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2 févr. 2020

La lapidation du dernier français : Grâce à la féministe Yael Mellul, les femmes enfin condamnées pour le suicide forcé de leur conjoint et conjointe.



Suite au Grenelle des violences faites aux femmes hétérosexuelles organisé par la secrétaire d’État Marlène Schiappa, les associations féministes se battaient entre elles pour avoir le plus de subventions de l’État français. Chaque association avançait des théories plus ésotériques les unes que les autres sur l'origine des violences chez le mâle Blanc et seulement chez le mâle Blanc. L'épisode du MillaGate avait démontré qu'une lesbienne blanche pouvait être menacée de mort et interdite de scolarité sans que les féministes et les partis de gauche ne lèvent un œil. L'ésotérisme était tel que certaines féministes se nommaient désormais Les Sorcières. Rarement un tel niveau d'obscurantisme n'avait régné en France avec les mouvements féministes qui s'étaient affranchis depuis bien longtemps de la raison et des sciences.

L'une des féministes, Yael Mellul qui avait échoué à faire condamner le chanteur Bertrand Cantat pour le suicide d'une de ses ex-compagnes cherchait à tout prix à faire condamner les hommes pour le suicide qu'elle qualifiait de forcé chez leur conjointe. Même s'il était étonnant qu'une personne comme Yael Mellul qui avait la qualité d'avocate, c'est-à-dire sans lien avec la médecine et la psychiatrie pour avoir un fondement scientifique sur les causes multiples d'un suicide, soit considérée comme compétente sur ce sujet, son intense lobbying auprès du gouvernement avait porté ses fruits. Les ministres de l'emploi et de l'économie et les banquiers devaient-ils être condamnés suite à la hausse des suicides en raison de la crise de 2008 ? 

Le pedigree de cette féministe aurait dû dissuader un quelconque gouvernement d'écouter cette femme, elle était connue pour être un soutien de l'association la LDJ, une organisation jugée comme terroriste par les USA. Elle avait affiché son soutien sur twitter en 2015 à leurs actions de piratage. En France, des membres de cette association avaient déjà été condamnés pour des faits de violence contre différentes personnes dont l'un des ex-membres avait été envoyé aux assises pour  violences volontaires avec préméditation ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Elle avait milité pour la pénalisation des clients de prostitués et obtenu gain de cause quand les études en Europe montraient que ce genre d'actions entraînait plus de violences et de stigmatisations pour les personnes ayant décidé de faire librement le commerce de leur corps.



Cautionner la violence des uns, participer à plus de violences contre les prostitués et accuser sans fondement la violence et la responsabilité des autres, tout cela pouvait être considéré comme schizophrénique et loin d'une position d'une démocrate s'en remettant à l'impartialité de la justice et au libre arbitre des personnes dont les femmes, mais bon sans travail et devoir de mémoire qui se souvenait des actions terroristes des premières féministes, les suffragettes ?

L'histoire serait ironique en réaffirmant la force du réel face aux obscurantistes. Si la France avait adopté les recommandations de Yael Mellul, la science allait faire son entrée au tribunal et les chiffres de suicides suite à des violences domestiques étaient sans appel pour les femmes.


Au-delà de la réalité de ces chiffres et des conséquences pour la circonstance aggravante lors d'un suicide d'un des conjoints, l'autre question que posait l'action de Yael Mellul était que cela faisait des femmes des êtres inférieurs aux hommes. 
En effet, les causes du suicide étudiées par la suicidologie posait une question sans réponse : Si le suicide, le meurtre de soi est l'ultime liberté laissée à un homme, enlever cette explication aux femmes, les rendaient incapables d'être responsables de leurs actes par elles-mêmes, soit des enfants éternels, des êtres sous tutelle. 
Ainsi, il en était de l'obscurantisme des féministes en France qui se retrouvait dans les propos et les actions de Yael Mellul ou de l'association Osez le féminisme chez qui elle donnait des conférences sur le thème le suicide forcé des femmes dans le cadres des violences conjugales en oubliant aussi bien les hommes que les lesbiennes. 
Mais, peut-être, pensait-elle comme la féministe Monique Wittig pour qui les lesbiennes n'étaient pas des femmes, comment savoir chez les obscurantistes qui raisonnaient sur des croyances éculées ?
Peut-être ignorait-elle que les violences conjugales sont plus importantes chez les couples de lesbiennes que dans les couples hétérosexuels et les couples d'homosexuels, comment savoir ?
Le rapport du gouvernement avait omis les meurtres de femmes par leur conjointe et les associations Nous Toutes et Osez le féminisme ne comptabilisaient pas les meurtres de femmes lesbiennes par leur conjointe comme féminicide, un terme impropre, uxoricide aurait été le bon terme.
Les obscurantistes ne lisaient pas les rapports scientifiques et ne comptabilisaient que les cas qui accréditaient leurs croyances, qui elles seules comptaient pour leur esprit. Le réel appartenait donc au déni, au monde profane, elles vivaient dans un monde sacré où les femmes étaient des princesses Disney en attente d'un prince charmant.

L'équation 2 + 2 = 5 devait être considérée comme vraie pour croire que les violences conjugales étaient le fait des seuls hommes et mettre de côté les apports de la Science. Mais bon, la réalité savait être patiente et en attendant l'image des femmes par les féministes ravissait les religieux et leur ordre patriarcal.
La dernière vidéo d'une autre féministe Maïa Mazaurette, une femme qui se vivait comme un trou à bites y expliquait que les pratiques lesbiennes étaient plus en adéquation avec la réalité du corps féminin, que les femmes devaient sortir du genre et des idées reçues. Le lesbianisme était un choix pour cette féministe dont le média Brut faisait la promotion. Les féministes commençaient à développer le même discours que les religions sur l'homosexualité, le choix.
Les féministes françaises étaient devenues des êtres sans tête, bonnes pour le palais des mythes et des croyances. Le réel n'était pas un lieu de vie pour ces femmes sous emprise de l'idéologie féministe et qui étaient dans la paranoïa du patriarcat. Une lesbienne avait plus de probabilité d'être violée par sa conjointe qu'une femme par son mari mais les féministes ne lisaient pas les études scientifiques comment auraient-elles pu savoir ?

Les épisodes précédents :
https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais.html

https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais_12.html

https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais-des.html

https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais-les.html

https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais-de.html 




https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais-de_29.html

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