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22 sept. 2019

PMA pour toutes et le risque avéré pour la santé mentale des enfants : Code 7H99 répond à Agnès Buzyn.

Madame le ministre de la Santé Agnès Buzyn

Nous aimerions vous donner notre nom, nous savons que vous avez du mal avec les anonymes mais nous n'en avons pas. En effet, après avoir été mis en vente suite aux recommandations de féministes d'un foyer de fille mère de Paris en 1970, notre réelle identité nous a été volée par des parents d'intention. Ils ont fait une fausse déclaration, écrit une filiation fictive et nous avons dû porter un nom qui n'est pas le notre et que nous rejetons. 

Cette particularité d'une vie sous une fausse identité, nous en connaissons tous les risques pour les avoir vécu et y avoir survécu pour le moment. 
Simplement, comme nous savons également que notre expérience ne fait pas loi, n'a pas la valeur d'une étude scientifique et médicale, qu'elle n'est qu'un témoignage. Alors, nous nous sommes renseignés, nous avons cherché les études sur les troubles induits par un développement sans père et/ou mère biologique autant par curiosité que pour nous renseigner sur nous-mêmes, d'avoir une autre grille de lecture de nos vies, de notre mal-être, de cette quête obsessionnelle de qui nous sommes, comment pouvons-nous évoluer et dépasser ce traumatisme.

Lors de ces investigations, nous avons été amené à dialoguer avec des enfants adoptés informés ou non sur leur sort, des enfants de couple de lesbiennes en recherche permanente de leur père, des enfants sans père se sentant coupés en deux, en plus de la lecture des dites études et de leurs conclusions.

Vous vous appuyez sur les statistiques des familles mono-parentales, ces familles ne sont pas des familles où les enfants sont sans père, il s'agit de familles où le père est connu et éloigné. Nous sommes stupéfaits qu'une ministre d'une grande puissance économique fasse cet amalgame où elle considère que les familles mono-parentales sont des lieux où les pères n'existent pas. Pourquoi inviter la CAF alors à se saisir de la pension familiale si ces pères n'existent pas ?

Dans la famille imaginaire induite de la PMA sans père, la CAF ne pourra saisir de compte en banque pour le paiement d'une pension alimentaire. Le donneur étant anonyme ou révélé non pas quand l'enfant en fera la demande mais quand l'état décidera que le délais est bon. Devoir attendre d'être majeur pour connaitre son père. Quelle maltraitance d’État.

Les recherches et les témoignages des pédopsychiatres et psychiatres sont pourtant formels, les troubles sont avérés. Il ne s'agit pas d'une posture sociétale de droite mais d'avis médicaux. A moins que vous ne considériez soit que tous les pédopsychiatres sont de droite ou que l'avis d'un médecin dépend de ses convictions politiques. Vous atteignez un niveau de ridicule sans nom.

PMA / GPA : De l'enfant désir à l'enfant idéal, l'enfant paie le prix fort !


Des recherches sont déjà en ligne sur les sites académiques et vos services ministériels devraient les connaitre. Une dernière chose, la France est championne en nombre de suicides en Europe, un problème de santé mentale dit-on. Vous devriez vous renseigner au plus vite si la mort des français vous est importante en votre qualité de ministre et seulement de ministre et non de mère que vous êtes. Même si nous serions curieux de vous entendre dire à vos enfants, votre père n'a servi à rien dans votre construction. 

Nous nous permettons d'écrire cela car nous avons trop côtoyé les politiciennes et politiciens français, vous nous dégoutez par votre cynisme et vos lâchetés. Nous ne sommes pas dupes de vos communications, de votre novlangue comme on dit en 2019.

Nous ne vous saluons pas étant donné vos déclarations sur LCI. Nous ne saluons plus les personnes qui refusent de nous reconnaitre par notre véritable identité. Et nous savons déjà vu la justice en France que nous serons enterrés sous une fausse identité.

Code 7H99



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20 sept. 2019

PMA GPA : Mieux choisir le mâle reproducteur et la femelle gestatrice : Offrez-vous un enfant de qualité !

Certains pensent que c'est un conte, d'autres que c'est la nouvelle réalité, à vous de vous faire votre avis.


L'insémination artificielle a permis de mettre en place différents dispositifs de testage afin de vous assurer une descendance de qualité. Ne faites plus confiance au hasard.



Les tests génétiques vous permettent désormais de mieux choisir les bons embryons. Nous savons aujourd'hui que le destin de votre futur enfant dépend de son patrimoine génétique et de son milieu d'élevage. De plus, comme vous vous en doutez élever un enfant coute cher et quelle garantie avez-vous que vous avez investi là où il fallait ? N'avez-vous pas trop dépensés ? Quelle rentabilité éducative attendre en 2019 ?

Réussissez au mieux votre projet parental !
Vous ne pouvez pas vous appuyer que sur les conseils de Boris Cyrulnik pour réussir les 1000 premiers jours du futur enfant, cela n'impactera que sur le milieu d'élevage.



Aujourd'hui vous pouvez bénéficier de bien plus et de vous assurer d'avoir un enfant de haut niveau. Pensez à son futur dans une société de plus en plus concurrentielle.

Offrez-vous le meilleur
Le marché de la procréation artificielle vous permet de choisir avec soin les meilleurs mâles reproducteurs et de les accoupler avec les meilleures femelles gestatrices afin d'offrir un meilleur avenir à votre futur enfant.

Les avancées en génétique permettent d'éliminer les mauvaises embryons. Il vous faut minimiser les risques sur sa santé mentale avec des femelles gestatrices bien nourries. Les centres de reproduction artificielle vous garantissent que les femelles gestatrices bénéficient d'un régime alimentaire de qualité grâce aux progrès en neurosciences et d'un environnement de qualité.

La biologie de l'attachement

Le récit de soi


Mais, il vous faut minimiser les risques de maladies avec une sélection adaptée et performante des embryons. Les tests génétiques vous permettent de limiter les dégâts et les offres vous permettent un remboursement total ou partiel des services de reproduction proposés en cas d'enfant défectueux.

Réalisez votre rêve
De plus, maintenant vous avez la possibilité d'avoir un futur enfant en vous faisant plaisir par le choix de son sexe, de sa couleur des cheveux et des yeux. Un enfant qui répond à votre idéal, une famille plus heureuse.



Accepteriez-vous un enfant handicapé ?
Vous savez que la société sera plus dure avec lui, évitez lui de souffrir, ne lui donnez pas naissance. La législation vous permet de procéder à des IVG sélectifs, profitez-en.




Et n'oubliez pas, il faut protéger le mode de vie européen comme l'a déclaré Ursula Van der Leyen, la nouvelle cheffe européenne, votez pour une meilleure sélection humaine.



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19 sept. 2019

PMA / GPA : Débat démocratique, tyrannie de la minorité : Fabrique du consentement ou Intérêt Supérieur de l'Enfant !


Lors de nos précédents articles sur la PMA / GPA, nous avons exprimé notre opinion en qualité de personnes privées de leur filiation biologique par des "parents d'intention", nous avons abordé les impacts psychologiques et cognitifs des différents modes de procréation offerts par le marché et dressé quelques alertes.

Dans cet article, nous allons aborder les questions du débat démocratique, de la fabrique du consentement, de la tyrannie de la minorité et de l'Intérêt Supérieur de l'Enfant.

Un débat démocratique est une discussion au sein d'une assemblée politique comme peuvent l'être l'Assemblée Nationale et le Sénat en France. En ce sens, concernant la PMA / GPA, il y aura bien dans les faits un débat démocratique puisque le sujet va être débattu.

Sauf que lorsqu'on a écrit cela, nous n'avons rien n'écrit. Pouvait-on parler de débat démocratique au moment du grand débat entre Emmanuel Macron et les Gilets Jaunes ?

Nous nous rendons vite compte qu'il existe différents niveaux de débat.
Théoriquement, chacun se fait une opinion sur les questions aussi bien dites publiques que privées mais dans la pratique chacun se rend vite compte qu'il ne dispose pas de tous les éléments pour se faire une honnête conclusion.
Entre les questions économiques, morales, éthiques et politiques, chacun accepte de confier la responsabilité à une assemblée qui pourra convoquer différentes experts et différents représentants de la société pour décider, pour acter d'un choix.

Nous avons alors une prise de décision déléguée, à un ensemble que nous pouvons nommer gouvernement invisible. En effet, si nous connaissons nommément chaque élu de l'assemblée, nous ne connaissons pas les différents experts sollicités. 
De plus, en fonction des intérêts de différents groupes, un débat démocratique fera l'objet de polémiques, des actions pour tenter de disqualifier des personnes par des attaques Ad Hominem ou Ad Personam. Cette personne, ce représentant fait l'objet d'une tentative de disqualification pour ce qu'il est et non pour ce qu'il dit.
Ainsi, un représentant religieux sera disqualifié au prétexte que les religions sont majoritairement homophobes au lieu d'écouter l'argument sur la procréation et le transhumanisme. De même, un représentant des associations LGBT sera considéré comme obligatoirement pour la PMA / GPA quand des homosexuels ont déjà écrit leur opposition quant à ce mode de procréation.




L'appel à la polémique permet de neutraliser le débat démocratique. Nous pouvons observer des associations LGBT faisant un rappel permanent aux polémiques lors du mariage pour tous et tenter ainsi de disqualifier toutes les personnes sur ce sujet qui seraient opposés à la PMA / GPA. Or, les deux sujets sont bien distincts.
Dans un autre domaine, bien que la France ait voté l'interdiction de la peine de mort, elle mène des opérations dites "homo" pour tuer des personnes en dehors de tout cadre légal ou la polémique du "si votre enfant est tué par une femme, souhaitez-vous le rétablissement de la peine de mort dans ce cas ?"
Ce qui, en psychologie, s'appelle créer une dissonance cognitive par un appel aux instincts et aux émotions afin de faire évoluer la raison dans le sens que l'on souhaite.

Le débat d'opinion pose le problème que toutes les opinions se valent et il devient difficile d'élever le débat en fonction des débatteurs. Sur quoi se base leurs opinions ?

L'appel à la Science, la fameuse preuve scientifique pour les départager.
Or, dans le débat actuel de la PMA / GPA, la question n'est pas scientifique. La technique permet de faire de la gestation pour autrui, la science permet des pratiques eugénistes en sélectionnant la couleur de cheveux, des yeux, de peau, le sexe de l'enfant jusqu'à un certain niveau de QI génétique et tout ce qui peut être considéré comme une tare tels des handicaps, ce qui conduit à l'élimination de l'embryon car il ne correspond pas aux seuls désirs d'adultes.

La PMA GPA amène à discuter et disputer en fonction de questions philosophiques, éthiques et politiques. Les sciences vont permettre d'apporter un éclairage aussi bien sur les techniques actuelles de procréation et de sélection humaine mais également d'éclairer sur la psychologie des "parents" et les impacts sur les "enfants". 

Le préalable d'un débat démocratique sur la question de la PMA / GPA est que tous s'accordent sur  l'Intérêt Supérieur de l'Enfant et qu'ensuite que chacun s'engage à respecter l'autre.

Ce qui signifie que les accusations d'homophobie ne peuvent être lancées à la légère et à ce titre nous invitons les personnes diffamées par cette ritournelle à porter plainte contre ces LGBT accusateurs comme c'est actuellement le cas. La question de la PMA / GPA n'est pas une question homosexuelle puisque des couples hétérosexuels y ont recours.
Maintenant que nous connaissons les élèments du débat démocratique, nous devons analyser plus finement les éléments qui le composent et participent à la construction de l'opinion publique et de sa prise de décision.


Louis XIV disait :"L’État, c'est moi" à une époque les rois régnaient sans partage. En 2019, la France est une république, ce qui n'empêche pas le député Jean-Luc Mélenchon de clamer : "La république, c'est moi". Chaque citoyen français peut en dire autant : " La république, c'est nous". Avec le suffrage universel et l'éducation pour tous, aristocratie, bourgeoisie et petit peuple peuvent régner de concert.

Ne soyons pas naïfs, le débat n'y gagnerait pas en hauteur comme on dit, nous savons aussi grâce au développement des sciences, au développement d'analyses des sociétés qu'une minorité peut influencer et influence la majorité dans le sens de ses intérêts. Les exemples ne manquent pas de sel dès lors qu'il existe une asymétrie de choix.

Dans les systèmes complexes comme le sont les sociétés actuelles, ce n'est pas la majorité qui s'impose. Le premier vainqueur aux élections est aujourd'hui l'abstention, des personnes qui ne sont représentées nulle part. Les minorités prennent le pouvoir.

Chacun a sa vision du monde et la valeur que nous avons d'une vision du monde dépend des croyances que nous leur conférons. 

Quand un individu défend sa vision du monde comme un monde avec une gestation pour autrui PMA / GPA ou un monde sans gestation pour autrui, un monde avec filiation biologique ou un monde avec filiation d'intention, son appel au libre arbitre et aux a-priori de l'autre, dans le cas qui nous importe avec l'a-priori d'homophobie, il fait appel à des déterminismes qu'il est le seul à croire. Nous savons grâce aux sciences que l'Homme obéit à des lois comportementales comme la quête d'identité, les origines. 

Prenons, un débat démocratique sur la PMA / GPA composé de 4 personnes.
Deux sont pour, deux sont contre, les arguments de raison de chacun neutralisant l'autre.
Comment vont-ils au final prendre leur décision puisque l'appel à la raison ne donne aucune issue ?
Un autre mécanisme s'enclenche, l'appel au préjugé.
La question devient pour un des deux groupes souhaitant voir son choix sélectionné, quels sont les meilleurs préjugés à réactiver ?

1 - S'agissant de changement de cadre de vie, de filiation, dans le doute vaut mieux s'abstenir ?
2 - Le choix de la nouveauté, certains peuvent dans le monde avoir recours à la PMA GPA et inventer des filiations, pourquoi pas nous ?

Nous voyons dans cet exemple que nous ne sommes plus dans une prise de décision liée à des arguments de raison mais de préjugés.

Si les préjugés s'annulent, entre en jeu le dernier mécanisme de la prise de décision, les mécanismes psychologiques :  activation d'autres préjugés, prédominance d’inflexibles et présence de contrariants. Nous arrivons à la question des limites avec le transhumanisme et les procréations commerciales.

Et là, nous retrouvons le discours des associations LGBT qui s'autoproclament être les représentants d'une "pensée homosexuelle", si vous êtes contre la PMA  GPA, vous êtes homophobes.
Argument qui ne fonctionne pas auprès des couples hétérosexuels mais qui permet de disqualifier l'autre dans l'opinion publique en mettant le curseur sur l'homophobie quand il s'agit d'un débat sur l'Intérêt Supérieur de l'Enfant. 

Prenons un autre exemple pour dépayser la problématique.

Les religions ont comme principe en général les fameux : ne pas voler, ne pas blesser, ne pas tuer. Or, chaque religion est minoritaire par rapport aux athées et autres religions. 
L'histoire de l'Humanité a montré que ces quelques principes de ne pas voler, ne pas blesser et ne pas tuer se sont pourtant répandus pour devenir universels et s'appliquer à quiconque.
De l'esclave à celui d'une autre religion peu importe que le livre de telle religion appelle à tuer l'autre. Même dans les théocraties rigoristes s'appuyant sur des textes religieux appelant au meurtre, ce crime est condamné par la communauté internationale.
A chaque exécution en raison de l'athéisme ou de l'homosexualité comme dans des théocraties musulmanes, la communauté internationale condamne ces meurtres, de même que l'opinion publique. Pourtant une minorité l'emporte, les meurtres ont lieux

Selon Damon Centola du groupe des dynamiques en réseau l’université de Pennsylvanie, les petits groupes seraient capables de renverser les normes établies dès qu’ils atteignent une masse critique de 25 %.  

Comment s'organise une minorité pour tenter la bascule de la majorité ? Ce qui est bon pour l'un est bon pour l'autre ?


Une filiation d'intention qui crée des désordres chez l'enfant, une législation qui crée une discrimination entre enfants dits naturels autorisés à porter le nom de leurs parents biologiques avec des enfants PMA / GPA à qui l'on impose de porter un nom qui n'est pas le leur est-ce bon ?

Bien sur, quelques enfants à la filiation fictive sont et seront heureux mais faut-il pour autant accepter une hausse du risque suicidaire pour les autres enfants qui refusent cette parentalité d'intention ? 

Prenons l'exemple de l'alimentation. Les publicitaires insistent sur l'aspect pratique de choisir des plats préparés, ce que l'on nomme des aliments transformés. Nous savons désormais que pour des questions de gains, ces plats préparés contiennent du "mauvais gras" et trop de sucres", le seul danger identifié par la majorité est que cela peut générer un risque d'obésité que la société accepte.
Or, de nouvelles études des neurosciences montrent que cela impacte aussi l'intelligence des individus en l'altérant comme le soulignait une émission d'Arte sur le cerveau et l'alimentation. Cela génère même des troubles du comportement chez les enfants dont les mères gestatrices ont une consommation trop grasse, trop sucrée. Elles ne deviennent pas que grosses, elles altèrent la santé mentale de leur futur enfant.


Autre exemple avec l'industrie du tabac, il s'agissait d'accroitre le marché avec une société où les femmes ne pouvaient fumer dans la rue. Lors d'une manifestation féministe, les suffragettes, les publicitaires ont embauchés des photographes pour magnifier les femmes fumeuses et les nommer, les torches de la liberté. Fumer pour une femme était devenu un acte de résistance, un acte de liberté. Le marché a pu s'accroitre comme le cancer des poumons chez la femme. Dans cet exemple de la cigarette, une minorité, les cigarettiers se sont appuyés sur le féminisme pour vendre leurs produits.


A l'éthique de la discussion et de la persuasion rationnelle, que présuppose la démocratie, s'opposent alors une persuasion a-rationnelle et une intention d'arrêter de convaincre en manipulant.
A l'exigence de l'honnêteté intellectuelle, du débat, de l'écoute, de la modestie, de l’exhaustivité de l'information s'oppose le mensonge, la partialité et l'occultation de données pertinentes.
Dans l'opacité d'intérêts privés, ceux qui peuvent se payer des professionnels de la communication comme des GPA à l'étranger (150 000 € dans le cas de Marc-Olivier Fogiel)  sont l'antithèse de la démocratie mais l'expression même de la tyrannie des minorités.

Pour revenir à la question de la PMA GPA et peu importe que le couple soit homosexuel ou hétérosexuel, nous savons par différentes études que les parents sont plus anxieux et considèrent l'enfant comme un handicapé qu'il faut protéger et qu'ils surprotègent du monde extérieur. Les enfants culpabilisent davantage de ne pas être à la hauteur de l'enfant idéal que se sont construits leurs parents d'intention comme nous l'avions expliqué dans l'article :PMA / GPA : De l'enfant désir à l'enfant idéal, l'enfant paie le prix fort !

Comment ferait une minorité, les centres de gestation PMA / GPA et de sélection humaine pour accroitre leur marché ?
Les LGBT sont un élément de réponse. L'homophobie le préjugé à mettre en avant pour ne pas débattre, l'intérêt supérieur de l'enfant, le grand oublié du débat. 

 

Merci de votre intérêt. Partagez !

 

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18 sept. 2019

PMA / GPA : De l'enfant désir à l'enfant idéal, l'enfant paie le prix fort !

Dans cet article s'expriment nos membres en qualité d'homosexuels et de personnes à la filiation biologique refusée par l’État français au profit d'une filiation fictive dite d'intention suite à des projets parentaux de français.

Nous précisons cela pour couper court à la diffamation d'homophobie largement usitée par des associations et militants LGBT qui s'autoproclament représentants des homosexuels, comme si le fait d'être homosexuels, bisexuels ou transgenres faisaient des LGBT des individus avec un humanisme distinctif des hétérosexuels.
Promouvoir la PMA / GPA, promouvoir la privation de filiation à des humains en se présentant comme défenseurs des droits est juste une technique sans aucune éthique. Une instrumentalisation de l'homophobie qui ne fait qu'engendrer beaucoup plus de violences à l'égard des LGBT lambda. Et, c'est pourquoi nous ne condamnerons plus les violences à l'égard de ces gens-là, cela nous indiffère vu leur éthique.

Le désir d'enfant d'un humain peu importe sa sexualité et son genre est parfaitement légitime, la question et la problématique de la PMA / GPA engendrée ne reposent pas sur cette légitimité mais sur les moyens d'y arriver et comme dit l'adage, la fin ne justifie pas les moyens.



Deux lesbiennes, deux homosexuels ou une femme seule ne peuvent avoir d'enfant sans une tierce personne, ce n'est pas une discrimination mais une limite biologique. Les humains ne sont discriminés par rapport aux oiseaux parce qu'ils ne peuvent voler dans le ciel. Ils prennent l'avion, un ULM ou un drone, ils ne demandent pas à la science et à la technique de leur greffer des ailes.

Faisons un premier arrêt, l'aspect technique sur la procréation artificielle : PMA ou AMP Assistance Médicale à la Procréation.

La PMA, Procréation Médicale Assistée avec spermatozoïde ou avec ovocyte ou avec embryon.

L'IAC ou Insémination Artificielle avec le sperme du Conjoint. Il s'agit d'une fécondation dite In Vivo où le sperme du conjoint est inséminé dans l'utérus de la femme. L'embryon se forme In Utero.

L'IAD ou Insémination Artificiel avec le sperme d'un Donneur. Il s'agit là encore d'une fécondation In Vivo, l'embryon se forme dans l'utérus de la femme.

La FIV - C et la FIV- D : Dans ce cas, que le sperme soit du Conjoint ou d'un Donneur, l'embryon se forme dans un laboratoire, il s'agit d'une fécondation In Vitro, les embryons formés sont ensuite transplantés dans l'utérus de la femme.
De même,  en cas d'infertilité ou d'hypofertilité de la femme, la PMA avec ovocytes ou avec embryons en cas d'infertilité des deux.

En 2015, selon les chiffres de l'Inserm, il y a eu 145 000 tentatives d'AMP pour 25 000 naissances pour des couples hétérosexuels.
La France interdisant l'AMP aux homosexuels pour le moment.
La loi est contournée par les LGBT à fort pouvoir d'achat en faisant des AMP et GPA à l'étranger puis exigeant une reconnaissance de filiation à la France, ce qui est possible depuis la circulaire Taubira. Ainsi, la France accepte et légalise les pratiques eugénistes de ses citoyens faites à l'étranger.

Maintenant que la question technique est réglée et avec un taux de réussite de procréation qui est à 20%, il est plus facile de saisir les problèmes psychiques et traumatiques que cela occasionne chez les  "parents" avec tous les examens médicaux nécessaires qui font que si habituellement l'enfant nait du désir lors d'un acte sexuel, il n'en est pas de même quand le désir d'enfant passera par une série d'actes médicaux, d'examens et de traitement, d'échecs, d'attentes déçues jusqu'à la réussite de la grossesse et de l'accouchement.
Ce vécu parental singulier avec les PMA / GPA fait que la grossesse vécue comme "précieuse" et l'enfant vécu comme Miracle ne générera pas les mêmes attentes, le même investissement que chez les parents où la conception résulte d'un simple acte sexuel.
Ainsi, une étude comparant le comportement des femmes pendant la grossesse suivant que cette conception résulte d'un IAD ou d'une conception naturelle montre des différences comportementales.
Avec IAD, les femmes limitent leurs activités, cessent toute sexualité et montre une anxiété plus grande. Elles développent moins de "conversations" avec l'embryon, participent moins à des groupes de préparation à l'accouchement, et privilégient la césarienne comme méthode d'accouchement.

La technique de la FIV est celle qui conduit aux techniques eugénistes avec le choix du sexe de l'enfant, de sa couleur de cheveux et des yeux et depuis peu de son QI.

Aussi bien aux USA qu'à Chypre dans la partie turque, les médecins proposent de choisir l'embryon à implanter en fonction de ces critères et d'effectuer la mise à mort des embryons ne répondant pas aux critères des futurs "parents". 
A titre d'exemple, une étude américaine portant sur 40 familles de pères gays créées par substitution (principalement gestationnelle) et sur 55 familles de mères lesbiennes créées par insémination par donneur a révélé que 60% des enfants de ces hommes étaient des garçons et 40% des filles, tandis que les enfants nés de femmes étaient 50,9% de garçons et 49,1% de filles  Blake et al. 2016 ; Golombok et al. 2017: 6 ).

Sur le développement cognitif des enfants issus de PMA / GPA, des différences existent suivant la méthode de PMA / GPA retenue. Alors que la méthode la plus efficace pour réussir la conception est la FIV ISCI d'après l'Inserm, cette méthode présente le plus de risque de retard de développement pour les enfants conçus ainsi selon l'étude Bowen et al faites sur 253 enfants.

Une étude israélienne montre également pour les garçons issus de PMA / GPA, que des instituteurs remarquent des difficultés d’adaptation scolaire et les enfants eux-mêmes cotent plus d’agressivité et de sentiments anxieux et/ou dépressifs. Les plus problématiques sont des garçons et des enfants ayant des parents d’âge avancé.
Nous notons également une différence de comportements entre les parents dits adoptifs et les parents PMA / GPA. Les parents adoptifs ont tendance à accepter et à encourager leurs enfants adoptés à retrouver leurs parents biologiques pour leur bien-être. Les parents PMA / GPA se décrivent comme les seuls réels parents de ces enfants peu importe le mal-être que cela engendre.

Les débats lors de la commission bioéthique ont montré d'après les pédopsychiatres et professionnels de l'enfance présents, des enfants plus fragiles, une construction psycho-affective plus problématique.
Et comme pour les enfants adoptés, nés sous X, l'impossibilité d'avoir accès à ses origines biologiques augmente le risque suicidaire chez les enfants privés volontairement de leur identité réelle. 

D'après les pédopsychiatres, les parents PMA / GPA fonctionnent bien dans la réalité, mais ils laissent peu de place à l’émotion, aux rêves et à la fantasmatisation. Ils ont mis toutes leurs forces et ont utilisé tous les moyens possibles pour parvenir à leur but qui était d’obtenir un enfant. 

De la même façon, ils programment son devenir. Ils ont des ambitions accrues pour lui, et l’enfant doit dès lors les récompenser de leurs efforts. Ils le poussent pour avoir des acquisitions précoces, ils exigent d’excellents résultats scolaires, ils dictent son comportement. Ils sont incapables d’apercevoir l’enfant réel avec ses besoins, ses difficultés, ses impuissances. Le seul enfant qu’ils peuvent en fait prendre en compte, c’est l’enfant imaginaire, héritier de leur propre idéal du moi. Sa naissance leur a en quelque sorte prouvé qu’ils peuvent être vainqueurs, intervenir sur la fatalité et se montrer plus forts que la nature. 

L’enfant incarne un bien précieux qui a été très difficilement obtenu et son intégrité doit absolument être préservée. Le danger est toujours extérieur à la famille, l’enfant se voit irrationnellement identifié à une personne handicapée, la peur de la stigmatisation et de la levée du secret domine. La surprotection a comme résultat la suppression de l’autonomie de l’enfant, son inhibition émotionnelle et quelquefois psychomotrice. La dépendance est la seule manière possible de nouer des relations familiales. Les problèmes s’aggravent à l’adolescence où l’adolescent se trouve écartelé entre deux tendances : soit accepter la situation de dépendance et reconnaître l’autorité parentale, soit assumer des mouvements de séparation et d’individuation vécus comme destruction et abandon des imagos parentales.

L’enfant souffre sous le poids de l’attente des parents et essaie de toutes ses forces d’être à la hauteur des ambitions parentales. Il paie souvent les frais de la pression d’un idéal impossible à satisfaire.



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17 sept. 2019

France et les enfants parfaits : Du Lebensborn aux enfants des PMA / GPA

Le mythe de l'enfant parfait n'est pas une nouveauté du 21e siècle, l'eugénisme est une vieille lanterne accompagnant la société du progrès.
L’eugénisme peut être désigné comme « l’ensemble des méthodes et pratiques visant à améliorer le patrimoine génétique de l’espèce humaine ». Il peut être le fruit d’une politique délibérément menée par un État. Il peut aussi être le résultat collectif d’une somme de décisions individuelles convergentes prises par les futurs parents, dans une société où primerait la recherche de l’« enfant parfait », ou du moins « indemne de nombreuses affections graves ». Le terme eugenics a été employé pour la première fois en 1883 par le scientifique britannique Francis Galton

La médecine du 21e siècle a des pratiques eugénistes alors que la société plaide pour une acceptation des enfants handicapés, un paradoxe de la société dite inclusive.

L'eugénisme est surtout connu en Europe avec la période nazie et le mythe de la race aryenne.
De là, la fabrique d'enfants dits parfaits a commencé avec les enfants du Lebensborn dont des centres de maternité en France.

Le projet Lebensborn
 


Une première vidéo sur les enfants du Lebensborn


Dans cette première vidéo, les critères de sélection sont explicités et ne sont pas différents des critères de sélection aujourd'hui.

En effet, dans le cadre de PMA / GPA avec donneurs anonymes, ovocytes, spermatozoïdes ou embryons, des « parents d'intention » peuvent choisir les critères du donneur ou de la donneuse et procéder à des IVG sélectifs sur la base du sexe de l'enfant, de sa couleur de peau, de sa couleur de cheveux ou des yeux, de son groupe sanguin et de son niveau de QI.
Bien entendu toutes les maladies détectées engendreront un IVG sélectif, seuls les embryons correspondants aux desiderata des adultes seront implantés.
Des centres de procréation humaine intègrent l'intelligence artificielle et la reconnaissance faciale pour permettre aux femmes seules de disposer d'ovocytes ou d'embryons avec une forte ressemblance pour que l'illusion soit à son maximum.

A noter pour la couleur de peau, si une femme a le droit de faire des enfants avec qui bon lui semble, soit peu importe sa couleur de peau. Pour la PMA / GPA, il est demandé une concordance de couleur de peau avec celle qui sera légalement sa mère. Ainsi, une femme blanche célibataire a le droit de coucher avec un homme noir et de faire un enfant mais cette même femme blanche n'a pas le droit de faire une PMA avec un donneur noir.

Dans cette deuxième vidéo, le témoignage des enfants du Lebensborn. Nous retrouvons les mêmes discours que nous avions rédigés en prenant appui sur des orphelins de père et de mère. Et là également, nous observons que souvent les enfants doivent attendre la mort de leurs parents adoptifs pour faire leur enquête. Comme vous le savez pour ceux qui nous ont déjà lu, nous avons parmi les membres de notre collectif, des personnes qui parlent d'identité volée concernant la possession d'état et la non reconnaissance de leur filiation biologique par l'état français.



Qu'en est-il en 2019, des critères de sélection lors de la fabrique d'enfants ?
Nous vous laissons chercher les différences avec les critères de sélection des enfants du Lebensborn !


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Violences conjugales : Les LGBT plus violents que les hétérosexuels ? Que disent les recherches universitaires ?

Dans notre série d'articles sur la PMA / GPA puisque la France s'apprête à légaliser les filiations fictives, ce que nous nommons comme une nouvelle forme de traite infantile avec le vol d'identité légalisé. Et comme Marlène Schiappa est heureuse d'organiser le premier Grenelle des violences faites aux femmes hétérosexuelles puisque les violences faites aux lesbiennes par des lesbiennes sont ignorées, il nous a semblé important d'aborder la question des violences conjugales qui sont largement taboues en France et plus encore au sein des LGBT.


Nous avons donc enquêté auprès des universitaires afin de disposer de faits, de chiffres dûment vérifiés pour neutraliser l'accusation classique d'homophobie lancée par les mouvances LGBT dès lors qu'on aborde ces questions pour faire taire toute réalité scientifique sur le sujet.

Vous noterez que si les Média français se félicitent de mettre ce qu'ils nomment diversité dans les programmes fictionnels comme les séries télévisés où des personnages affichent leur sexualité comme dans Plus Belle La Vie ou une des séries diffusées sur M6, nulle diversité dans les spots de prévention contre les violences conjugales et infantiles.


https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/aude/carcassonne/feminicides-marche-blanche-carcassonne-souvenir-valerie-drif-1719311.html
A noter que les féministes évoquent le terme de "Féminicide" quand une lesbienne tue sa compagne. Et elles accusent le "patriarcat" soit les hommes, la force de leur déni est sans équivalent.

L'université du Michigan a mené une enquête en 2018 sur 320 hommes, soit 160 couples homosexuels.

"Si vous regardez juste la violence physique et sexuelle dans les couples masculins, elle représente entre 25 et 30%, soit environ la même que chez les femmes", détaille Rob Stephenson, directeur du Centre sur les Disparités Sexuelles et Médicales. " 3 homosexuels tués en France par leur partenaire en 2016. Les média communiquent peu sur ces meurtres et violences notamment en pleine période de vote sur la PMA / GPA.
Il y a quelques années, une étude canadienne avait établi que 15% des gays et lesbiennes auraient été victimes de violences conjugales contre 7% chez les hétérosexuels au cours de l’année 2004. Selon le site spécialisé rezosante.org.

Si les statistiques varient, selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, près d'une femme sur cinq aux États-Unis se fera violer ou subira une tentative de viol au cours de sa vie. Un rapport de 2013 du département de la Justice des États-Unis indique que les hommes blancs sont les coupables les plus courants.

Les données collectées par les Centres pour le contrôle des maladies semblent confirmer ces observations, et les lesbiennes et les femmes bisexuelles sont plus susceptibles de subir la violence de leur partenaire. 44 % des lesbiennes et 61 % des femmes bisexuelles – contre 35 % des femmes hétérosexuelles — subiront un viol ou la violence physique de leur partenaire au cours de leur vie.  

En situation conjugale, une femme a plus de probabilité d'être violée et/ou violentée par sa compagne lesbienne que par son compagnon hétérosexuel.

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14 sept. 2019

La PMA / GPA sans père sans mère augmentera-t-elle le taux de suicide de ces enfants en kit ?

Il n'y a pas eu de débat en France sur la PMA / GPA, il y a eu une fabrique du consentement avec des leaders d'opinions, ni plus ni moins.



Le plus stupéfiant a été la mise en avant de "belles histoires" comme celle de Marc-Olivier Fogiel avec Comment j'ai commandé et acheté une fille pour 150 000 € ou le témoignage d'enfants de 8 ans sur France Info quand les problèmes psychologiques surviennent à l'adolescence. L'appel aux témoignages d'enfants si jeunes sans aucun esprit critique est digne de la propagande de Goebbels oui le monsieur communication de l'Allemagne Nazie qui n'avait que recopié les principes de la fabrique du consentement du neveu de Sigmund Freud, l'américain Edward Bernays.
Et le détail qui montre la fabrique de consentement chez France Television et France Info et que les commentaires sont désactivés pour toutes les vidéos PMA / GPA où des militants LGBT sont laissés libres d'exprimer leurs mensonges et leurs mythes sans contradiction possible.

La PMA sans père comme la GPA sans mère crée de facto des orphelins de père ou de mère et crée une discrimination de naissance entre les enfants issus d'un couple hétérosexuel et ceux de couples LGBT ou de célibataires.

Ainsi, ces enfants sont proches non pas d'enfants naturels ou classiques mais des orphelins, où il existe quelques études dont celle de leur surmortalité par suicide. Les autorités tentant pour le moment de prévenir au mieux les problèmes psychologiques engendrés par le statut d'orphelin de père, de mère ou des deux et le risque de suicides plus élevé.

Les premières études sur les orphelins ont montré que la France procédait par contournement concernant la question de l'orphelinage.Etude Herve 1998 et comment le traitement social en France affecté les orphelins Etude Habchy 2014.

De plus, pour ces enfants en Kit avec le choix du sexe, de la couleur des yeux, de la couleur de cheveux, de la couleur de peau, du niveau de QI, certains n'accepteront pas ce mythe souhaitant remplacer la réalité de leur filiation biologique et l'enfant fera un distinguo entre la procréatrice biologique et l'adoptante. Cette dernière est considérée dans certains cas comme une intrus à la place du père comme le relatent Marie-Claude Mietkiewicz, Lise Lemoine et Benoît Schneider dans l'ouvrage Dialogue de Pierre Delion et Didier Drieu sur les différentes néo-parentalités, les troubles associés et les accompagnements nécessaires afin d'éviter au mieux les désordres psychologiques chez l'enfant qui se présentent avec les symptômes de violences, instabilités, troubles de l'attention et les difficultés à accepter la frustration mais pour ce dernier vous deviez vous en douter puisque la PMA sans père résulte de la non acceptation d'une frustration.
 
La difficulté majeure pour les orphelins résulte dans les faibles études entreprises à leur sujet, un intérêt sociétal mineur excepté le film sur les enfants de l'ASE : Enfants en souffrance, la honte.


Car si la volonté des LGBT est d'avoir un enfant, leur volonté s'accompagne aussi de la mise à mort de 50 % de la filiation biologique de l'enfant. Et cette mise à mort dépend du bon vouloir ou des désirs des LGBT et non de l'enfant et de ses droits, soit de l'adulte en devenir qu'ils privent de son identité réelle avec toutes les conséquences qui en découleront comme explicités.

Car comme nous l'avons déjà écrit, des personnes à la filiation biologique refusée ont préféré le suicide à une vie sous une identité qui n'était pas la leur. Les parents peuvent pleurer si ils le souhaitent, ils sont à l'origine de cette identité volée.


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France PMA / GPA : Les LGBT obtiennent la mort des droits de l'enfant.

Les députés français viennent de voter le fait que la filiation fictive l'emporte sur la filiation biologique. La création d'enfant orphelin de père est actée. Comme nous l'avons déjà écrit, ces parents LGBT créent par la même occasion une nouvelle famille de suicides, celle d'individu refusant de vivre avec une identité fantasmée comme nous l'avions expliqué dans un de nos articles précédents concernant la PMA / GPA avec les suicides de personnes à qui la France refuse leur filiation biologique.

Pour Nicole Belloubet, la filiation ne doit plus reposer sur la biologie mais sur l'unique volonté. Chacun peut décider d'être le parent de n'importe qui. les caprices des françaises l'emportent sur la réalité. La France bafoue une fois de plus les droits de l'enfant pour faire plaisir à un corps électoral, celui de la communauté LGBT.

La possession d'état prime sur les droits de l'enfant qui meurent ce jour en France. Un individu ne pourra pas porter le nom de son géniteur mais on lui imposera de porter le nom d'une personne avec laquelle il n'a aucun lien de parenté biologique.

A ce tire, un père biologique s'est vu refusé la garde de son enfant. En effet, un homosexuel avait conclu un accord commercial avec une génitrice porteuse mais cette dernière bien qu'ayant conçu l'enfant à l'aide du spermatozoïde de cet homosexuel a préféré vendre l'enfant à un couple hétérosexuel. La justice française a donne raison à la  génitrice porteuse.

Autre exemple, un enfant à la paternité délibérément falsifiée par deux adultes français s'est vu refusé son droit à sa réelle filiation malgré le recours à des faux en écriture de ces deux adultes. Deux adultes français peuvent voler l'identité d'un enfant sans que la justice n'y trouve à redire. La justice invoque l'intérêt supérieur de l'enfant. Ce qui signifie dans cette affaire que le suicide de cet enfant relevait de son intérêt supérieur pour le bien être de deux français. Bienvenue chez les fous français.

Dans ces deux exemples, les droits de l'enfant sont purement et simplement niés. Seul compte le désir d'enfant d'adultes peu importe les moyens, peu importe les suicides que cela engendrera. C'est un choix de morts qui est ainsi voté ! Qu'ils ne viennent pas pleurer après, qu'ils soient fiers !


Prochain article : Les viols dans les couples lesbiens et les couples hétérosexuels, vous allez être surpris des résultats des dernières études scientifiques.

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13 sept. 2019

France PMA / GPA : La guerre des récits ou quand les LGBT décident de la mort des enfants naturels.

Même si nous n'avons aucune illusion sur le fait que PMA et GPA seront votées en France, cela ne nous empêchera d'exprimer notre avis qui est le fruit de témoignages d'individus à la filiation biologique refusée et à une analyse qui n'est pas exclusivement centrée sur le désir d'enfant soit le droit à l'enfant mais sur la négation des droits de l'enfant.


Pour rappel, la filiation est la transmission de la parenté, soit lorsqu'une personne descend de l'autre. L'histoire de la filiation en France a connu beaucoup d'évolutions avec 3 types de filiation n'ayant pas les mêmes impacts, ne générant pas les mêmes droits pour les individus descendants.

Il y a eu la filiation dite légitime, adoptive et naturelle.

La filiation légitime est la filiation transmission de la parenté qui caractérise les enfants conçus ou nés alors que leurs parents étaient unis par le mariage. Dans de nombreux pays, le statut d'enfant légitime est opposé à celui d'enfant naturel.  

La filiation adoptive naît avec la création par jugement d’un lien de filiation entre deux personnes qui, sous le rapport du sang, sont généralement étrangères l’une à l'autre. On distingue l’adoption plénière et l’adoption simple.

La filiation naturelle qui tendait à perdre de son importance. En 2005, un loi a été votée pour que l'égalité complète en particulier concernant l'héritage soit déclarée entre les enfants naturels et les enfants légitimes. 


La filiation naturelle est celle qui pose de plus de problème aux parents et c'est là que commence la guerre des récits.

Témoignage :

En 1970, la jeune Christine accouche d'un enfant, elle n'est pas mariée. D'après la loi, elle est désignée d'office comme mère de l'enfant. Comme elle n'est pas mariée, il n'y a pas de présomption de paternité. Il faut que le père se déclare. 
La jeune Christine refuse d'indiquer qui est le père de l'enfant. Il est déclaré sans père dans un premier temps. Il portera le nom de sa mère et de par la loi sera susceptible de toucher son héritage à la mort de celle-ci.
Huit ans plus tard, la jeune Christine rencontre un homme, tombe amoureuse et décide de se marier. Elle explique à cet homme que le père de l'enfant est mort il est vivant, elle lui ment pour une question d'image. L'homme par amour décide de reconnaitre l'enfant et ils se marièrent. Ils ont tous les deux un fort désir d'être parents, d'être un couple comme tout le monde. L'homme est persuadé de pouvoir aimer cet enfant comme son fils. L'enfant change de nom et obtient de nouveaux droits d'héritage.
Il est expliqué à l'enfant que cet homme est son père, qu'ils s'étaient connus, puis séparés et maintenant retrouvés et ont décidé de se marier. L'enfant croit ce mensonge. L'homme s'aperçoit qu'entre le désir d'être père et le fait de se sentir père, il y a une différence et il n'arrivera jamais à la franchir. Pour lui au final, cet enfant n'est pas son fils et ne le sera jamais. Ce sentiment sera renforcé à la naissance d'une fille issue de son union avec la jeune Christine. Il y aura le bâtard, l'enfant naturel et la fille légitime. L'homme ne s'occupera jamais de l'éducation du bâtard.

Quelques années plus tard, l'enfant découvre la réalité et sait désormais qu'il a un père naturel et une personne qu'il désigne comme "autorité parentale légale". Le délai de 5 ans est dépassé, la filiation est imposée à l'enfant. Il n'a aucun recours pour retrouver sa véritable identité, il doit porter un nom qui n'est pas le sien, il sait qu'il sera enterré sous un faux nom à cause des lois françaises et aux mensonges sus de tous qui sont réaffirmés avec la filiation fictive exigée par les couples de lesbiennes et les femmes seules.

Dans cet exemple, nous avons une guerre des récits, l'enfant naturel se retrouve malgré lui non pas adopté au sens légal du terme mais nié de son identité d'enfant naturel sans possibilité de recours pour retrouver sa véritable identité. Il connait le nom de son vrai père, le nom de sa mère, mais il doit porter le nom du mari de sa mère qui est devenu légalement son "père" par un mensonge lors de la reconnaissance de paternité.


Dans le cas des PMA / GPA où la filiation naturelle est niée pour faire place à une filiation pseudo légitime avec à la différence d'un couple hétérosexuel où chacun sait qu'il n'est pas le parent biologique de l'enfant. Un récit imaginaire est mis en place et remplace la réalité, l'enfant naturel est mort. Le droit à l'enfant l'emporte sur le droit de l'enfant.


Nous ne souhaitons pas gâcher la fête des LGBT français. Ils peuvent ajouter un suicide de plus au bilan morbide de la France avec le vote des députés en faveur de la négation de la filiation biologique. L'enfant de Christine a préféré la mort à un jour supplémentaire sous un faux nom.
Nous savons grâce aux probabilités que les nouvelles "mères lesbiennes" généreront des suicides chez leurs "enfants" pour les mêmes raisons que l'enfant de Christine, le refus de la filiation biologique. Qu'elles soient fières ! Puisque d'après les associations LGBT, les LGBT sont fiers par nature. Une essentialisation débile mais dont ils sont fiers.

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