issus de PMA / GPA ont des difficultés d’adaptation scolaire et les enfants eux-mêmes montrent plus d’agressivité et de sentiments anxieux et/ou dépressifs. Les plus problématiques sont des garçons et des enfants ayant des parents d’âge avancé.

Au travers de ces quelques études et il en existe encore d'autres, nous pouvons saisir les difficultés à venir sur les questions de progrès humains et de conditions de vie d'êtres en devenir.

A noter également, une différence entre Parents d'adoption, Tuteurs légaux et Parents d'intention.
Pour les enfants, il existe une différence bien que légalement rien ne distingue ces 3 dénominations.
Les pupilles de la Nation ont des tuteurs légaux, ils ne les reconnaissent pas comme parents.
Les orphelins adoptés distinguent les parents d'adoption des parents biologiques et nous pouvons observer que les parents d'adoption sont souvent accompagnateurs de leurs enfants quand ceux ci sont en recherche de leurs parents biologiques.
Les parents d'intention PMA GPA ont eux davantage tendance à expliquer qu'ils sont les seuls réels parents ce qui à l'adolescence peut créer différents conflits jusqu'à des procès de déchéance de parentalité à la demande des enfants.

Si j'ai tenu à rédiger tout cela et que j'étais heureux de lire votre analyse non pas de féministe mais d'humaine sur cette question et que je tenais, en ma qualité de personne sans filiation biologique à qui l'on a imposé une filiation d'intention que je refuse, mon point de vue et comment j'analysais cette question avec les mises en exergue effectuées.
Je ne prétends pas détenir la vérité mais simplement à exprimer comment un individu à qui on a volé son identité biologique délibérément malgré, je n'en doute pas de bonnes intentions initiales, comment une personne directement concerné par ce sujet peut à la fois être en accord avec l'asservissement techno-reproductif que vous avez explicité et en même temps avoir un avis quelque peu décalé sur le sujet puisque nous ne partageons pas les mêmes cardinaux dans l'analyse.

Cordialement.









La PMA n’est pas une victoire féministe

C’est sans grande surprise que l’Assemblée nationale a voté l’ouverture de la PMA aux femmes célibataires et aux couples lesbiens ce vendredi 27 septembre. Ce vote, célébré par moult effusions de joie, est décrit comme une « grande avancée » pour les femmes. Les associations féministes et LGBT, qui ont grandement porté ce projet de loi, s’accordent sur le sujet : la PMA est une question d’égalité sociale, une mesure féministe qui permet aux femmes de contrôler leur fertilité comme elles l’entendent. Elle serait un moyen de sortir du « modèle hétéro-patriarcal » qui veut qu’il faille un homme pour élever un enfant et former une famille.
Pour l’opinion progressiste, ceux qui s’y opposent sont soit des fidèles éparpillés de feu la Manif pour Tous, soit des droitistes rétrogrades et homophobes. Dans tous les cas, s’opposer à la PMA, c’est prendre le risque d’être remis à sa place par les partisans du progrès, qui semblent malheureusement croire que tout ce qui est innovant et fondamentalement opposé aux modèles et aux principes du passé constitue un progrès moral. À ce progrès s’oppose la droite conservatrice et traditionnelle, qui ne serait qu’un frein aux avancées de l’humanité puisqu’elle cherche à nous maintenir dans l’obscurité des cavernes de l’âge primitif. Dans Marianne, Jacques Julliard écrit :

La suite

6 oct. 2019

PMA / GPA : Les impacts sur les enfants que la France préfère ignorer face au chantage des LGBT français


Impact sur les enfants

Selon David Blankenhorn , [20] Patrick Fagan , [21] Mitch Pearlstein [22], David Popenoe [23] et Barbara Dafoe Whitehead [24] , le fait de vivre dans une famille monoparentale est fortement corrélé à l'échec scolaire et aux problèmes de délinquance, de drogue utilisation, grossesses précoces, pauvreté et dépendance à l’aide sociale aux États-Unis. En utilisant une modélisation à plusieurs niveaux, Suet-Ling Pong a montré qu’une forte proportion d’enfants américains issus de familles monoparentales obtenaient de piètres résultats en tests de mathématiques et en lecture. [25] [26]
 
En Suède, Emma Fransson et al. ont montré que le bien-être physique, la santé mentale, l’amitié entre amis, l’intimidation, les activités culturelles, les sports et les relations familiales des enfants vivant avec un seul parent étaient plus dégradés que ceux des enfants de familles intactes. En revanche, les enfants bénéficiant d'un partage des responsabilités parentales qui vivent à peu près autant que leurs père et mère divorcés jouissent du même bien-être que les enfants de familles intactes et obtiennent de meilleurs résultats que les enfants avec un seul parent gardien. [27]
 
L' Office des statistiques nationales du Royaume-Uni a signalé que les enfants de parents célibataires, après contrôle d'autres variables telles que le revenu familial, sont plus susceptibles d'avoir des problèmes, notamment deux fois plus susceptibles de souffrir de maladie mentale. Des chercheurs britanniques et américains ont montré que les enfants sans père étaient trois fois plus susceptibles d’être malheureux et qu’ils étaient également plus susceptibles d’avoir un comportement antisocial, d’abuser de la drogue et de se livrer à la délinquance juvénile. [29] [30] [31] [32]

Wikipedia 

A cela, il faut rajouter l'effet Cendrillon :

Les "parents d'intention" non biologiques sont plus violents que les parents biologiques. Pour 1 violence pour 1000 parents biologiques, l'étude Daly et Wilson montre 12 violences pour 1000 parents non biologiques. La même étude montre que dans les familles recomposées, les "parents d'intention" sont plus violents avec leurs enfants non biologiques qu'avec leurs enfants biologiques. Vous pouvez également lire l'étude de Boris Cyrulnik sur la biologie de l'attachement. puisque ce monsieur est le maitre à penser des 1000 premiers jours de l'enfant depuis l'action lancée par la présidence française Macron

Et pour conclure, sur les impacts et violences sur les enfants, il faut rajouter les violences conjugales qui sont plus importantes dans les couples de lesbiennes que dans les couples d'hétérosexuels et d'homosexuels hommes comme l'a démontré la CDC, l'équivalent de l'Insee au Canada. 
Une femme lesbienne a 44% de probabilités d'être violée par sa compagne. Une femme bisexuelle, 56% d'être violée par sa compagne et une femme hétérosexuelle  a 35% de probabilités d'être violée par son compagnon.

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4 oct. 2019

France PMA / GPA : Les hétérosexuels (toujours) autorisés à s'accoupler pour faire des enfants.

La déchéance de la France se poursuit !

Nous comprenons la logique du discours d'Aurore Bergé, car pour certains représentants et promoteurs des PMA / GPA, les hétérosexuels qui font des enfants naturellement stigmatiseraient les couples de lesbiennes et d'homosexuels qui doivent recourir à la PMA / GPA.

Quand les féministes lesbiennes, après leur victoire pour la parentalité à la filiation fictive proposent des thérapies de conversion aux hétérosexuelles car d'après elles, on peut devenir Lesbiennes par choix. Nous comprenons mieux la déchéance intellectuelle qui traverse le mouvement féministe français.

https://www.lesinrocks.com/2019/09/20/actualite/societe/a-paris-un-festival-feministe-propose-de-sortir-de-lheterosexualite/

Et pour conclure, un amendement déposé par la France Insoumise pour faire interdire les mentions d'homme et femme sur l'état civil car cela discriminerait les transsexuels.


Quand, sur la base d'une étude anglaise sur les changements de sexe qui ont augmenté de 5 377 % ces dix dernières années et que ces opérations sont préconisées par les associations LGBT de plus en plus tôt, le nombre de personnes regrettant leur changement de sexe augmente de plus en plus.

1 oct. 2019

En France, un prénom est considéré comme portant atteinte à l'enfant contrairement à une filiation fantasmée : Jihad et la filiation LGBT?



La vie française est faite d'anodins symboliques. C'est dans ces détails non pas que le diable se cache mais que les paradoxes français se révèlent en plein jour.

L'Assemblée Nationale a voté le droit à la PMA Sans père où la filiation fantasmée prime sur la filiation biologique. Le réel n'a plus d'importance, les revendications l'emportent, peu importe l'Intérêt Supérieur de l'Enfant.

Si la France a su à une époque désormais lointaine séparer l’État de l’Église, la Science et la raison des croyances, ce n'est plus le cas aujourd'hui, nous assistons à un basculement au nom d'intérêts communautaires divers et variés.

L'état civil admet que deux femmes peuvent enfanter et fait écrire noir sur blanc que l'enfant est issu de deux femmes ou deux hommes. La science a beau progresser, elle n'en est pas capable mais peu importe le réel et ses conséquences, la tyrannie des minorités l'emporte. La croyance prime à nouveau sur le réel.

Pour autant, la justice française considère que le choix d'un prénom peut porter préjudice à l'intérêt de l'enfant si les parents souhaitent nommer leur enfant Jihad et les invitera à choisir Jahid, ce qui signifie la même chose mais serait moins connoté "guerrier" pour ceux ne maitrisant pas la langue arabe. Nous appelons cela un jeu de dupes.

Cela ne manque pas de cynisme car Latifa Ibn Ziaten peut écrire sur Twitter qu'elle est heureuse de faire son Jihad sans que cela n'émeuve personne puisqu'elle est invitée partout et présentée comme une sainte et peut se promener dans les écoles avec son voile et faire ce que nous considérons comme du prosélytisme religieux en toute tranquilité. 
Ce qui ne manque pas de sel à la vue de son traitement différentiel entre son fils tué par un terroriste islamiste faisant un "Jihad" et son autre fils vivant et homosexuel qui doit rester caché. L'un a les honneurs, l'autre est banni. Cocasse comme situation pour la France vu les débats qui s'y déroulent et les arguments mis en avant.

Pour conclure sur les défaillances de la Justice en France concernant la parentalité, une étude de 2013 du gouvernement sur les gardes d'enfants lors des séparations : 

"Dans le cadre de ces 6 042 décisions définitives, la résidence chez la mère a été prononcée dans 71% des situations, la résidence en alternance dans 17% des situations, la résidence chez le père dans 12% des situations et la résidence chez un tiers dans des cas très marginaux (0,1%)." 

Exprimé autrement : En cas de divorce, si vous êtes le père et que votre demande est en désaccord avec la mère alors vous n'avez que 4% de chance d'être satisfait.

Les juges étant majoritairement des femmes et considérant que la femme est plus apte à élever un enfant. Cela explique aussi la décision française concernant la PMA sans père. Nous mettons en parallèle, le taux de suicides des français qui est le plus élevé d'Europe. Nous vous laissons chercher non la cause mais les corrélations !

Bonne réflexion ! 


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29 sept. 2019

Municipales 2020 : Les Gilets Jaunes sont toujours plus populaires que Macron et ses sbires.

Une chose que vous ne lirez pas dans la presse française subventionnée par la Macronie est que la côte de popularité des Gilets Jaunes est toujours supérieure à celle de la Présidence Macron.

Ce mouvement des Gilets Jaunes qui en décembre 2018 a fait trembler l'oligarchie française prise de peur d'être destituée est toujours populaire.

Pour rappel, les Gilets Jaunes qui se sont installés sur les ronds-points ont fait l'objet de différents sondages :

Selon Yougov :

Décembre 2018 : Plus de 70 % des français soutiennent l'action des Gilets Jaunes avec quelques différences suivant les convictions politiques. Les français centristes étant ceux qui soutiennent le moins les Gilets Jaunes avec 50 % d'avis favorables quand ce taux monte à 82% pour les sympathisants de droite et 72 % pour ceux de gauche.

Mars 2019 
La popularité des Gilets Jaunes est à 56 % d'opinions favorables et 69 % de français à toujours considérer les manifestations chaque samedi comme justifiées.
55 % des français doute de la probité du gouvernement et d'Emmanuel Macron quant à la restitution des doléances exprimées lors du faux débat national organisé par l’Élysée.

L'impopularité du président de la République est majeure, Emmanuel Macron ne bénéficie que de 24% d’opinions favorables + 3 points.  
sondage Yougov pour huff Post et CNews


Avril 2019 : Après une répression policière des plus sanglantes, des éditoriaux de la presse subventionnée par la Macronie sur les Gilets Jaunes plus infamants les uns que les autres où ils sont décriés bien plus que des terroristes, ce qui est inique, les français soutiennent toujours majoritairement les Gilets Jaunes à hauteur de 50 % Vs la Macronie toujours à moins de 30 % de popularité.

La presse française ne relaie pas ces sondages de popularité mais axe toute sa communication sur la baisse de mobilisation qui s'explique en partie par les violences policières. 

En revanche, la presse française ne cesse de communiquer sur la hausse de popularité de la Présidence Macron qui pourtant ne dépasse pas les 30 %. Les Gilets Jaunes ont 20 points d'avance sur Emmanuel Macron malgré le déluge d'articles contre les Gilets Jaunes.

Qui sont les Gilets Jaunes ?

L'institut Montaigne a dressé un portrait de ces Gilets Jaunes avec une étude : La France en morceaux



Les Gilets Jaunes étaient initialement un mouvement dit des Ronds-Points où l'intelligence collective a fait son œuvre dans un premier temps où chacun en fonction de ses habiletés, de ses priorités a permis un mouvement qui a cassé les codes des manifestations habituelles où un gouvernement s'attend à dialoguer avec des représentants afin de mieux négocier et de mieux diviser.

La Force des Gilets Jaunes résidait dans le fait qu'aucun représentant officiel ne pouvait coordonner l'ensemble ce qui a eu en effet négatif d'observer quelques têtes se disant représentatives et quelques mouvances politique tentées de réaliser un hold-up du leadership en proposant leurs services.

Actuellement, nous pouvons observer une partie de la gauche ,bien que réfractaire à ce mouvement initialement, propose des solutions "d'universités populaires et citoyennes" où la pensée est déjà gangrenée aussi bien par des altermondialistes que des indigénistes chez qui l'intérêt général n'est qu'un prétexte à des intérêts particuliers rétrogrades, racistes et sectaires.

Les élections municipales de 2020 si le mouvement des Gilets Jaunes reste décentralisé et non capté par les obédiences politiques de droite et de gauche pourraient voir quelques municipalités gagnées par des Gilets Jaunes soucieux d'une société plus respectueuse des uns et des autres et de l'identité de son territoire mais sans les traditionnels leitmotivs archaïques de la droite et de la gauche.

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