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21 mars 2020

#LLDDF : Conspiracy Watch, Check News et les Décodeurs, les Folamour des vérités illusoires ou le confinement de l'objectivité et de la déontologie.


Si les physiciens et les biologistes avaient conscience de leur fantasme réductionniste, à vouloir et à rechercher une explication  élémentaire et simple, il n'en était pas de même pour les journalistes et leurs apparentés. L'histoire de la Physique et de la Biologie avait montré qu'en fonction des situations, certains cadres conceptuels étaient plus pertinents que d'autres, permettaient une meilleure approche et compréhension du réel, faisaient que la vérité sans être connue était bien dans la ligne de mire. 
Ainsi, les physiciens disposaient des théories de la physique générale, relative et restreinte, de la thermodynamique ou de la physique quantique suivant l'objet à étudier, les prévisions à établir, les modélisations à valider dans le calcul des trajectoires des individus et des effets de masse quand s'opérait un changement de niveau avec une étude phénoménale et non plus individuelle.
Ainsi, les biologistes dans le cadre d'avis à donner sur une épidémie pouvaient expliquer les différences entre une stratégie visant une immunité collective nécessitant la contamination du plus grand nombre ou une stratégie d'endiguement par un confinement des personnes affectées. De même, les biologistes proposaient une série de traitements en indiquant les effets indésirables potentiels permettant ainsi aux décideurs politiques en fonction de la balance bénéfice / risque de faire un choix éclairé.
Or, entre le langage et la pensée des scientifiques et celles des journalistes et leurs apparentés, il y avait un changement de cadre déjà linguistique, un changement du régime de vérité.

Avec l'énoncé « Il fait beau », il s'agissait alors de vérifier, d'évaluer la véracité de cette proposition. Cet énoncé avait-il été prononcé de manière ironique, ce qui signifierait alors qu'il ne faisait pas beau. L'évaluation d'un beau temps faisait-elle référence aux normes admises par un inuit ou par un tahitien ? Ainsi, avec la simplicité élémentaire de ce simple énoncé « Il fait beau », il fallait passer par un raisonnement complexe pour en déterminer la vérité objective et subjective, pour réaliser ce qui relèvait du descriptif, du factuel mais aussi du désirable et du préférable, de l'autorisé et de l'interdit.« Il fait beau » pour un inuit n'était pas le « Il fait beau » d'un tahitien. Dans ce simple énoncé, les faits et la valeur étaient confondus, comment alors affirmer ce qui était vrai ?

Quand Les Décodeurs décidaient que la vidéo d'un épidémiologiste sur le Covid-19 était une fake news, une infox, qu'elle était fausse, qu'ils la faisaient interdire sur Facebook en leur qualité de commissaires de la vérité alors que cet épidémiologiste était l'un des spécialistes des coronavirus, sur quoi se basaient-ils et quelle légitimité avaient-ils ? Quand cet épidémiologiste était nommé au Conseil Scientifique, pourquoi ne publiaient-ils pas un démenti ? Était-ce la publication d'un stagiaire ?

Quand Conspiracy Watch faisait un n-ième article sur le prétendu complotisme des français notamment de la France Insoumise et du Rassemblement National et leur cible habituelle Les Gilets Jaunes qu'ils aimaient haïr et salir à chaque occasion car ces derniers étaient persuadés que le gouvernement d’Édouard Philippe leur cachait des choses sur le Covid-19 et qu'Agnès Buzyn, ex Ministre de la Santé confirmait que le gouvernement avait menti aux français, ils ne publiaient jamais de Mea Culpa ni de démenti, ils continuaient de publier leurs accusations. Les seules questions qui se posaient pour les membres de Conspiracy Watch étaient le niveau de leur déontologie et de leur régime de vérité. A accuser les autres de complotisme ou de conspirationnisme  sans avoir eux-mêmes aucune éthique, ils ne faisaient qu'alimenter l'idée de conspiration tant ils étaient incapables de prouver, de mettre à l'épreuve leurs accusations reposant sur leur représentation du monde des autres, d'établir une évaluation scientifique et contextuelle de leurs affirmations.

Quand Check News décidait de faire un article pour dédouaner l'Imam de Brest, ce chef religieux qui expliquait que la musique transformait les enfants en singes ou donnait ses recommandations en matière de lutte contre le Coronavirus, les journalistes de Check News décidaient de donner de la visibilité à la parole religieuse d'un orthodoxe plutôt que de mettre en lumière des scientifiques. Ils amenaient leurs lecteurs à continuer d'écouter des religieux pour lutter contre une épidémie, à faire croire que trois prières par jour permettaient de ne pas avoir le Covid-19. Les fact-checkers au service des obscurantismes.



Si l'objectif de ces trois sites était le rationalisme et l'objectivité et non la publication de leur subjectivité et de leur déontique, ils auraient commencé par étudier que l'intolérance dont ils faisaient preuve tenait fréquemment du fait qu'ils n'aimaient pas l'idée de l'autre, qu'ils ne faisaient pas la promotion de la vérité mais d'un monde qui leur serait préférable et désirable.

Si la stratégie d'une immunité de groupe semblait la meilleure du point de vue du biologiste, ce n'était pas pour autant qu'elle était la meilleure. Car le choix de cette stratégie nécessitait des infrastructures de santé permettant la prise en charge des malades quels qu'ils soient et non en fonction d'un critère d'âge comme c'était le cas actuellement en Italie comme dans l'Est de la France. Que pouvait penser une société d'elle-même sur son degré de civilisation si elle décidait que les plus de 65 ans devaient mourir pour sauver les autres ? Ces fameux 65 ans qui venaient d'arriver à la retraite et qu'on expédiait dans le cercueil. Les économistes du système des retraites trouveraient cette mesure économiquement intéressante mais les autres ?

Si le seul enjeu des Décodeurs, des Check News et de Conspiracy Watch était de faire accepter un choix conceptuel, un cadre de pensée, comme celui tantôt de l'économiste, tantôt du biologiste pour expliquer que le politique avait pris les meilleures décisions, il fallait le préciser d'emblée et cesser ces enfantillages philosophiques au nom de la vérité prétendue.

Exigeons l'impossible, demandons le réel.

Le devoir politique impliquait le pouvoir. Si les Décodeurs, Check News et Conspiracy Watch ne pouvaient expliciter le régime de vérité sur lequel ils s'appuyaient pour déterminer le vrai du faux, le supposé vrai ou faux alors ils ne devaient pas le faire car avec des prémisses, des supposés non normatifs, il était impossible d'obtenir des énoncés et des conclusions normatives et de participer ainsi à la recherche de la vérité. Un choix éthique.

Si l'appel aux valeurs morales parce que positives comme l'honnêteté, l'intégrité physique ou l'autonomie (capacité à décider à distinguer de l'indépendance, capacité à faire) et le rejet des valeurs négatives comme la violence, la cruauté, la souffrance ou l'humiliation n'étaient là que pour légitimer  des décisions inconséquentes du politique alors les droits humains fondamentaux n'existaient plus. Nous arrivions à une contradiction des Folamour du fact-checking qui avec leur avis partial sur une vue partielle du monde participaient à sa destruction et non à sa reconstruction. C'était un choix, il fallait l'assumer après et non se défausser par de l'ironie ou des attaques Ad Hominem ou Ad Personam.

Cette trahison de ces journalistes et apparentés qui se considèraient comme des clercs de la vérité malgré leurs aveuglements si visibles et malgré l'étroitesse de leur point de vue montraient davantage leur trahison des sentiments à tomber dans tous les pièges du langage « Il fait beau ».

Les faux dualismes entretenus par Conspiracy Watch, Check News et Les Décodeurs, entre vérité journalistique, vérité scientifique, vérité littéraire ou artistique et vérité religieuse participaient à ce brouillard informationnel, à cette surcharge cognitive et communicationnelle, à ce mille-feuille des illusions. 

Si le simple s'obtenait par une cascade de modèles complexes, fallait-il les maîtriser et en admettre les limites. L'art de juger, nécessitait la maîtrise du sensible et de ses vérités affiliées, qui s'exprimait par l'art d'aimer et non de haïr l'autre. Construire inlassablement la raison nécessitait un travail critique de son propre travail. Comprendre ce qui se jouait dans l'espace des raisons avec ces rapports entre la raison et ses raisons exigeait encore d'être honnête sur les raisons de croire et les raisons d'agir mais sans éthique de la connaissance comme de la croyance, les Folamour des vérités illusoires ne participaient qu'à confiner l'objectivité et la déontologie et contribuaient du haut de leur ignorance arrogante à plus de lapidations médiatiques. Une charia journalistique et de l'ordre moral indistinguables des recommandations d'un théologien sectaire, peu importe la croyance religieuse.



Dès l’âge de douze ans, Marc revêtit le manteau philosophique, apprit à coucher sur la dure et à pratiquer toutes les austérités de l’ascétisme stoïcien. Il fallut les instances de sa mère pour le décider à étendre quelques peaux sur sa couche. Sa santé fut plus d’une fois compromise par cet excès de rigueur. Cela ne l’empêchait pas de présider aux fêtes, de remplir ses devoirs de prince de la jeunesse avec cet air affable qui était chez lui le résultat du plus haut détachement. Ses heures étaient coupées comme celles d’un religieux. Malgré sa frêle santé, il put, grâce à la sobriété de son régime et à la règle de ses mœurs, mener une vie de travail et de fatigue. Il n’avait pas ce qu’on appelle de l’esprit, et il eut très peu de passions. L’esprit va bien rarement sans quelque malignité ; il habitue à prendre les choses par des tours qui ne sont ceux ni de la parfaite bonté ni du génie. Marc ne comprit parfaitement que le devoir. Ce qui lui manqua, ce fut, à sa naissance, le baiser d’une fée, une chose très philosophique à sa manière, je veux dire l’art de céder à la nature, la gaieté, qui apprend que l'abstine et sustine n’est pas tout et que la vie doit aussi pouvoir se résumer en sourire et jouir
Ernest Renan, Marc Aurèle et la fin du Monde antique

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19 mars 2020

#LLDDF : Covid-19, les élites françaises contre le peuple.

 #Odin : Les prédictions du Maître des Assassins

Alors que la pandémie Covid-19 battait son plein en Europe, que les décès s'annonçaient, chaque jour, plus nombreux, les débats en France se polarisaient sur l'interview assassine d'Agnès Buzyn pour le gouvernement, le journal de bord payant du confinement de Leila Slimani dans sa maison de campagne et les annonces des élites européennes se déclarant positives au Covid-19 dont le dernier en date était le commissaire européen Michel Barnier qui avait crû bon de publier une vidéo où il expliquait être en grande forme bien qu'ayant été testé positif.

La Présidence de la République Française envoyait les français au casse-pipe selon Ivan Roufiol, un journaliste éditorialiste et essayiste du journal Le Figaro. Emmanuel Macron avec le gouvernement Edouard Philippe avaient décidé qu'il n'était pas utile de réaliser des tests massifs au Covid-19 sauf pour les élites. Ils avaient également décidé que les forces de l'ordre ne devaient pas être équipées de masques afin d'être protégées d'une potentielle contamination lors de l'exercice de leur mission et de protéger leur famille alors que l'Organisation Mondiale de la Santé, l'OMS invitait tout le monde à porter des masques et à se faire dépister, le dilettantisme de la Présidence et du gouvernement français détonnait dans le paysage international.
Le groupe terroriste Daesh félicitait le chef de guerre Emmanuel Macron, le père de la Nation comme disait le Président du Sénat Gérard Larcher, connu pour son opposition au report des élections municipales et sa contribution au bilan morbide provoqué par les élites françaises. Les Jihadistes n'avaient jamais réussi avec leurs mesures à faire autant de morts français en si peu de temps, à faire mourir autant les civils, les soignants que les personnels du ministère de l'intérieur en même temps. La Start-Up Nation, tant vantée, était incapable de se mettre en marche pour fabriquer des masques et des respirateurs artificiels, pour construire des hôpitaux en dix jours comme la Chine, seul le groupe de luxe LVMH de Bernard Arnault avait produit des solutions hydro-alcoolique au sigle de Dior, l'élégance française même face à la mort inévitable.

Ce sinistre préjudice porté par les élites françaises contre le peuple montrait davantage une sorte de schizophrénie  avec ce dualisme entre le refus de tester la population, le refus de mettre en place des mesures sanitaires reconnues comme efficaces, multipliaient, ainsi, les contaminations au sein du peuple, tout en se testant parmi les élites au moindre doute. Une inégalité de traitement hurlante pour un pays dont la devise était Égalité et Fraternité.


Les réunions des conseils municipaux pour élire les maires étaient annulées par le Premier Ministre Édouard Philippe et en même temps Emmanuel Macron, le Président de la République qui avait invité les Français à aller au théâtre s'étonnait que ces derniers ne suivaient plus ces consignes de confinement tout en demandant à ces mêmes Français par l'intermédiaire du ministre de l’Économie  Bruno Le Maire relayé par la ministre du travail Muriel Penicaud d'aller travailler avec l'interdiction de porter des équipements de protection individuelle indispensables à leur bonne santé, en menaçant le secteur du BTP de ne pouvoir être éligible au chômage partiel.
Des élus en confinement diffusaient leurs vidéos de séances de sport, de lecture, de beauté comme l'élue du 12e arrondissement de Paris Lunise Marquis tout en étant grassement payée par les deniers publics pendant que les salariés risquaient leur vie. Ce n'était pas un choc des civilisations selon Huntington mais une guerre des classes sanglante qui se préparait et où le pédant de l’Élysée serait perdant tout comme ses imitatrices et imitateurs heureux de publier leur vie pleinement vide sur Twitter pendant que ceux qui leur permettait d'avoir ces fonctions et payaient leur salaire se tuaient à sauver les autres.
Alors que le gouvernement par l'intermédiaire de sa porte-parole Sibeth Ndiaye avait multiplié les messages contradictoires, les éditocrates français incendiaient les Français de ne pas écouter les messages du gouvernement et des autorités de Santé Publique dont l'ex ministre de la Santé, Agnès Buzyn qui avait multiplié en toute connaissance de cause, ses meeting politiques au mépris de la santé des électeurs ou le docteur Michel Cymes, le docteur vanté par le groupe de média d'état France Télévision qui avait changé de discours face aux conséquences de ses messages ironiques sur des mesures à prendre contre le covid-19, changé ses discours par de nouvelles insultes aux Français, sa pédagogie de méprisant de soignant, son parjure du serment d’hippocrate.

Chacun au sein du peuple face à autant d'irrationalité ordinaire ne pouvait que rechercher à imputer à ces élites françaises des objectifs, des préférences, des croyances en matière de représentation du monde et de morale tant aucun principe de précaution n'avait été respecté, aucune alerte n'avait été écoutée, aucune mesure pour limiter le nombre de morts n'avait été prise.

Les cadres supérieurs de Paris avaient quitté la Capitale de la France pour se réfugier dans leur maison de campagne, le télétravail leur permettant de ne pas se rendre dans leur local professionnel quand les caissières de supermarché, les magasiniers d'Amazon devaient travailler sans protection au contact du public pour satisfaire leur employeur tout en étant sous la menace de ne pas être payés pour leur travail déjà effectué.
Les Sans Domicile Fixe étaient verbalisés pour non respect du confinement alors qu'ils n'avaient ni logement ni moyen alimentaire de subvenir à leur besoin selon les journalistes du Progrès de Lyon. Le personnel soignant en première ligne de front pour traiter les malades ne disposait pas de masques en quantité suffisante et de fait, ils étaient contaminés et contaminaient à leur tour d'autres personnes, le cercle vicieux était engagé. 
Les reportages dans les média avaient une tonalité différente suivant que les journalistes filmaient le non respect des règles du confinement par les bourgeois ou par les banlieusards. Pour le même irrespect, les bourgeois étaient traités d'inconscients quand les banlieusards étaient traités de criminels qui devaient être expédiés dans leur pays d'origine, quand bien même, ils étaient autant français que les autres.

S'il était courant de dire avant la pandémie Covid-19 que les nations occidentales étaient imprégnées de pensée scientifique contrairement à d'autres sociétés dites traditionnelles, la gestion de cette crise par les élites européennes avec Ursula Von Der Leyen ou Emmanuel Macron avait montré leur irrationalité et leur mea culpa ne changerait rien au nombre de morts de leur politique macabre.

Si aujourd'hui, chacun sait d'où vient la croyance dans le concept de miracle religieux, c'est parce que les Lois de la Nature se sont imposées chez les personnes éduquées, c'est-à-dire que de moins en moins de gens prêtaient une intention à la Nature, tentaient l'explication d'une action d'un esprit divin mais chacun recherchait une explication rationnelle d'un événement. 
Même les sociétés à l'archaïsme religieux connu comme l'Arabie Saoudite invitaient leurs religionnaires à ne pas se rendre dans les mosquées, à rester confinés chez eux, le temps que la pandémie cesse. Cela n'empêchait pas certains croyants de toutes les religions de se regrouper pour prier et ainsi de se contaminer au mépris de la raison.

Pour comprendre pourquoi les élites françaises se protégeaient tout en excluant un système de protection pour le peuple, il fallait s’intéresser aux manières dont la Nation Française réagissait en fonction du statut d'un mort.
Quand un homme se suicidait dans le cadre de violences conjugales, la société française considérait que c'était un accident de la vie.
Quand un militaire se suicidait dans le cadre de violences managériales, la société française chercher à faire condamner l'institution ou le manager pour cette mort.
Quand une femme était tuée par sa conjointe dans le cadre de violences conjugales cela faisait l'objet d'une dépêche dans la rubrique faits-divers d'un journal local.
Quand une femme était tuée par son conjoint dans le cadre de violences conjugales, l'association de Caroline de Haas Nous Toutes ou Osez le féminisme ou l'entreprise Eglaé publiait une tribune sur la violence des hommes et la société patriarcale, Marlène Schiappa condamnait l'auteur de cet homicide, renommé selon les croyances féministes comme un féminicide.
Ainsi, d'une même mort dans le même contexte, certains morts étaient ignorés, d'autres étaient commémorés comme un sacrifice insupportable et ils étaient glorifiés. 
La vie des uns et des autres n'avaient pas la même valeur, le même intérêt, la vie des uns était plus importante que d'autres suivant le système de représentation du monde et de la morale. Les élites se croyaient indispensables à la bonne vie d'une Nation quand leurs décisions envoyaient le peuple à la mort.

Si la devise française était Liberté - Égalité - Fraternité, les Français ne pouvaient alors admettre qu'une différence de rémunération et de risque était justifiable uniquement par un mérite relatif des individus et de l'importance des services rendus. A défaut, l'inégalité de traitement devenait une injustice à faire condamner, un privilège de classe à abolir.

Après la pandémie, les élites françaises et européennes passeraient devant le tribunal médiatique et judiciaire. La secrétaire d’État Marlène Schiappa aurait à loisir de contempler les conséquences politiques de son slogan Name And Shame, les élites seraient traînées dans la boue à juste raison.
Une nouvelle ère pouvait commencer grâce au Covid-19 et sa gestion macabre par ces élites si irresponsables.
Quand  2 + 2 = 5,  les illusions ne durent qu'un temps, les gouvernants allaient l'apprendre à leurs dépends.
Si la France n'avait pas mis en place un tribunal à la Nuremberg pour juger les terroristes, elle devrait mettre en place un tribunal Nuremberg 2020 pour juger les responsables de ce massacre, le Président Emmanuel Macron, le ¨Premier Ministre Edouard Philippe, les ministres Agnès Buzyn, Olivier Veran, Jean-Michel Blanquer, Frédérique Vidal, Muriel Penicaud, Sibeth Ndiaye, Marlène Schiappa et tous les autres membres du gouvernement pour complicité, si prévisible lié au Covid-19. A défaut, tout serait plus que sanglant.

#InOdinWebTrust : les prophéties se réalisent quand on y croit
Le paquebot dans lequel j’avais fait le voyage était venu s’amarrer à Colombo et la nuée habituelle de coolies était montée à bord pour s’occuper des bagages. Quelques policiers, dont un sergent blanc, les dirigeaient. Un des coolies avait pris une longue malle d’uniforme en fer-blanc et la portait avec tant de gaucherie qu’il mettait en danger la tête des gens. Quelqu’un l’a injurié pour sa maladresse. Le sergent de police s’est retourné, a vu ce que faisait cet homme et lui a balancé un tel coup de pied au derrière qu’il a traversé le pont en titubant. Plusieurs passagers, dont des femmes, ont murmuré leur approbation.
À présent, transférez la scène à la gare de Paddington ou sur les docks de Liverpool. Elle ne pourrait tout simplement pas avoir lieu. Un porteur anglais que l’on aurait frappé frapperait en retour, ou en tout cas il y aurait de grandes chances qu’il le fasse. Le policier ne le frapperait pas pour une si infime raison, et certainement pas devant témoins. Et surtout, les spectateurs seraient indignés. Le plus égoïste des millionnaires anglais, s’il voyait un compatriote frappé de cette façon, ressentirait au moins une animosité momentanée. Et pourtant nous avions là des gens ordinaires, corrects, des gens avec un revenu d’environ 500 livres par an, qui observaient cette scène sans autre émotion que celle d’un certain assentiment. Ils étaient blancs, et le coolie était noir. En d’autres mots, c’était un sous-homme, une autre espèce d’animal.
Orwell, « Notes en chemin »

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13 mars 2020

#LLDDF : Covid-19 : Les élections Municipales et le bain de sang de Laurent Fabius et de Gérard Larcher



Laurent Fabius, un politicien français, était un habitué des bains de sang. Du scandale du sang contaminé où de nombreux français le payèrent de leur vie à l'armement de factions Jihadistes en Syrie où ses errements et ses paris occasionnèrent, à nouveau, de nombreux morts, cela ne l'avait jamais empêché de gravir les échelons du pouvoir et de siéger au Conseil Constitutionnel. Excepté pour son fils dont les scandales étaient également nombreux mais semblait particulièrement protégé, beaucoup se demandaient pour qui Laurent Fabius travaillait réellement puisqu'à l'évidence la vie des français n'avait aucune importance à ses yeux.


Pendant que la pandémie Covid 19 sévissait en France, où elle s'était répandue depuis Creil dans l'Oise, selon les journalistes du Figaro, suite au rapatriement, par des militaires insuffisamment préparés, des français de Wuhan en Chine, où aucune mesure de protection n'avait été véritablement prise mettant en cause les compétences de Florence Parly et Jean-Yves le Drian, et où les déclarations successives des ministres de la Santé, de l’Éducation Nationale, de l'Enseignement supérieur et du Travail, Agnès Buzyn puis Olivier Veran, Jean-Michel Blanquer, Frédérique Vidal et Muriel Penicaud avaient étonné de nombreux français par leurs paroles et décisions irresponsables, soit en niant le danger de cette épidémie, soit en allant à l'encontre de tous les avis scientifiques du chef de service hospitalier à l'Organisation Mondiale de la Santé, le nombre de morts français augmentait dans l'indifférence générale politique. Les média français dont les éditorialistes passaient leur temps à expliquer qu'il ne s'agissait que d'une grippe malgré l'hécatombe dans les premiers pays touchés par cette pandémie et les retombées économiques.


Les seuls testés à ce Coronavirus étaient les personnes gravement malades et le personnel politique, puisque le gouvernement avait annoncé que le ministre de la Culture Franck Riester, bien qu'en forme était positif au dépistage du Covid 19. Des députés étaient également contaminés et bénéficiaient à la moindre suspicion d'un test et d'une prise en charge médicale immédiate contrairement aux français laissés à l'abandon et mourants.


La question qui s'était posée pour la Présidence de la République était : Fallait-il reporter les élections municipales lors de cette pandémie puisqu'en se basant sur un taux de participation de 60% cela faisait plus de 20 millions de français à se rendre dans les bureaux de vote, soit à se mélanger avec des personnes déjà infectées et sachant que les personnes votant le plus étaient les seniors, particulièrement fragiles à ce virus ?

Les élections municipales étaient singulières car pour la première fois les candidats de la majorité présidentielle n'hésitaient pas à cacher leur affiliation au parti La République En Marche, LaRem, afin de limiter les votes contestataires. Les accords d'alliance étaient nombreux et masqués avec les Républicains, le Modem et des listes Socialistes ou Écologistes. Les candidats de tous les partis politiques, au mépris de la Loi de 1905 sur la Laïcité, n'hésitaient pas à faire leur meeting depuis des lieux de culte aussi bien dans des églises, des mosquées que des synagogues. La fin de règne était omniprésente.

La Présidence de la République avait annoncé une allocution spéciale et les ballons d'essai donnés aux journalistes et quelques personnalités politiques connues pour être bavardes avaient permis de tester en temps réel la réaction au cas où l'article 16 de la constitution française serait activé pour reporter ces élections municipales, vectrices de la pandémie.

Au final, après discussions avec le Conseil Constitutionnel présidé par Laurent Fabius et les deux présidents de la chambre parlementaire et sénatoriale, Richard Ferrand et Gérard Larcher, Emmanuel Macron en raison de l'opposition de Laurent Fabius et Gérard Larcher ne pouvait activer l'article 16, les élections municipales ne seraient pas reportées, la pandémie allait se propager à un niveau jamais atteint, le nombre de morts serait exponentiel. Les élèves et étudiants étaient en liesse avec l'annonce de la fermeture des crèches, des écoles et des universités, leurs parents se demandaient comment les garder sans faire appel aux grands-parents, particulièrement fragiles en cas d'exposition à ce coronavirus numéro 19.


4 opposants au report des élections municipales :
Laurent Fabius, Président du Conseil Constitutionnel (PS),
Christian Jacob, Président des Républicains (LR),
François Baroin, Président de l'Association des Maires de France (LR),
Gérard Larcher, Président du Sénat (LR).

Alors bien sûr pour ces personnages cyniques de la politique obnubilés par leurs seuls avantages financiers et titres de pouvoir, il y avait de nombreux bénéfices, en tout cas, ces politiciens y croyaient. Aussi bien l'équilibre financier des caisses de retraites que le taux de chômage de la catégorie A allaient bénéficier d'une forte mortalité. Ainsi, les politiciens pourraient avec leur sourire carnassier se féliciter d'un bilan économique favorable, en tout cas l'espéraient-ils.

La réalité avait été autre, les français n'avaient pas pardonné la mort de leurs compatriotes, le vase était déjà plein, c'était la goutte de sang de trop. La France était connue pour sa pratique du régicide et les méprisants du pouvoir politique ne connaissaient que cette seule réponse du peuple, ils étaient incapables d'apprendre, incapables d'être dignes. Ils n'auraient pas une fin honorable. Ainsi, était l'Histoire de France peu avant sa chute. 

Les féministes françaises, ces idiotes utiles des Islamistes auraient leur révolution en voyant leurs crédits et subventions supprimés, leurs discours et thèses sectaires seraient remisés au rayon des sectes néo-créationnistes, c'était l'un des bilans positifs de ce bain de sang avec la chute spectaculaire de la pollution humaine à l'échelle mondiale. Les enfants français seraient enfin protégés et non plus violentés par ces groupes féministes et la Fondation de la Femme, la raison et la Science allaient pouvoir refaire leur apparition dans l'espace public pour une réelle égalité des droits et une réelle protection de l'Enfance au lieu de cette promotion d'un identitarisme des plus obscurantistes.
La secrétaire d’État à l'égalité Homme-Femme, Marlène Schiappa, n'aurait plus à répandre ses mythes et mensonges quand elle pleurait face au Président de la République. Il était prouvé par les sciences que les femmes étaient plus vulnérables face au stress que les hommes, ils ne pleuraient pas quand on leur signifiait qu'ils avaient dépassé leur temps de parole, ils apprenaient à être plus compétents et non recouraient au chantage affectif.
 
Dans chaque malheur, il y a du bon à prendre et à apprendre. Quand 2 + 2 = 4 tout peut survivre. Quand 2 + 2 = 5 les illusions ne durent qu'un temps.

#InOdinWebTrust : Danse macabre

Les idéaux politiques doivent reposer sur ceux de la vie individuelle. […] Les hommes politiques ne doivent rien prendre en considération qui soit extérieur ou supérieur aux hommes, aux femmes et aux enfants qui, dans leur diversité, composent le monde. […] Pour autant que cela soit au pouvoir d’un être humain, sa vie réalisera ses meilleures potentialités si elle contient trois choses : des impulsions créatrices et non possessives, de l’égard (reverence) pour les autres, et du respect pour l’impulsion fondamentale qui est en soi. Les institutions politiques doivent être jugées selon le bien ou le mal qu’elles font aux individus. Est-ce qu’elles encouragent la créativité et non la possessivité ? Est-ce qu’elles intègrent ou favorisent une attitude d’égard mutuel entre les humains ? Est-ce qu’elles préservent le respect de soi ?
Bertrand Russel, L'Idéal Politique


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