Des femmes s'étaient réunies le 7 mars 2020 à Paris, elles hurlaient que la police était complice des violeurs et des assassins. Caroline de Haas s'indignait que la Police Française, pour disperser ces manifestantes, avait procédé à une égalité de traitement en usant de gaz lacrymogène et de matraque comme elle le fait avec les hommes. Pour les féministes comme @ParisPasRose, hurler, insulter, diffamer, accuser sans fondement était le signe que cette manifestation était pacifique.
Pendant ce temps, l'ex Femen, connue pour ses collages d'affiches sauvages sur les murs de Paris où elle accusait les hommes de soi-disant féminicides, Marguerite Stern avait fait un thread sur Twitter où elle accusait la Terre entière car elle était enceinte. Elle expliquait qu'elle refusait les moyens contraceptifs, qu'elle couchait sans préservatif car elle pensait que sa volonté était capable de contrôler son système reproductif. Elle vantait l'avortement comme solution de contraception. Elle accusait tous les médecins gynécologues de violences physiques et verbales, elle accusait l'industrie du préservatif de vendre leurs produits trop cher, elle accusait l'industrie pharmaceutique de ne pas faire des pilules sans effet secondaire, elle accusait les hommes, l'église et leur soi-disant ordre patriarcal de ne pas lui avoir expliqué que l'on pouvait être enceinte quand un homme jouissait dans son vagin. Elle voulait être libre d'être baisée sans penser aux maladies sexuellement transmissibles ni à la fécondation. Elle avait une application sur son téléphone pour mieux connaître son cycle de reproduction, la méthode Ogino 2.0.
En ce jour du 8 mars, les réseaux sociaux étaient saturés par la journée du droit des femmes, tous les mensonges habituels y étaient relayés. Le féminisme français était un néo-créationnisme où les violences des femmes étaient ignorées, où les femmes pédophiles étaient célébrées, où les femmes violeuses étaient excusées et où les mères assassines étaient soutenues et comprises.
Le combat des féministes était l'écriture inclusive qui discriminait autant les dyslexiques que les aveugles et malvoyants pendant que leurs enfants étaient maltraités et à qui des mythes étaient inculqués.
Les rapports scientifiques avaient beau contredire les discours féministes, ces femmes ne croyaient pas en la Science comme les religieux pour qui l'existence de la Terre et de l'Homme était une création divine.
Alors que Le Nouvel Obs avait publié un reportage sur la maltraitance des enfants français dans les structures de Protection de l'Enfance, que la ministre de la Justice Nicole Belloubet et la secrétaire d'Etat à l'égalité Homme - Femme Marlène Schiappa avaient été averties des sévices psychologiques, physiques et sexuels sur des enfants et adolescents par des encadrants, le silence avait été la réponse ministérielle. Depuis l'affaire Coral où des enfants avaient été violés, des politiques et personnalités du monde de la Culture française incriminés, l'absence de réactions était toujours la réponse.
Aussi bien les structures de Protection de l'Enfance, l’Éducation Nationale que la Justice étaient composées majoritairement de femmes qui se réclamaient féministes et jamais les enfants français n'avaient été autant incultes et violentés. Le combat des féministes étaient d'être mieux payées que les hommes sans avoir de responsabilité et de pouvoir écrire en langage inclusif.
Quand les femmes choisissaient d'aller dans les universités pour étudier les Cultural et Gender Studies, elles reprochaient ensuite que les Sciences dures soient composées d'hommes. Quand les femmes choisissaient un temps partiel pour élever leurs enfants, elles reprochaient à la société de ne pas leur verser le même salaire qu'un homme à temps complet. Quand les femmes préféraient être femmes au foyer, elles reprochaient à la société de ne pas leur verser la même retraite qu'un homme ayant travaillé toute sa vie. Les femmes refusaient de multiples métiers où la vie de l'individu pouvait être engagée et se plaignaient que ces métiers à risque ne comptent pas assez de femmes.
Quand les femmes choisissaient d'aller dans les universités pour étudier les Cultural et Gender Studies, elles reprochaient ensuite que les Sciences dures soient composées d'hommes. Quand les femmes choisissaient un temps partiel pour élever leurs enfants, elles reprochaient à la société de ne pas leur verser le même salaire qu'un homme à temps complet. Quand les femmes préféraient être femmes au foyer, elles reprochaient à la société de ne pas leur verser la même retraite qu'un homme ayant travaillé toute sa vie. Les femmes refusaient de multiples métiers où la vie de l'individu pouvait être engagée et se plaignaient que ces métiers à risque ne comptent pas assez de femmes.
La féministe française se vivait comme une Princesse, elle exigeait que ses serviettes hygiéniques soient prises en charge par la société, elle exigeait d'avoir la garde de ses enfants en cas de divorce et de toucher une prestation compensatoire pour garder son niveau de vie quand bien même toutes les études montraient que des enfants élevés par des femmes seules avaient bien plus de problèmes que les autres avec une moindre réussite scolaire et des probabilités plus élevées de sombrer dans la délinquance et les maladies psychiatriques.
Dès leur plus jeune âge, les filles françaises étaient excusées de leur violence par rapport aux garçons qui apprenaient à se contrôler. Dans les écoles, à violences égales, les filles étaient soutenues et accompagnées par des psychologues quand les garçons étaient exclus des établissements et mis dans des centres de détention fermés ou semi-ouverts. Dans les familles, les garçons n'hésitaient pas à arrêter leurs études et travailler pour que leurs sœurs puissent faire de longues études, les sœurs se plaignaient que leurs frères exigent des contreparties à leur sacrifice. Dans les tribunaux, la justice était toujours plus clémente avec les mères tuant leur conjoint ou leurs enfants qu'avec les hommes. Dans les villes, des structures d'hébergement d'urgence étaient nombreuses pour les femmes SDF ou violentées quand aucune n'existait pour les hommes.
Si l'égalité des droits était l'objectif d'une Olympe de Gouges à une époque où il existait une réelle différence de parité, cela faisait longtemps que les féministes françaises ne travaillaient plus à une égalité de traitement mais militaient pour être payées à ne rien faire, être dédouanées de leurs responsabilités, être traitées comme des princesses de dessin-animés.
Avec de telles femmes, aucun avenir durable n'était possible, l'avenir n'était ni aux religions ni aux féministes, Malraux s'était trompé, seules les violences pouvaient émerger, c'était le choix des féministes françaises dont les héritières, les femmes de Daesh en étaient la plus belle démonstration comme le nombre de viols chez les couples lesbiens, bien supérieur à celui des couples hétérosexuels, comme l'explosion des violences sur les enfants dans des familles où les enfants n'avaient pas de parents biologiques.
Tel était le bilan du féminisme français peu avant le commencement de la dernière chute, de cette étrange défaite où la raison s'était perdue dans les sentiers du féminisme, où les apports de la biologie, de la génétique et de l'épigénétique étaient superbement ignorés, oubliant que le réel est ce qui reste quand on cesse de croire, oubliant que l'Homme est toujours un animal même s'il n'est pas comme les autres. Pour les féministes françaises 2 + 2 = 5, rien ne peut suivre et survivre avec une telle logique.
Anne-Cécile Mailfert, la présidente de la Fondation des Femmes expliquait : « Lorsque l’on naît femme, on fait partie d’un groupe d’humains qui est particulièrement opprimé par rapport à un autre groupe d’humains qui est né homme ». L'espérance de vie des hommes étaient inférieure à celle des femmes, les morts violentes et les suicides étaient plus élevés chez les hommes, les SDF étaient très majoritairement des hommes mais pour cette femme qui avait capitalisé toute sa carrière sur le fait d'avoir un vagin, c'était de l'oppression, elle devait son riche train de vie qu'au fait d'être une femme et non en raison d'une compétence distinctive. La féministe française ne savait, au final, que monologuer avec son vagin dans des réunions en non mixité de sexe et de couleur de peau, elle se condamnait elle-même avec sa misandrie et son racisme culturel.
Agnès Buzyn et Muriel Penicaud seraient-elles condamnées pour leur inaction face à l'épidémie du Coronavirus ? Déclareraient-elles comme Georgina Dufoix lors du scandale du sang contaminé : Responsable mais pas coupable. Le nombre de morts augmentait chaque jour, l'épidémie qui ne devait pas arriver s'était répandue dans chaque département. Les joies du féminisme français.
Anne-Cécile Mailfert, la présidente de la Fondation des Femmes expliquait : « Lorsque l’on naît femme, on fait partie d’un groupe d’humains qui est particulièrement opprimé par rapport à un autre groupe d’humains qui est né homme ». L'espérance de vie des hommes étaient inférieure à celle des femmes, les morts violentes et les suicides étaient plus élevés chez les hommes, les SDF étaient très majoritairement des hommes mais pour cette femme qui avait capitalisé toute sa carrière sur le fait d'avoir un vagin, c'était de l'oppression, elle devait son riche train de vie qu'au fait d'être une femme et non en raison d'une compétence distinctive. La féministe française ne savait, au final, que monologuer avec son vagin dans des réunions en non mixité de sexe et de couleur de peau, elle se condamnait elle-même avec sa misandrie et son racisme culturel.
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#Odin : Cris et chuchotements, les hurlements de la nuit
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