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18 sept. 2019

PMA / GPA : De l'enfant désir à l'enfant idéal, l'enfant paie le prix fort !

Dans cet article s'expriment nos membres en qualité d'homosexuels et de personnes à la filiation biologique refusée par l’État français au profit d'une filiation fictive dite d'intention suite à des projets parentaux de français.

Nous précisons cela pour couper court à la diffamation d'homophobie largement usitée par des associations et militants LGBT qui s'autoproclament représentants des homosexuels, comme si le fait d'être homosexuels, bisexuels ou transgenres faisaient des LGBT des individus avec un humanisme distinctif des hétérosexuels.
Promouvoir la PMA / GPA, promouvoir la privation de filiation à des humains en se présentant comme défenseurs des droits est juste une technique sans aucune éthique. Une instrumentalisation de l'homophobie qui ne fait qu'engendrer beaucoup plus de violences à l'égard des LGBT lambda. Et, c'est pourquoi nous ne condamnerons plus les violences à l'égard de ces gens-là, cela nous indiffère vu leur éthique.

Le désir d'enfant d'un humain peu importe sa sexualité et son genre est parfaitement légitime, la question et la problématique de la PMA / GPA engendrée ne reposent pas sur cette légitimité mais sur les moyens d'y arriver et comme dit l'adage, la fin ne justifie pas les moyens.



Deux lesbiennes, deux homosexuels ou une femme seule ne peuvent avoir d'enfant sans une tierce personne, ce n'est pas une discrimination mais une limite biologique. Les humains ne sont discriminés par rapport aux oiseaux parce qu'ils ne peuvent voler dans le ciel. Ils prennent l'avion, un ULM ou un drone, ils ne demandent pas à la science et à la technique de leur greffer des ailes.

Faisons un premier arrêt, l'aspect technique sur la procréation artificielle : PMA ou AMP Assistance Médicale à la Procréation.

La PMA, Procréation Médicale Assistée avec spermatozoïde ou avec ovocyte ou avec embryon.

L'IAC ou Insémination Artificielle avec le sperme du Conjoint. Il s'agit d'une fécondation dite In Vivo où le sperme du conjoint est inséminé dans l'utérus de la femme. L'embryon se forme In Utero.

L'IAD ou Insémination Artificiel avec le sperme d'un Donneur. Il s'agit là encore d'une fécondation In Vivo, l'embryon se forme dans l'utérus de la femme.

La FIV - C et la FIV- D : Dans ce cas, que le sperme soit du Conjoint ou d'un Donneur, l'embryon se forme dans un laboratoire, il s'agit d'une fécondation In Vitro, les embryons formés sont ensuite transplantés dans l'utérus de la femme.
De même,  en cas d'infertilité ou d'hypofertilité de la femme, la PMA avec ovocytes ou avec embryons en cas d'infertilité des deux.

En 2015, selon les chiffres de l'Inserm, il y a eu 145 000 tentatives d'AMP pour 25 000 naissances pour des couples hétérosexuels.
La France interdisant l'AMP aux homosexuels pour le moment.
La loi est contournée par les LGBT à fort pouvoir d'achat en faisant des AMP et GPA à l'étranger puis exigeant une reconnaissance de filiation à la France, ce qui est possible depuis la circulaire Taubira. Ainsi, la France accepte et légalise les pratiques eugénistes de ses citoyens faites à l'étranger.

Maintenant que la question technique est réglée et avec un taux de réussite de procréation qui est à 20%, il est plus facile de saisir les problèmes psychiques et traumatiques que cela occasionne chez les  "parents" avec tous les examens médicaux nécessaires qui font que si habituellement l'enfant nait du désir lors d'un acte sexuel, il n'en est pas de même quand le désir d'enfant passera par une série d'actes médicaux, d'examens et de traitement, d'échecs, d'attentes déçues jusqu'à la réussite de la grossesse et de l'accouchement.
Ce vécu parental singulier avec les PMA / GPA fait que la grossesse vécue comme "précieuse" et l'enfant vécu comme Miracle ne générera pas les mêmes attentes, le même investissement que chez les parents où la conception résulte d'un simple acte sexuel.
Ainsi, une étude comparant le comportement des femmes pendant la grossesse suivant que cette conception résulte d'un IAD ou d'une conception naturelle montre des différences comportementales.
Avec IAD, les femmes limitent leurs activités, cessent toute sexualité et montre une anxiété plus grande. Elles développent moins de "conversations" avec l'embryon, participent moins à des groupes de préparation à l'accouchement, et privilégient la césarienne comme méthode d'accouchement.

La technique de la FIV est celle qui conduit aux techniques eugénistes avec le choix du sexe de l'enfant, de sa couleur de cheveux et des yeux et depuis peu de son QI.

Aussi bien aux USA qu'à Chypre dans la partie turque, les médecins proposent de choisir l'embryon à implanter en fonction de ces critères et d'effectuer la mise à mort des embryons ne répondant pas aux critères des futurs "parents". 
A titre d'exemple, une étude américaine portant sur 40 familles de pères gays créées par substitution (principalement gestationnelle) et sur 55 familles de mères lesbiennes créées par insémination par donneur a révélé que 60% des enfants de ces hommes étaient des garçons et 40% des filles, tandis que les enfants nés de femmes étaient 50,9% de garçons et 49,1% de filles  Blake et al. 2016 ; Golombok et al. 2017: 6 ).

Sur le développement cognitif des enfants issus de PMA / GPA, des différences existent suivant la méthode de PMA / GPA retenue. Alors que la méthode la plus efficace pour réussir la conception est la FIV ISCI d'après l'Inserm, cette méthode présente le plus de risque de retard de développement pour les enfants conçus ainsi selon l'étude Bowen et al faites sur 253 enfants.

Une étude israélienne montre également pour les garçons issus de PMA / GPA, que des instituteurs remarquent des difficultés d’adaptation scolaire et les enfants eux-mêmes cotent plus d’agressivité et de sentiments anxieux et/ou dépressifs. Les plus problématiques sont des garçons et des enfants ayant des parents d’âge avancé.
Nous notons également une différence de comportements entre les parents dits adoptifs et les parents PMA / GPA. Les parents adoptifs ont tendance à accepter et à encourager leurs enfants adoptés à retrouver leurs parents biologiques pour leur bien-être. Les parents PMA / GPA se décrivent comme les seuls réels parents de ces enfants peu importe le mal-être que cela engendre.

Les débats lors de la commission bioéthique ont montré d'après les pédopsychiatres et professionnels de l'enfance présents, des enfants plus fragiles, une construction psycho-affective plus problématique.
Et comme pour les enfants adoptés, nés sous X, l'impossibilité d'avoir accès à ses origines biologiques augmente le risque suicidaire chez les enfants privés volontairement de leur identité réelle. 

D'après les pédopsychiatres, les parents PMA / GPA fonctionnent bien dans la réalité, mais ils laissent peu de place à l’émotion, aux rêves et à la fantasmatisation. Ils ont mis toutes leurs forces et ont utilisé tous les moyens possibles pour parvenir à leur but qui était d’obtenir un enfant. 

De la même façon, ils programment son devenir. Ils ont des ambitions accrues pour lui, et l’enfant doit dès lors les récompenser de leurs efforts. Ils le poussent pour avoir des acquisitions précoces, ils exigent d’excellents résultats scolaires, ils dictent son comportement. Ils sont incapables d’apercevoir l’enfant réel avec ses besoins, ses difficultés, ses impuissances. Le seul enfant qu’ils peuvent en fait prendre en compte, c’est l’enfant imaginaire, héritier de leur propre idéal du moi. Sa naissance leur a en quelque sorte prouvé qu’ils peuvent être vainqueurs, intervenir sur la fatalité et se montrer plus forts que la nature. 

L’enfant incarne un bien précieux qui a été très difficilement obtenu et son intégrité doit absolument être préservée. Le danger est toujours extérieur à la famille, l’enfant se voit irrationnellement identifié à une personne handicapée, la peur de la stigmatisation et de la levée du secret domine. La surprotection a comme résultat la suppression de l’autonomie de l’enfant, son inhibition émotionnelle et quelquefois psychomotrice. La dépendance est la seule manière possible de nouer des relations familiales. Les problèmes s’aggravent à l’adolescence où l’adolescent se trouve écartelé entre deux tendances : soit accepter la situation de dépendance et reconnaître l’autorité parentale, soit assumer des mouvements de séparation et d’individuation vécus comme destruction et abandon des imagos parentales.

L’enfant souffre sous le poids de l’attente des parents et essaie de toutes ses forces d’être à la hauteur des ambitions parentales. Il paie souvent les frais de la pression d’un idéal impossible à satisfaire.



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17 sept. 2019

France et les enfants parfaits : Du Lebensborn aux enfants des PMA / GPA

Le mythe de l'enfant parfait n'est pas une nouveauté du 21e siècle, l'eugénisme est une vieille lanterne accompagnant la société du progrès.
L’eugénisme peut être désigné comme « l’ensemble des méthodes et pratiques visant à améliorer le patrimoine génétique de l’espèce humaine ». Il peut être le fruit d’une politique délibérément menée par un État. Il peut aussi être le résultat collectif d’une somme de décisions individuelles convergentes prises par les futurs parents, dans une société où primerait la recherche de l’« enfant parfait », ou du moins « indemne de nombreuses affections graves ». Le terme eugenics a été employé pour la première fois en 1883 par le scientifique britannique Francis Galton

La médecine du 21e siècle a des pratiques eugénistes alors que la société plaide pour une acceptation des enfants handicapés, un paradoxe de la société dite inclusive.

L'eugénisme est surtout connu en Europe avec la période nazie et le mythe de la race aryenne.
De là, la fabrique d'enfants dits parfaits a commencé avec les enfants du Lebensborn dont des centres de maternité en France.

Le projet Lebensborn
 


Une première vidéo sur les enfants du Lebensborn


Dans cette première vidéo, les critères de sélection sont explicités et ne sont pas différents des critères de sélection aujourd'hui.

En effet, dans le cadre de PMA / GPA avec donneurs anonymes, ovocytes, spermatozoïdes ou embryons, des « parents d'intention » peuvent choisir les critères du donneur ou de la donneuse et procéder à des IVG sélectifs sur la base du sexe de l'enfant, de sa couleur de peau, de sa couleur de cheveux ou des yeux, de son groupe sanguin et de son niveau de QI.
Bien entendu toutes les maladies détectées engendreront un IVG sélectif, seuls les embryons correspondants aux desiderata des adultes seront implantés.
Des centres de procréation humaine intègrent l'intelligence artificielle et la reconnaissance faciale pour permettre aux femmes seules de disposer d'ovocytes ou d'embryons avec une forte ressemblance pour que l'illusion soit à son maximum.

A noter pour la couleur de peau, si une femme a le droit de faire des enfants avec qui bon lui semble, soit peu importe sa couleur de peau. Pour la PMA / GPA, il est demandé une concordance de couleur de peau avec celle qui sera légalement sa mère. Ainsi, une femme blanche célibataire a le droit de coucher avec un homme noir et de faire un enfant mais cette même femme blanche n'a pas le droit de faire une PMA avec un donneur noir.

Dans cette deuxième vidéo, le témoignage des enfants du Lebensborn. Nous retrouvons les mêmes discours que nous avions rédigés en prenant appui sur des orphelins de père et de mère. Et là également, nous observons que souvent les enfants doivent attendre la mort de leurs parents adoptifs pour faire leur enquête. Comme vous le savez pour ceux qui nous ont déjà lu, nous avons parmi les membres de notre collectif, des personnes qui parlent d'identité volée concernant la possession d'état et la non reconnaissance de leur filiation biologique par l'état français.



Qu'en est-il en 2019, des critères de sélection lors de la fabrique d'enfants ?
Nous vous laissons chercher les différences avec les critères de sélection des enfants du Lebensborn !


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Violences conjugales : Les LGBT plus violents que les hétérosexuels ? Que disent les recherches universitaires ?

Dans notre série d'articles sur la PMA / GPA puisque la France s'apprête à légaliser les filiations fictives, ce que nous nommons comme une nouvelle forme de traite infantile avec le vol d'identité légalisé. Et comme Marlène Schiappa est heureuse d'organiser le premier Grenelle des violences faites aux femmes hétérosexuelles puisque les violences faites aux lesbiennes par des lesbiennes sont ignorées, il nous a semblé important d'aborder la question des violences conjugales qui sont largement taboues en France et plus encore au sein des LGBT.


Nous avons donc enquêté auprès des universitaires afin de disposer de faits, de chiffres dûment vérifiés pour neutraliser l'accusation classique d'homophobie lancée par les mouvances LGBT dès lors qu'on aborde ces questions pour faire taire toute réalité scientifique sur le sujet.

Vous noterez que si les Média français se félicitent de mettre ce qu'ils nomment diversité dans les programmes fictionnels comme les séries télévisés où des personnages affichent leur sexualité comme dans Plus Belle La Vie ou une des séries diffusées sur M6, nulle diversité dans les spots de prévention contre les violences conjugales et infantiles.


https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/aude/carcassonne/feminicides-marche-blanche-carcassonne-souvenir-valerie-drif-1719311.html
A noter que les féministes évoquent le terme de "Féminicide" quand une lesbienne tue sa compagne. Et elles accusent le "patriarcat" soit les hommes, la force de leur déni est sans équivalent.

L'université du Michigan a mené une enquête en 2018 sur 320 hommes, soit 160 couples homosexuels.

"Si vous regardez juste la violence physique et sexuelle dans les couples masculins, elle représente entre 25 et 30%, soit environ la même que chez les femmes", détaille Rob Stephenson, directeur du Centre sur les Disparités Sexuelles et Médicales. " 3 homosexuels tués en France par leur partenaire en 2016. Les média communiquent peu sur ces meurtres et violences notamment en pleine période de vote sur la PMA / GPA.
Il y a quelques années, une étude canadienne avait établi que 15% des gays et lesbiennes auraient été victimes de violences conjugales contre 7% chez les hétérosexuels au cours de l’année 2004. Selon le site spécialisé rezosante.org.

Si les statistiques varient, selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, près d'une femme sur cinq aux États-Unis se fera violer ou subira une tentative de viol au cours de sa vie. Un rapport de 2013 du département de la Justice des États-Unis indique que les hommes blancs sont les coupables les plus courants.

Les données collectées par les Centres pour le contrôle des maladies semblent confirmer ces observations, et les lesbiennes et les femmes bisexuelles sont plus susceptibles de subir la violence de leur partenaire. 44 % des lesbiennes et 61 % des femmes bisexuelles – contre 35 % des femmes hétérosexuelles — subiront un viol ou la violence physique de leur partenaire au cours de leur vie.  

En situation conjugale, une femme a plus de probabilité d'être violée et/ou violentée par sa compagne lesbienne que par son compagnon hétérosexuel.

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14 sept. 2019

La PMA / GPA sans père sans mère augmentera-t-elle le taux de suicide de ces enfants en kit ?

Il n'y a pas eu de débat en France sur la PMA / GPA, il y a eu une fabrique du consentement avec des leaders d'opinions, ni plus ni moins.



Le plus stupéfiant a été la mise en avant de "belles histoires" comme celle de Marc-Olivier Fogiel avec Comment j'ai commandé et acheté une fille pour 150 000 € ou le témoignage d'enfants de 8 ans sur France Info quand les problèmes psychologiques surviennent à l'adolescence. L'appel aux témoignages d'enfants si jeunes sans aucun esprit critique est digne de la propagande de Goebbels oui le monsieur communication de l'Allemagne Nazie qui n'avait que recopié les principes de la fabrique du consentement du neveu de Sigmund Freud, l'américain Edward Bernays.
Et le détail qui montre la fabrique de consentement chez France Television et France Info et que les commentaires sont désactivés pour toutes les vidéos PMA / GPA où des militants LGBT sont laissés libres d'exprimer leurs mensonges et leurs mythes sans contradiction possible.

La PMA sans père comme la GPA sans mère crée de facto des orphelins de père ou de mère et crée une discrimination de naissance entre les enfants issus d'un couple hétérosexuel et ceux de couples LGBT ou de célibataires.

Ainsi, ces enfants sont proches non pas d'enfants naturels ou classiques mais des orphelins, où il existe quelques études dont celle de leur surmortalité par suicide. Les autorités tentant pour le moment de prévenir au mieux les problèmes psychologiques engendrés par le statut d'orphelin de père, de mère ou des deux et le risque de suicides plus élevé.

Les premières études sur les orphelins ont montré que la France procédait par contournement concernant la question de l'orphelinage.Etude Herve 1998 et comment le traitement social en France affecté les orphelins Etude Habchy 2014.

De plus, pour ces enfants en Kit avec le choix du sexe, de la couleur des yeux, de la couleur de cheveux, de la couleur de peau, du niveau de QI, certains n'accepteront pas ce mythe souhaitant remplacer la réalité de leur filiation biologique et l'enfant fera un distinguo entre la procréatrice biologique et l'adoptante. Cette dernière est considérée dans certains cas comme une intrus à la place du père comme le relatent Marie-Claude Mietkiewicz, Lise Lemoine et Benoît Schneider dans l'ouvrage Dialogue de Pierre Delion et Didier Drieu sur les différentes néo-parentalités, les troubles associés et les accompagnements nécessaires afin d'éviter au mieux les désordres psychologiques chez l'enfant qui se présentent avec les symptômes de violences, instabilités, troubles de l'attention et les difficultés à accepter la frustration mais pour ce dernier vous deviez vous en douter puisque la PMA sans père résulte de la non acceptation d'une frustration.
 
La difficulté majeure pour les orphelins résulte dans les faibles études entreprises à leur sujet, un intérêt sociétal mineur excepté le film sur les enfants de l'ASE : Enfants en souffrance, la honte.


Car si la volonté des LGBT est d'avoir un enfant, leur volonté s'accompagne aussi de la mise à mort de 50 % de la filiation biologique de l'enfant. Et cette mise à mort dépend du bon vouloir ou des désirs des LGBT et non de l'enfant et de ses droits, soit de l'adulte en devenir qu'ils privent de son identité réelle avec toutes les conséquences qui en découleront comme explicités.

Car comme nous l'avons déjà écrit, des personnes à la filiation biologique refusée ont préféré le suicide à une vie sous une identité qui n'était pas la leur. Les parents peuvent pleurer si ils le souhaitent, ils sont à l'origine de cette identité volée.


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France PMA / GPA : Les LGBT obtiennent la mort des droits de l'enfant.

Les députés français viennent de voter le fait que la filiation fictive l'emporte sur la filiation biologique. La création d'enfant orphelin de père est actée. Comme nous l'avons déjà écrit, ces parents LGBT créent par la même occasion une nouvelle famille de suicides, celle d'individu refusant de vivre avec une identité fantasmée comme nous l'avions expliqué dans un de nos articles précédents concernant la PMA / GPA avec les suicides de personnes à qui la France refuse leur filiation biologique.

Pour Nicole Belloubet, la filiation ne doit plus reposer sur la biologie mais sur l'unique volonté. Chacun peut décider d'être le parent de n'importe qui. les caprices des françaises l'emportent sur la réalité. La France bafoue une fois de plus les droits de l'enfant pour faire plaisir à un corps électoral, celui de la communauté LGBT.

La possession d'état prime sur les droits de l'enfant qui meurent ce jour en France. Un individu ne pourra pas porter le nom de son géniteur mais on lui imposera de porter le nom d'une personne avec laquelle il n'a aucun lien de parenté biologique.

A ce tire, un père biologique s'est vu refusé la garde de son enfant. En effet, un homosexuel avait conclu un accord commercial avec une génitrice porteuse mais cette dernière bien qu'ayant conçu l'enfant à l'aide du spermatozoïde de cet homosexuel a préféré vendre l'enfant à un couple hétérosexuel. La justice française a donne raison à la  génitrice porteuse.

Autre exemple, un enfant à la paternité délibérément falsifiée par deux adultes français s'est vu refusé son droit à sa réelle filiation malgré le recours à des faux en écriture de ces deux adultes. Deux adultes français peuvent voler l'identité d'un enfant sans que la justice n'y trouve à redire. La justice invoque l'intérêt supérieur de l'enfant. Ce qui signifie dans cette affaire que le suicide de cet enfant relevait de son intérêt supérieur pour le bien être de deux français. Bienvenue chez les fous français.

Dans ces deux exemples, les droits de l'enfant sont purement et simplement niés. Seul compte le désir d'enfant d'adultes peu importe les moyens, peu importe les suicides que cela engendrera. C'est un choix de morts qui est ainsi voté ! Qu'ils ne viennent pas pleurer après, qu'ils soient fiers !


Prochain article : Les viols dans les couples lesbiens et les couples hétérosexuels, vous allez être surpris des résultats des dernières études scientifiques.

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13 sept. 2019

France PMA / GPA : La guerre des récits ou quand les LGBT décident de la mort des enfants naturels.

Même si nous n'avons aucune illusion sur le fait que PMA et GPA seront votées en France, cela ne nous empêchera d'exprimer notre avis qui est le fruit de témoignages d'individus à la filiation biologique refusée et à une analyse qui n'est pas exclusivement centrée sur le désir d'enfant soit le droit à l'enfant mais sur la négation des droits de l'enfant.


Pour rappel, la filiation est la transmission de la parenté, soit lorsqu'une personne descend de l'autre. L'histoire de la filiation en France a connu beaucoup d'évolutions avec 3 types de filiation n'ayant pas les mêmes impacts, ne générant pas les mêmes droits pour les individus descendants.

Il y a eu la filiation dite légitime, adoptive et naturelle.

La filiation légitime est la filiation transmission de la parenté qui caractérise les enfants conçus ou nés alors que leurs parents étaient unis par le mariage. Dans de nombreux pays, le statut d'enfant légitime est opposé à celui d'enfant naturel.  

La filiation adoptive naît avec la création par jugement d’un lien de filiation entre deux personnes qui, sous le rapport du sang, sont généralement étrangères l’une à l'autre. On distingue l’adoption plénière et l’adoption simple.

La filiation naturelle qui tendait à perdre de son importance. En 2005, un loi a été votée pour que l'égalité complète en particulier concernant l'héritage soit déclarée entre les enfants naturels et les enfants légitimes. 


La filiation naturelle est celle qui pose de plus de problème aux parents et c'est là que commence la guerre des récits.

Témoignage :

En 1970, la jeune Christine accouche d'un enfant, elle n'est pas mariée. D'après la loi, elle est désignée d'office comme mère de l'enfant. Comme elle n'est pas mariée, il n'y a pas de présomption de paternité. Il faut que le père se déclare. 
La jeune Christine refuse d'indiquer qui est le père de l'enfant. Il est déclaré sans père dans un premier temps. Il portera le nom de sa mère et de par la loi sera susceptible de toucher son héritage à la mort de celle-ci.
Huit ans plus tard, la jeune Christine rencontre un homme, tombe amoureuse et décide de se marier. Elle explique à cet homme que le père de l'enfant est mort il est vivant, elle lui ment pour une question d'image. L'homme par amour décide de reconnaitre l'enfant et ils se marièrent. Ils ont tous les deux un fort désir d'être parents, d'être un couple comme tout le monde. L'homme est persuadé de pouvoir aimer cet enfant comme son fils. L'enfant change de nom et obtient de nouveaux droits d'héritage.
Il est expliqué à l'enfant que cet homme est son père, qu'ils s'étaient connus, puis séparés et maintenant retrouvés et ont décidé de se marier. L'enfant croit ce mensonge. L'homme s'aperçoit qu'entre le désir d'être père et le fait de se sentir père, il y a une différence et il n'arrivera jamais à la franchir. Pour lui au final, cet enfant n'est pas son fils et ne le sera jamais. Ce sentiment sera renforcé à la naissance d'une fille issue de son union avec la jeune Christine. Il y aura le bâtard, l'enfant naturel et la fille légitime. L'homme ne s'occupera jamais de l'éducation du bâtard.

Quelques années plus tard, l'enfant découvre la réalité et sait désormais qu'il a un père naturel et une personne qu'il désigne comme "autorité parentale légale". Le délai de 5 ans est dépassé, la filiation est imposée à l'enfant. Il n'a aucun recours pour retrouver sa véritable identité, il doit porter un nom qui n'est pas le sien, il sait qu'il sera enterré sous un faux nom à cause des lois françaises et aux mensonges sus de tous qui sont réaffirmés avec la filiation fictive exigée par les couples de lesbiennes et les femmes seules.

Dans cet exemple, nous avons une guerre des récits, l'enfant naturel se retrouve malgré lui non pas adopté au sens légal du terme mais nié de son identité d'enfant naturel sans possibilité de recours pour retrouver sa véritable identité. Il connait le nom de son vrai père, le nom de sa mère, mais il doit porter le nom du mari de sa mère qui est devenu légalement son "père" par un mensonge lors de la reconnaissance de paternité.


Dans le cas des PMA / GPA où la filiation naturelle est niée pour faire place à une filiation pseudo légitime avec à la différence d'un couple hétérosexuel où chacun sait qu'il n'est pas le parent biologique de l'enfant. Un récit imaginaire est mis en place et remplace la réalité, l'enfant naturel est mort. Le droit à l'enfant l'emporte sur le droit de l'enfant.


Nous ne souhaitons pas gâcher la fête des LGBT français. Ils peuvent ajouter un suicide de plus au bilan morbide de la France avec le vote des députés en faveur de la négation de la filiation biologique. L'enfant de Christine a préféré la mort à un jour supplémentaire sous un faux nom.
Nous savons grâce aux probabilités que les nouvelles "mères lesbiennes" généreront des suicides chez leurs "enfants" pour les mêmes raisons que l'enfant de Christine, le refus de la filiation biologique. Qu'elles soient fières ! Puisque d'après les associations LGBT, les LGBT sont fiers par nature. Une essentialisation débile mais dont ils sont fiers.

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12 sept. 2019

PMA / GPA : Les LGBT obtiennent la privatisation de la filiation. La parentalité devient un actionnariat d'enfant.


L'une des premières questions que se posent les homosexuels n'est pas d'ordre éthique, mais commercial avec : la recherche de gamète mâle ou femelle anonyme. 

En effet, pour que la supercherie de la filiation de la PMA / GPA LGBT fonctionne, il faut tuer le père et ou la mère (coucou les psychanalystes), il faut l'anonymiser, afin que seules deux femmes ou deux hommes puissent se déclarer en qualité de personnes ayant ce qu'on appelle l'autorité parentale de l'enfant devenu une action avec deux propriétaires.



Ce n'est pas une nouveauté, dans le domaine de l'agriculture, les paysans ne peuvent plus produire naturellement leurs propres graines, désormais stériles et accaparés par des groupes agroalimentaires tels que Syngenta, Limagrain ou Bayer-Mosanto qui doivent être achetés au prix fort suivant la qualité de la semence.
Tout comme avec la PMA / GPA, suivant les désidératas des homosexuels, ils peuvent commander filles ou garçons, couleur des cheveux et des yeux et même un certain niveau de QI. L'enfant en kit est déjà une réalité suivant les caractéristiques de la graine exigée comme en agriculture où le terme de privatisation des semences est l'expression retenue.


Pour la culture humaine, il ne s'agit plus de groupes industriels de l'agroalimentaire mais de groupes  pharmaceutique et génétique. la question est devenue : Qui propose les meilleures graines humaines au meilleur tarif ?

Cette appropriation et privatisation génétique n'est pas nouvelle, elle date des années 1980 avec la première souris résistante au cancer, l'oncosouris avec le brevet de Phil Leder et Timothy Stewart, deux généticiens d'Harvard. La Chine a développé le premier enfant résistant au HIV, un autre brevet du vivant.

Même si en France, la PMA / GPA va être comme les transports en commun de Dunkerque en tout gratuit, c'est bien la collectivité qui finance cette gratuité, cette privatisation de la filiation.

Comme pour les logiciel dit Open Source,le tout gratuit, ils représentent plus de 4 milliards de CA avec les options d'aides, de perfectionnement, de prestations de services et stratégies de marchandisation. La littérature tente de rationaliser cet acte du tout gratuit au tout payant avec en filigrane une montée des inégalités.
Car si la PMA / GPA sera gratuite dans son acte final, soit prise en charge, les demandes spécifiques de caractéristiques de l'enfant comme l'IVG sélectif des embryons implantés car présentant un risque ou le sexe de l'enfant seront facturés et engendreront de fait une inégalité d'accès parmi les demandeurs en fonction de leurs revenus. Tous les enfants ne seront pas au même tarif, de 5 000 à 150 000 €.



La filiation n'est plus une chose publique mais un contrat privé entre deux adultes devenus actionnaires d'un autre humain sans lien possible de filiation génétique avec les dons d'ovocytes et de spermatozoïdes, il suffit d'une tierce personne qui sera pauvre et cherchera un complément de revenus car si vous proposer 100 000 € d'aides ou 100 000 € en échange d'une GPA, les candidates seront moins nombreuses pour la gestation et deux adultes deviennent propriétaire d'un autre humain à qui ils imposent une filiation fictive.

Nous avons déjà expliqué les conséquences d'une telle filiation fictive, le suicide programmé d'une partie, certes minoritaire, d'entre eux. Ils appelleront cela des pertes acceptables de la privatisation de la filiation.


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11 sept. 2019

France : Avec la PMA / GPA vous pouvez être enterré sous un faux nom, soyez fiers LGBT!


Avec les demandes des LGBT sur leur "droit" à l'enfant, à distinguer du droit des enfants, tous les caprices seront exhaussés, toutes les perversions deviendront réalités, des français seront donc enterrés sous une fausse identité pour faire plaisir aux délires de militants associatifs.

Tant personne ne conteste le droit d'avoir des enfants, cette question s'est déjà posée avec les déficients mentaux qui ont un droit à l'enfant même quand ils sont sous le régime de la tutelle ou curatelle. C'est-à-dire qu'ils n'ont pas le droit de gérer un compte en banque mais la justice leur accorde le droit d'avoir et d'élever un enfant. Un compte en banque est plus complexe qu'un enfant d'après les français.

La question que pose les futures lois françaises ne repose pas sur la légalité d'avoir un enfant mais sur la filiation.

Cette question n'est pas nouvelle, les enfants nés sous X et les enfants adoptés l'avaient déjà posé. Pour eux, le problème n'est pas d'avoir des parents adoptifs mais de ne pas connaitre leurs parents biologiques. Et leur droit à connaitre leur réalité génétique ne s'oppose pas à leur reconnaissance de leurs parents adoptifs. Ils distinguent les deux et cela leur permet un bien-être psychologique mais les adultes en désir d'enfant ne l'entendent pas ainsi. Leur désir doivent devenir réalité.

Nous l'observons en France avec la PMA Postmortem où des femmes ont exigés d'avoir un enfant d'un mort qui de son vivant avait congelé ses spermatozoïdes. Faire un enfant avec un mort a été refusé de justesse cette n-ième fois par les députés, il est à parier qu'à la prochaine votation avec un féminisme plus fort et plus présent, cette demande sera acceptée. Créer un orphelin de père étant déjà une réalité avec la PMA lesbienne. Pour les psychanalystes, on appelle cela tuer le père, non plus au sens figuré mais au sens propre. Un parricide légal pour le bien-être d'un couple de lesbiennes.



Avec les demandes des LGBT où la filiation biologique est évacuée, niée, discriminée tout simplement Quand les victimes deviennent bourreaux, seul le désir des LGBT est pris en compte. Le droit des enfants à leur filiation n'existe plus. il leur est refusé. Ils devront s'accommoder de la filiation imaginaire et inventée, peu importe si une partie de ces enfants finiront par choisir le suicide plutôt que cette réalité alternative. 

Les "parents" LGBT à défaut d'avoir été des adultes responsables seront des "parents" aux enfants suicidés pour une partie d'entre eux. Nous leur souhaitons une longue vie qu'ils puissent avoir le temps de vivre pleinement leur deuil en ayant voulu imposer une filiation sans l'accord des intéressés.

Nous écrivons cela car nous connaissons des enfants à la filiation imaginaire comme celle exigée par les LGBT, qui connaissent l'identité de leurs parents biologiques et qui sont obligés par la législation française de vivre avec une fausse identité, celle que leurs "parents" adoptifs leur ont imposé. Certains d'entre eux ont préféré le suicide et ont été enterrés sous un faux nom. C'est le choix français face aux demandes LGBT.

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10 sept. 2019

France PMA / GPA : Quelles sont les meilleures offres du moment ? Se faire rembourser en cas d'enfant defecteux ?

En plein débat sur les retraites, rien ne vaut une diversion passionnelle avec la PMA / GPA des LGBT pour canaliser les tensions.


Inutile de développer un argumentaire éthique sur la PMA / GPA des LGBT, vous serez accusés d'homophobie, vos comptes de réseaux sociaux suspendus,  le droit de l'enfant n'existe pas, il n'a pas de légitimité sur la question de sa filiation biologique, seul le désir d'enfant d'adultes compte en France, il fait loi. L'enfant n'est qu'un remède à des personnes pathologiquement fragiles.

Nous ne développerons pas non plus la question des violences, les études existent et elles montrent des violences plus accentuées chez certaines catégories de couples. Mais là encore face à la réalité statistique de ces violences, vous serez accusés des pires maux.

L'étude CDC 2010 en anglais
Les lesbiennes et les femmes bisexuelles sont plus susceptibles de subir la violence de leur partenaire. 44 % des lesbiennes et 61 % des femmes bisexuelles – contre 35 % des femmes hétérosexuelles — subiront un viol ou la violence physique de leur partenaire au cours de leur vie. 
Ce qui signifie qu'une femme a plus de probabilité de subir un viol conjugal par une femme homosexuelle que par un homme hétérosexuel.

Il n'y a pas grand chose à attendre en terme de réflexion d'un pays où le QI est en chute libre comme la France.

Nous allons donc uniquement nous intéresser dans cet article à l'aspect pratique et commercial de la procréation LGBT avec les PMA / GPA, celui qui intéresse :

Quelles sont les meilleures offres du moment pour acheter un enfant ? 
Comment se faire rembourser quand l'enfant présente des défauts  ou qu'il ne respecte pas les exigences du bon de commande ?

Comme la filiation avec la GPA va être reconnue en France, les LGBT notamment peuvent acheter leur enfant partout dans le monde, les plus riches d'entre eux ne sont pas concernés par les limitations françaises. Il suffit alors d'aller dans le pays où la sélection génétique est autorisée comme aux USA.
Il faut compter 80 000 € pour une PME / GPA en Ukraine, 150 000 € aux USA, bien évidemment des offres à 5 000 € existent pour les LGBT les plus pauvres mais sans garantie de sélection génétique ni de remboursement. L'économie de départ pourra s'avérer couteuse pour les LGBT désirant un garçon, un blond ou des yeux vairons pour leur futur enfant gadget. A noter que la Turquie bien qu'interdisant la GPA pour ses citoyens l'autorise pour les étrangers avec des tarifs intégrant la selection génétique à partir de 10 000 euros.

Prenons l'exemple du The Fertility Institute aux USA, vous pouvez choisir le sexe de l'enfant. L'animateur de télévision Fogiel avait eu cette exigence lors de sa commande d'enfant faite aux USA où il avait demandé une fille. Ün fait plutôt rare. En effet, les homosexuels mâles commandent davantage de garçons d'après l'étude Sex selection by gay men using gestational surrogacy: a troubling trend in queer family-making? de juillet 2019. 
Contrairement à la procréation naturelle où le ratio est 49 % de garçons et 51 % de filles, les couples d'homosexuels mâles ont commandé à 60% des garçons. 

Quid de l'impact sur la société à terme. 

Nous pouvons déjà observer dans certains pays à la politique de l'enfant unique où les garçons ont été privilégiés, les ravages d'une société sans femme.

En plus du choix du genre de l'enfant, vous pouvez également demander un IVG sélectif sur les embryons présentant des handicaps même légers. A une autre époque, cette pratique de l'IVG sélectif s'appelait eugénisme, ne garder que les meilleurs mais en 2019 avec les nouvelles demandes parentales cela se nomme droit à l'enfant bien né, non défectueux.

Et pour l'aspect accessoire, vous pouvez choisir la couleur des cheveux et des yeux comme lorsqu'un enfant commande une poupée blonde aux yeux bleus. Vous pouvez miser sur l'originalité en créant sur mesure le futur enfant. Roux aux yeux noirs ou plus rare, peau noire avec cheveux blond et yeux bleus, toutes les combinaisons vous sont offertes. L'enfant en kit est une nouvelle réalité.

Pour le QI, la sélection se montre pour le moment hasardeuse, l'étude du QI battant son plein entre la part relevant de la génétique et de l'environnement de l'enfant.
Avec le droit américain et d'autres pays, vous pouvez naturellement demander le remboursement total ou partiel de l'achat d'enfant si les critères qui doivent être mentionnés sur le bon de commande ne sont pas honorés. Bien sur, vous pourrez argumenter sur l'homophobie de contradicteurs de vos pratiques ou du droit sacré des parents à avoir toutes leurs exigences devenir réalité, cela marche toujours et fait taire toute demande éthique.

Bons achats !
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2 sept. 2019

PMA : La France officialise l'état civil de bâtard à la demande exclusive des lesbiennes.


La ministre Nicole Belloubet a déclaré que suite à l'acceptation de la PMA, procréation médicalement assistée pour les femmes célibataires et lesbiennes, l'état civil en France serait modifié puisque les concepts farfelus de mère 1 et mère 2 seraient mentionnés et remplaceraient père et mère.

Ainsi, un nouvel état civil va naitre, celui de bâtard sans père. La réalité biologique de la filiation se meurt ainsi en France suite aux pressions exercées par les représentants associatifs auto-proclamés de la soi-disante communauté LGBT.

Nous savons par divers témoignages ce qu'engendre la négation de la filiation biologique et le fait de céder aux caprices du désir d'enfant, une partie, certes minoritaires, de cette nouvelle génération tentera le suicide par défaut d'identité comme l'ont fait les adolescents et et adultes nés sous X ou adoptés précédemment.
Et ces nouveaux morts seront enterrés sous un faux nom, celui d'un fantasme de lesbiennes et non leur nom biologique !

Qu'est ce qu'un suicide face au désir d'enfants d'une femme ou d'un homme français ? Rien !

Si chez Code 7H99, nous ne sommes nullement opposés à la PMA y compris pour des femmes célibataires, nous considérons que le refus de la filiation biologique et un état civil à la filiation imaginaire est une catastrophe annoncée comme écrit. La France assumera-t-elle ces nouveaux suicides ? Bien évidemment que non, elle inventera un nouveau nom, le déni de filiation, un héritier du concept de déni de grossesse qui signifie en France : Tentative d'homicide sur enfant en bas âge.

Si en France la déchéance de nationalité pour cause de terrorisme n'a pas été votée, la déchéance d'identité pour cause LGBT va l'être.

Nous laissons les français à leur déchéance choisie.

 

Pour conclure deux témoignages :

Un couple de lesbienne dans les années 80 a décidé de faire appel à un ami pour une procréation. L'une d'elle acceptant de coucher avec cet homme pendant sa période de fertilité. Le pacte était que l'ami n'aurait aucun lien avec l'enfant. L'enfant est né, les deux lesbiennes étaient heureuses. 
Quelques années plus tard, elles se sont séparées et au moment de l'éducation de l'enfant avec cette séparation, la non porteuse de l'enfant a déclaré que de toute façon, elle n'était pas la mère de cet enfant, elle n'avait pas à s'en occuper. La vraie mère de l'enfant l'a élevé seule.
 A l'adolescence, l'enfant a demandé d'où il venait, et la mère a fini par lui expliquer qui était son vrai père. Or, l'ami, père de déjà 3 enfants n'avaient qu'une crainte avec la législation française, soit de devoir une pension alimentaire. Un soir, quelqu'un frappa à sa porte, c'était ce fils. Il a fait connaissance avec ses 3 nouvelles sœurs. Devenu adulte, cet enfant considère sa génitrice comme sa mère, l'ancienne copine de sa mère comme l'ancienne copine de sa mère et son géniteur comme son père. Il a demandé à porter le nom son père accolé à celui de sa mère.

Dans les années 70, une femme tombe enceinte, tente sans succès d'avorter puis accouche, se devant d'élever cet enfant dont elle ne voulait pas. Quelques années plus tard, 6 pour être précis, elle rencontre un homme, lui explique que le père de l'enfant est mort, ils décident de se marier. Cet homme est amoureux de cette femme et il a un désir d'enfant, comme l'enfant de cette femme n'a pas de père (il est mort d'après le déclaratif). L'homme décide de reconnaitre cet enfant. Au mariage, l'enfant change de nom à l'état civil, on lui explique que son père se marie tardivement avec sa mère, l'enfant commence par croire ce mensonge.
Devenu adolescent, l'enfant apprendra l'histoire vraie et il fera plusieurs tentatives de suicide face au refus de la justice française de lui redonner son premier nom et  non de lui faire porter le nom d'un homme qui n'est pas son père et qui d'ailleurs a déclaré avoir cru pouvoir être son père, être dans le désir de paternité mais qu'il ne se sentait nullement être le père de cet enfant au final surtout depuis qu'il avait eu une fille avec cette femme. il faisait le distinguo entre cet enfant et sa vraie fille.







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