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27 nov. 2019

La démocratie française à l'épreuve du Feminisme, du LGBTisme et de l'Islamisme.

Tout système humain est constitué d'acteurs aux stratégies interdépendantes des règles du jeu implicites et explicites de la société. Chaque acteur est convaincu d'agir avec rationalité alors que cette dernière est toujours limitée et bien plus biaisée qu'il ne le croit. Et dans la temporalité de son analyse et de ses actions militantes, chaque groupe associatif diffuse auprès des siens, ses stéréotypes et croyances limitantes, leur vie ne se résumant plus qu'à une prophétie auto-réalisatrice. Restera à déterminer pour ces militants associatifs, s'ils sont dans un jeu à somme nulle ou prisonniers éternels de leur dilemme ?
Agent M Niveau 9



Le Grenelle des Violences Conjugales vient de se terminer et proposer toute une série de mesures censées apporter plus de justice et de paix dans la société française.

Sur le site du gouvernement français est publié le 25 novembre 2019 : 30 mesures pour combattre les violences faites aux femmes. Nous pouvons noter un premier tropisme évident : les violences conjugales seraient le fait des hommes, les femmes ne seraient que des victimes.

Or, ce tropisme fait fi de la réalité française où si une femme meurt tous les 3 jours, cela ne signifie pas qu'elle était victime et c'est oublier qu'un homme meurt tous les 13 jours, ce qui ne signifie pas non plus qu'il était victime.
Quand deux personnes décident de se battre ou quand l'une décide de battre l'autre, la personne tuée pouvait être l'agresseur, seule l'étude des personnes et de leur situation conjugale permettra d'identifier la victime et les parts de responsabilité au lieu de se baser sur la conséquence d'une mort pour identifier la victime. Le concept de légitime défense n'aurait pas lieu d'être, les tribunaux ne serviraient plus à rien, les vivants seraient toujours les agresseurs et devraient être condamnés.

L'outil pour mesurer les violences conjugales est l'échelle des tactiques de conflit développé par Straus. Les études montrent une prévalence identique chez les femmes et les hommes concernant la violence conjugale. Face à ces résultats mettant en cause le discours féministe, ces dernières ont mis en avant que si les femmes étaient autant violentes que les hommes, ce n'était pas de la violence mais de la légitime défense. Le principe de responsabilité est un phénomène inconnu chez les féministes.
Alors que d'autres études canadiennes et américaines montrent une surviolence au sein des couples de femmes et une moindre violence au sein des couples d'hommes.
Au travers de cette introduction, nous constatons bien que la lutte contre les violences est plus complexe que l'analyse proposée par les féministes.

Selon le site du gouvernement français, la première mesure serait de :

Eduquer à la non-violence et à l’égalité entre les filles et les garçons


  • Mise en place d’un module de formation initiale et continue rendu obligatoire sur l’égalité à destination des personnels de l’Education nationale (enseignants, personnels d’éducation, cadres etc.) ;
  • création d’une culture de prévention et de sensibilisation auprès des élèves ;
  • diffusion dans tous les établissements d’un document unique de signalement et un guide réflexe à destination des personnels des établissements ;
  • mise en place d’un module obligatoire sur la prévention des violences conjugales dans le cadre du service national universel.
En France, le personnel de l’Éducation Nationale est majoritairement féminin, ce qui pourrait faire croire que sans ces modules de formation, les enseignantes participaient déjà à instruire les élèves sur la notion d'égalité qui fait partie également de la devise française : Liberté -  Égalité - Fraternité.

Or, que constatons-nous ?
A comportement égal de violences verbales ou physiques, la réponse de l'institution scolaire n'est pas la même. Elle est majoritairement plus clémente avec les filles violentes qu'avec les garçons violents. Les garçons violents peuvent être exclus de l'établissement scolaire quand c'est une pratique marginale lorsqu'une fille est à l'origine des violences. Une différence de traitement institutionnel.
Si la presse française se fait souvent l'écho des violences à l'école, c'est majoritairement quand une fille se suicide ou qu'elle est violentée et non quand un garçon se suicide ou est harcelé. Pourtant les garçons se suicident bien plus que les filles à cet âge-là. Une différence de traitement médiatique.

Autre mesure issue du Grenelle :

Protéger les victimes dès le dépôt de plainte


  • D'ici 2021, création de 80 postes supplémentaires d’intervenants sociaux dans les commissariats et gendarmeries bénéficiant d’un financement de l’Etat ;
  • distribution d’un document d’information à toute victime se rendant dans un commissariat ou une gendarmerie ;
  • instauration d’un parcours renforcé de formation initiale et continue à l’accueil des femmes victimes de violences conjugales pour les policiers et les gendarmes.
Aucune structure n'existe pour les hommes victimes de violences en France à ce jour et le Grenelle ne prévoit pas l'ouverture de structures d'accueil quand elles existent pour les femmes ou les homosexuels. Une différence de traitement institutionnel, médiatique et associatif.

Pour rappel selon la constitution française :

Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.

Il n'est pas indiqué, précisé dans ce préambule de la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen que les femmes doivent bénéficier d'un traitement différencié par les moyens de l'Etat. Sauf à considérer qu'elles ne sont pas égales en droits et devoirs par rapport aux hommes de par leur nature de femme.

Au travers de cet autre exemple, nous montrons que la démocratie française bascule d'un état de droit universel à un état de droit selon le sexe du citoyen de la même manière que les théocraties musulmanes distinguent les droits des femmes et des hommes.
Si les média français ont tendance à mettre en bouc-émissaire les réseaux sociaux pour expliquer qu'ils saperaient les fondements de la démocratie française, cela signifie simplement que les experts sollicités ont la croyance que sans Internet et ses réseaux associés, la société française était vertueuse et lumineuse.
Cette croyance dans le socio-constructivisme de l'Internet qui apporte sa part d'éclairage mais ne permet pas de voir la globalité de la situation qui est bien plus vitale avec les apports de la biologie et des sciences cognitives associées permettant de comprendre que l'Homme est toujours en équilibre entre sa nature et sa transcendance, entre sa nature animale et sa capacité d'évolution.

Si nous précisons cela c'est en raison de la croyance dans deux phénomènes qui sont partagés par le Féminisme, le LGBTisme et l'Islamisme : la menace du stéréotype et la performativité du discours, ces deux phénomènes qui expliquent pourquoi le Grenelle des Violences Conjugales a sombré dans le Grenelle des Violences faites aux femmes hétérosexuelles oubliant que les hommes meurent toujours davantage que les femmes en cas de guerre et au travail et ils meurent toujours plus tôt que ces dernières dans la société française, oubliant que les couples lesbiens sont ceux qui connaissent le plus de violences conjugales d'après la CDC, l'équivalent de l'Insee au Canada.

La croyance dans la menace du stéréotype et de la performativité du discours tient essentiellement aux travaux des socio-constructivistes dont les études sont pour une part significative d'entre elles non reproductibles en raison des biais idéologiques et de sélection des chercheurs et d'une surinterprétation des conclusions des dites études et d'autre part, dans le refus d'un débat scientifique par des actions de censure au sein même des universités et d'un  déni du réel par un choix de certains faits corroborant leur idéologie.
Ces actions de censure et ce déni du réel étant pilotés par la peur des socio-constructivistes à voir leurs thèses être réfutées par la biologie et des conclusions qui pourraient être instrumentalisées par des partis politiques ou groupes religieux. Ils préfèrent croire en leur dogmatisme qu'en la vérité oubliant que la vérité finit toujours par triompher.

Autre mesure du Grenelle :

Protéger la mère et ses enfants en limitant l’exercice de son autorité parentale par le père violent


  • Possibilité pour le juge pénal de suspendre ou d’aménager l’exercice de l’autorité parentale
     
  • Suspension de plein droit de l’autorité parentale en cas de féminicide dès la phase d’enquête ou d’instruction
 En France, 70% des infanticides sont commis par la mère pour les enfants de moins de 5 ans et ce pourcentage augmente à 90% pour les enfants de moins d'un an. C'est-à-dire, qu'en France, les mères tuent leurs enfants bien davantage que les pères. Par ailleurs, dans les cas d'infanticides et d'enlèvement ou séquestration d'enfants, la justice française est toujours bien plus clémente avec les mères qu'avec les pères.
Dernier exemple en date, une femme ayant enlevé et séquestré son enfant pendant 6 ans, est ressortie libre du tribunal. Dans la même situation, un homme aurait d'une part fait la Une des journaux français et d'autre part, aurait été condamné à une longue peine de prison ferme.



Nous pouvons affirmer que la France est passée d'une démocratie de la raison à une démocratie de l'attention et de l'indignation avec toutes les complications que cela va générer pour chaque citoyen à devoir évoluer dans ce brouillard informationnel et communicationnel. Une surcharge cognitive l'handicapant dans son quotidien et pour son avenir.

Nous pouvons l'observer sur l'étude des différences des cerveaux Homme - Femme, l'étude des violences globales ou l'invention de nouveaux mythes comme les féminicides, la culture du viol, l'emprise masculine, l'appropriation culturelle, la culture de l'identité de genre, l'islamophobie et dans certains débats entre les  militants sectaires d'associations LGBT  avec les personnes homosexuelles et hétérosexuelles où chaque fois est fait fi de la raison et de la biologie au profit d'un discours qui n'est que propagande et/ou infox identiques au discours des religieux radicaux.
Souvent issus des classes supérieures éduquées comme peut l'être une Caroline de Haas, leur expertise ne repose que sur leur maîtrise de la rhétorique pour concevoir des propagandes quant à leur représentation du monde où elles ne font qu'exposer face à l'épreuve du réel, leur hubris de dictateur.

Dans les prochaines parties, nous aborderons les sujets du LGBTisme et de l'Islamisme face à la démocratie française.


25 nov. 2019

Le Grenelle des Violences Conjugales de Marlène Schiappa crée les premières lois sexistes en France. Bravo les féministes.




Que pouvaient attendre les français d'une blogueuse expliquant que les rondes sucent mieux que les autres en devenant ministre de l'égalité homme-femme ? Que les femmes minces apprennent à mieux sucer ?

Nous avons décidé d'être taquins sur un sujet aussi grave car devant une telle défaite de la raison française vaut mieux en rire.

Soyons sérieux, des personnes meurent chaque jour en France en raison de la violence. 

Les enfants d'abord tués par les mères dans 70 % des cas quand ils ont moins de 5 ans et dans 90% des cas par les mères encore pour les enfants de moins d'un an. Et quelle est la réponse française ? Des peines avec sursis parfois 5 ans de prison de ferme, les peines les plus lourdes, jusqu'à 25 ans de prison fermes sont prononcées quand c'est le père et uniquement lui qui commet un infanticide.

 

Ensuite le sujet des violences conjugales entre adultes consentants.

Les études sur le sujet depuis les années 70 jusqu'à ce jour se ressemblent et sont identiques dans leurs conclusions. Autant d'hommes que de femmes tombent dans les violences conjugales. De l'étude Steinmetz en 1970, Amdt en 1982, Walker et Brown en 1985, Ferraro et Johnson en 1983, Marshall en 1992, Lye et Biblarz en 1993, Archer en 2000, Addis et Mahalik en 2003, Miller et White en 2003, Galdas et al en 2005, Sweeney en 2007 toutes font le même constat, il n'y a pas de prédominance d'un sexe sur l'autre concernant les violences conjugales.

Ensuite, étant donné la différence de force physique entre les hommes et les femmes, ce terrible constat : une femme meurt tous les 3 jours, un homme meurt tous les 13 jours des suites des violences conjugales.

Marlène Schiappa ne peut pas lire toutes ces études sur les violences quand son sujet de préoccupation est de savoir si les femmes rondes ou minces sucent mieux. La compétition infra-sexuelle ou la lutte contre les violences, elle a fait son choix.

Le couple, ce lieu qui peut devenir un lieu maudit pour les uns et les autres surtout en cas de divorce, la garde des enfants étant confiée très majoritairement aux femmes comme si la justice estimait que les hommes ne sont pas capables de les élever. Pourtant comme écrit, les enfants sont bien davantage tués par leur mère sans oublier non plus la prédominance de problèmes de santé mentale chez les femmes célibataires et les probabilités plus importantes pour les enfants d'être en échec scolaire et de basculer dans la délinquance comme l'ont démontré les études aux USA, en Suède et au Royaume-Uni comme nous l'avions développé dans l'article sur PMA / GPA l'enfant paie le prix fort.

Les mesures du Grenelle des violences conjugales proposent des lieux pour les hommes auteurs de violences et des refuges pour les femmes violentées. Le seul problème à ces mesures sexistes est d'une part qu'il n'existe aucun refuge pour les hommes violentés et violés et aucun centre pour les femmes auteures de violences. Voilà comment la France crée les premières lois sexistes, c'est beau la misandrie.

Par ailleurs dans les couples lesbiens, les violences sont plus importantes que dans les couples hétérosexuels et homosexuels d'hommes. La France a-t-elle prévu des centres pour les lesbiennes violentes ? Les lesbiennes violées et violentées par d'autres lesbiennes sont donc discriminées par ce Grenelle des violences conjugales. Encore plus beau l'homophobie.

Inutile de passer davantage au crible les mesures de la ministre Marlène Schiappa, sa politique ne fera que renforcer le sentiment d'injustice et générera encore plus de violences. Voilà ce qui se passe quand l'émotion prime sur la raison et les sciences. L'obscurantisme avance avec son lot de violences.


 

L'angle d'approche des violences conjugales et la manière d'y remédier par Marlène Schiappa et les associations féministes souffre des mêmes débats, angles morts ignorés et dogmatismes mortifères que les débats entre l'anthropologue Napoleon Chagnon et le journaliste dogmatique Patrick Thierney. A savoir que la réalité décrite par Napoléon Chagnon remettant en cause les dogmes de Patrick Thierney, ce dernier ira falsifier des rapports, créer un réseau pour disqualifier Napoléon Chagnon tant la vérité ne lui plaisait pas. Les "sauvages" n'étaient pas nécessairement bons, les femmes ne sont pas nécessairement des victimes mais la victimisation offre tellement d'avantages, pourquoi s'en priver ?

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16 nov. 2019

La féministe Delphine Ernotte fait de France Télévision, le premier média d'état raciste de France.



C'est par un simple tweet que la présidente du groupe France Télévision, Delphine Ernotte a fait de France Télévision, le premier média d'état raciste en France.
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Cette féministe qui avait déjà déclaré vouloir éliminer "le mâle blanc de plus de 50 ans" des chaînes de télévision. Cette précédente diatribe contre l'altérité était-elle la conséquence de sa nomination et du prix à payer pour être nommée par des mâles blancs en dehors des règles habituelles de sélection ? Nous ne le savons pas.
"La science suppose l'utilisation d'une terminologie réfléchie, précise, qui ne laisse place à aucune ambiguïté. L'idéologie suppose au contraire l'utilisation de termes insensés, vagues, équivoques. La terminologie scientifique n'a pas besoin d'être analysée, interprétée. La phraséologie idéologique doit-être commentée, comparée, repensée. Les affirmations scientifiques supposent qu'on puisse à tout moment les confirmer, les réfuter, voire même dans le cas extrêmes, reconnaître leur caractère insoluble. L'absurdité des propositions idéologiques fait qu'on ne peut ni les réfuter ni les confirmer."
Pensée idéologique et pensée scientifique - Alexandre Zinoviev
Il était une fois la discrimination positive

Les États-Unis ont mené une politique des quotas, dite discrimination positive, qui est toujours une forme de discrimination, dans leurs universités. Ainsi, les personnes, selon leur couleur de peau, disposaient d'un bonus ou d'un malus à leurs notes d'examen d'entrée. Les asiatiques se voyaient ainsi pénalisés par rapport aux noirs et aux hispaniques. Cette notation, cette cotation a fait que les meilleurs n'étaient plus recrutés mais que le recrutement se faisait en fonction de la couleur de peau et de quotas.
Cette façon de faire tient à l'idéologie raciste de la société reflet. Comme les USA pratiquent les statistiques ethniques, si dans la population, il y a 15 % de noirs, à l'université, il doit y avoir, indépendamment de leur niveau, 15% d'étudiants noirs. Peu importe le désir de chacun, peu importe l'effort, la seule couleur de peau suffit pour être déclaré compétent, soit une essentialisation, le précurseur de la pensée raciste. Cette idéologie assigne à résidence d'une part et cause plus d'effets pervers que bénéfiques. Pourquoi travailler quand la couleur de peau permet d'avoir le concours ?



Détour sur le concept de performativité 

Le philosophe du langage américain John Searle, dans La Construction de la réalité sociale, sorti en 1995, affirme de façon généralisée que les actes de langage fabriquent les réalités sociales, distinctes des réalités naturelles (physiques, etc.), et sur lesquelles reposent des institutions (religieuses, civiles) et des conventions (jeux). Pour Searle, le performatif n’est que la façade linguistique de quelque chose de plus profond : la construction des réalités sociales. Cette façade linguistique peut être interprétée à la manière dont Guillaume Courty envisage le langage, c’est-à-dire en tant que cadres des connaissances.
Cet auteur se réfère alors à Peter L. Berger et Thomas Luckmann quand ils affirment que « tout corps de connaissances en vient à être socialement établi en tant que réalité ». Ces deux auteurs envisagent et prônent une sociologie dont le langage ne doit pas légitimer l’ordre existant.
Toute réalité sociale repose sur des actes performatifs et des « croyances partagées », c’est-à-dire, les représentations collectives qui façonnent nos manières de penser à l’échelle individuelle, et ce, souvent inconsciemment. Ainsi les idées, la pensée sont contrôlées par le contexte social et culturel, et en sont partiellement dépendantes. Et c’est un des fondements de la sociologie de la connaissance selon Peter L Berger. En effet, celle-ci « rejette l’idée fausse selon laquelle la pensée se produit indépendamment du contexte social dans lequel des hommes particuliers pensent des choses particulières ».
Or deux exemples pour contredire cette théorie :
1 - La Terre est ronde et non plate : D'Aristote à Gallilé, de la Terre Ronde à l'héliocentrisme. Une expérience de pensée faisant fi de l'environnement social et de son mode de construction de la pensée viable.
2 - La théorie de la relativité d'Einstein au début du 20e siècle. Penser l'univers quand l'homme n'avait jamais été dans l'espace à partir non pas des données aucun satellite pour accréditer par les données la théorie d'Einstein mais de la seule logique.
Ces deux exemples mettent en échec la performativité notamment de Judith Bulter et sa théorie littéraire du genre à laquelle adhère la féministe Delphine Ernotte comme les salafistes adhèrent aux préceptes coraniques littéralement. Or, ce qui est vrai est toujours démontrable ! #CQFD

Les 3 petits cochons

Pour en revenir à la déclaration de Delphine Ernotte, il faut que les fictions françaises soient en conformité avec la réalité ethnico-religieuse française. Ce qui signifie pour être en cohérence avec les propos et l'idéologie de la féministe Delphine Ernotte que les jeunes acteurs maghrébins devront incarner à hauteur de 30% des rôles de jeunes radicalisés luttant contre la France - Cf le rapport Montaigne sur les jeunes musulmans, l'Islam et la République. Ils devront avoir des rôles où ils clament que la charia est supérieure aux lois de la République. Quant aux transsexuels, si l'on se base sur la mise en avant de l'humoriste transsexuel Ocean par une des chaînes de France Télévision Slash qui est connu pour son antisionisme radical elle défend Houria Bouteldja qui propose d'envoyer au goulag les sionistes - quid des théocraties musulmanes et du goulag  et relativise la Shoah, cela signifierait que tous les transsexuels sont comme cette personne, des êtres obsédés par Israël et les juifs. Les jeunes actrices noires devront pour une partie d'entre elles avoir des rôles où elles expliqueront pourquoi l'excision est une tradition culturelle à respecter par les féministes blanches. Etc...
Enfin pour conclure sur la déclaration et la volonté politique discriminante de Delphine Ernotte, l'écriture inclusive devrait être développée, indépendamment que cette typographie discrimine les aveugles, les mal voyants et les populations "Dys", soit les handicapés représentant 10 millions de personnes, un détail.


A titre d'exemple, la France pratique déjà la discrimination positive à l'égard de la population handicapée. Ainsi, 6% des postes sont censés leur être réservés. Ce que nous observons, grâce à l'ancienneté de cette mesure est que le sort des handicapés n'a pas changé d'une part mais surtout qu'il y a encore plus de discriminations avec cette loi, puisque les handicapés les plus légers et nécessitant le moins d'aménagement de poste seront privilégiés. Le système n'étant pas changé, les pansements ne font que masquer le désarroi croissant des handicapés. Des logements à 10% adaptés à leur situation, aux modes de transport discriminants, etc...Sans oublier l'impact psychologique pour l'individu qui sait qu'il a été recruté car handicapé et non car compétent, le renforçant ainsi dans sa différence, son ipséité au détriment de son idem. Si l'idée de démocratie liquide est en acceptation, l'idée de ghetto liquide est son pendant oublié avec les lois de discrimination dite positive.

Mais le fantasme de la diversité cher à la féministe blanche Delphine Ernotte sera réalité, elle pourra enfin se faire plaisir, peu importe le racisme de sa politique. Elle se croit dans le camps du bien comme tous les discriminants avant elle. Nous savons tous comment ces gens là sont jugés par l'Histoire des Humanistes Universalistes, c'est son choix de féministe, l'Histoire remettra ses choix dans les Droits de l'Homme à leur juste place : la télé-poubelle raciste !


2 nov. 2019

La gauche française va-t-elle réussir à tuer le mouvement des Gilets Jaunes ?




Montpellier a été le lieu de réunion de 600 Gilets Jaunes lors de la 4eme assemblée des assemblées dixit les organisateurs. L'objectif officiel serait de déterminer l'avenir du mouvement. Nous écrivons officiel car les débats sont menés de la même manière que les fameuses  #NuitsDebout lors de la loi travail en 2016 où les organisations d'extrême-gauche et les associations racistes et islamistes avaient gangrenées ces réunions avec leurs revendications identitaires sous couvert de démocratisation. Elles s'étaient appuyées sur une colère légitime pour la remplacer par leur agenda.

Cette centralisation des débats qui va à l'encontre de l'intelligence collective et connective des Gilets Jaunes et de leur diversité n'a comme seul résultat possible, une dérive politique de cette expression populaire au profit de la gauche française vampirisée par les islamistes et les indigénistes racistes.

Les Gilets Jaunes participant à cette assemblée sont-ils conscients de leur instrumentalisation par des personnels d'associations financées par des fonds étrangers ?


Pourtant l'analyse de la structure de pensée de cette assemblée est sans équivoque. C'est le mode de fonctionnement des universités populaires de la gauche française qui ne peut que servir les intérêts d'une minorité se pensant intelligente et éclairante devant dresser les pauvres avec le résultat qu'on connaît aux Nuits Debout et à la gauche française : un désastre social et une montée du racisme sans précédent.
En complément, l'analyse du député France Insoumise François Ruffin : « Le grand souci, c’est le divorce entre ces deux cœurs sociologiques de la gauche : les « profs » et les « prolos ».
Analyse qui démontre sa faillite intellectuelle. Les professeurs qu'il vante sont recrutés avec des 3.5/20, les "prolos" ont des bac +3/+5.
Quand les plus mauvais veulent expliquer aux autres qu'ils ne comprennent rien, c'est cocasse, c'est la prétention de la gauche française. Les parents peuvent constater chaque jour, l'inutilité des professeurs français puisque les élèves ne savent plus lire, écrire ou compter.
Le député François Ruffin illustre à merveille l'amalgame que fait la gauche française entre le savant et le politique, entre l'exactitude et la vérité. Pour lui, les "profs" seraient les savants et les "prolos" des acteurs politiques à canaliser.
Or, comme écrit, avec 3.5/20 pour être admis au concours pour être professeur en France et son corollaire, le statut de savant associé; l'exactitude et la vérité font place aux croyances les plus diverses comme, à titre d'exemple symbolique : La théorie littéraire du genre qui n'a aucune base scientifique mais dont les implications politiques sont nombreuses et désastreuses.

Au jeu des prédictions, nous pouvons affirmer que cette n-ième tentative de hold-up de cette gauche française cadavérique ne fonctionnera pas mais elle permettra de neutraliser une partie des revendications populaires et légitimes des Gilets Jaunes. Nous ne croyons pas à une "insurrection" en France, ni au mythe de la guerre civile venant, les citoyens  français manquent trop de courage, ils ne votent même plus. En revanche, la société française est entrain d'imploser à bas bruit en raison des mouvements de Féminisme, LGBTisme et Islamisme qui ont en commun la haine de l'autre et des sciences. La France est 51e dans le classement des pays où les touristes peuvent se déplacer sans danger. #Odin Et la vague d'attentats qui va survenir fin 2019 / début 2020 ne va pas améliorer les choses mais augmenter la peur des français



A noter Jérôme Rodriguez, une des figures médiatiques des Gilets Jaunes a signé un appel à manifestation contre "l'islamophobie" lancée Madjid Messaoudene et relayée par Taha Bouhafs.
En France, en 2018 :
100 actes anti-musulmans
1 063 actes anti-chrétiens
541 actes antisémites.

La réaction de Madjid Messaoudene lors de l'attaque de Mohamed Merah sur une école juive :

La réaction de Taha Bouhafs sur Charlie Hebdo :

27 oct. 2019

Gilets Jaunes : Mairir ou Périr ?

Les Gilets Jaunes ont marché pour la 50ème fois #Acte50


Des premières manifestations, des premiers ronds-points, des éditorialistes, des journalistes, des anciens ou des nouveaux ministres et même des sites dont l'objet est de lutter contre les théories complotistes comme Conspiracy Watch n'ont cessé de vilipender ce peuple des Gilets Jaunes. Ils ont été traités de tous les noms, la présidence Macron ne les mentionne pas comme Gilets Jaunes mais la foule haineuse, ils seraient des séditieux. Tant de haine, bien plus que pour les islamistes ou les Frères Musulmans chers à Macron ne peut qu'interroger.


Cette révolte populaire qui est la même que celles que nous pouvons observer au Liban, au Chili, et encore ailleurs même si chaque manifestation a ses caractéristiques propres, son histoire singulière, elle a aussi des élèments en commun, cette même demande : Vivre dignement de son travail dans un contexte où la richesse des milliardaires et des millionnaires ne fait que s’accroître en pleine urgence climatique.

Ces manifestations mondiales des Gilets Jaunes présentent aussi la particularité de transcender les identités frictionnelles. Au Liban, toutes les communautés religieuses disparaissent pour laisser apparaître une seule identité celle du citoyen libanais. Au Chili, salariés de droite comme de gauche s'unissent pour réclamer de meilleures conditions de vie. En France, les Gilets Jaunes ne peuvent pas être définis par des croyances religieuses, politiques ou syndicales, tous sont de tous les horizons.

Avec la présidence Macron dont le livre Révolution représentait son œuvre et la Start-Up Nation aurait été sa maîtrise d'ouvrage, le citoyen français n'avait plus qu'une possibilité : Fonctionner à défaut de pouvoir exister et peu importe les souffrances engendrées par le verbe et les actions de la présidence Macron


La décision de fermer une maternité sous couvert d’efficacité économique devient plus réelle que la réalité d’accoucher. Il s'agit là d'un intégrisme qui ne dit pas son nom sous couvert de pragmatisme Macronien, d'algorithmes économiques qui font qu'à nouveau des femmes accouchent dans la rue faute d'une maternité à bonne distance.

Les français ne peuvent contrôler les programmes économiques dont ils font l'objet, tout se décide à Bruxelles. Les régulations sont faites par l'Assemblée Nationale et le Sénat.
Le système français fait qu'au 21e siècle, un homme comme Macron peut être élu Président de la France par moins de 20% des électeurs en âge de voter et les députés seront du parti de l'homme élu par le jeu des élections. Ce qui a été le cas avec les députés LaRem qui ont été élus car bénéficiant de l'étiquette LaRem. Sans elle, ils seraient restés dans l'anonymat le plus complet. Une chèvre étiquetée LaRem aurait pu être élue. 
Ainsi l'Assemblée Nationale française a tout des chambres de compensation du Luxembourg telles que présentés par les Lux Leaks. Reste le Sénat et son scrutin particulier.

La présidence Macron n'a que la solidité que les français veulent bien lui accorder alors qu'elle ne repose que sur un jeu de Mikado.


L'idée du fonctionnement du citoyen français dans l'idéologie de la présidence Macron repose sur l'innovation technologique au détriment du lien social, du sens et de l'appréhension existentielle de l'existence spécifique aux français.


Cette idée du fonctionnement tente de s'appuyer sur la rationalité que les communicants de la présidence Macron nomment pragmatisme. Soit une notion qui s'ancrerait dans le réel. Or, pas besoin d'un QI développé pour observer l'augmentation de la pauvreté et du nombre de suicides des français et comprendre que le fameux pragmatisme tant vanté ne conduit qu'à l'échec d'une majorité pour le bénéfice d'une minorité. 
Au-delà de ces questions économiques et sociales, nous pouvons observer le même phénomène avec le communautarisme religieux où pour le bien-être d'une minorité radicale musulmane, la presse française et les politiciens oublient la majorité musulmane qui par effet d'association doit supporter des préjugés à son encontre.
Ainsi, la présidence Macron souhaite que les Frères Musulmans et associés prennent la tête des associations du culte musulman en France alors que des femmes maghrébines musulmanes ou non dénoncent déjà les pressions qu'elles ont à devoir porter le voile islamique dans leur quartier au nom de la pudeur.

Les élites et pas uniquement les françaises ne cessent d'expliquer à leur peuple qu'ils ne sont pas assez intelligents pour comprendre la complexité du monde. Le peuple a parfaitement compris que si la Terre était devenue une poubelle, l'intelligence des élites n'était pas étrangère à ce bilan. Cette non -maitrise de l'évolution du monde est le fait des élites et non du peuple écoutant béatement les intelligences en marche et aux responsabilités. Les élites sont bien responsables et coupables.

Les Gilets Jaunes avec leurs ronds-points nous font penser aux écoles sole où l'intelligence et le génie de chacun se révèle à l'individu et aux autres, où les solutions apparaissent et sont le fruit de l'intelligence collective et connective et non d'une intelligence artificielle ou d'un programme informatique qui sont toujours incapables de reconnaitre la bonne émotion d'une personne et le sens des actions et de l'existence.

 

Les municipales 2020 ? Mairir ou Périr



Si la Présidence Macron a besoin des municipales pour continuer de faire fonctionner le citoyen français à défaut de lui permettre d'exister, où chaque citoyen de la société de la vigilance devient un sujet d'évaluations permanentes et harcelantes, où chacun doit se recouvrir d'un exosquelette de la bienpensance afin de garantir son intégration sociale dans un monde sans prise avec la réalité humaine, quelles solutions s'offrent aux Gilets Jaunes ?

Pour être un maire en France, il n'est pas nécessaire d'avoir un casier judiciaire vierge contrairement aux fonctionnaires de la Mairie. 

S'il venait à l'idée des Gilets Jaunes de partir à l'assaut des mairies, nous ne leur donnerions qu'un seul conseil, celui d'exiger des listes de personnes avec des casiers vierges. 
Pour le reste, nous faisons confiance à l'intelligence des ronds-points pour trouver les solutions à mettre en œuvre et peu importe le sujet. 5 ignorants réunis autour d'un ordinateur trouveront toujours de meilleures solutions que des experts qui ne savent raisonner qu'en fonction du passé et non du présent, c'est la Science qui le dit, n'en déplaisent aux éditorialistes français qui ne font que creuser la tombe de la France.

Dans un monde nécessairement plus frugal, la question de distinguer les technologies selon les projets qu’elles portent, les valeurs qu’elles induisent, les sociétés qu’elles dessinent risque de devenir un enjeu plus pressant que jamais. Pas sûr pourtant que nous soyons facilement d’accord sur les valeurs, les enjeux et les modèles de société qui s’y projettent.  

D'abord la Mairie !
Municipales 2020 avec les Gilets Jaunes.



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24 oct. 2019

PMA / GPA : L'université Bordeaux Montaigne coupe sa filiation avec l'esprit des lumières



Comme nous l'avons déjà écrit, il n'y a pas de débat sur la PMA / GPA en France, il y a une fabrique du consentement pour légaliser la marchandisation des corps et promouvoir l'eugénisme à grande échelle. Cela peut se comprendre quand la concentration de sperme chez des hommes vivants aux États-Unis, en Europe, en Australie et en Nouvelle-Zélande a diminuée de 59,3% entre 1973 et 2011. Les européens deviennent infertiles, la technique les sauvera-t-elle ?

A l'université Bordeaux Montaigne, des "groupes" on sait lesquels, on réussit par leurs menaces violentes à faire censurer une conférence. Ces mêmes "groupes" qui se plaignent d'être discriminés sans hasard. Comme nous l'avons déjà écrit, ces "groupes" sont aujourd'hui des générateurs de violences qu'ils subissent d'où notre indifférence à leur sort.

La prochaine conférence Montaigne prévue le jeudi 24 octobre 2019 n’aura pas lieu.

"Sylviane Agacinski, invitée dès le mois de mai dernier, avait choisi d’évoquer "l’être humain à l’époque de sa reproductibilité technique". Ses réflexions portent sur les marchés du corps humain en général (sang, cellules, organes, grossesses).
Des groupes ont décidé d’empêcher la tenue d’un échange légitime et évidemment contradictoire sur ces questions d’ordre éthique et juridique dans le contexte des débats actuels sur la PMA et la GPA. Cette manifestation de censure est une atteinte excessivement grave et violente à la confrontation des idées à laquelle notre université est attachée. Empêcher la discussion au sein d’une communauté participe d’une dérive liberticide.
Ne pouvant assurer pleinement la sécurité des biens et des personnes ni les conditions d’un débat vif mais respectueux face à des menaces violentes, l’université a décidé d’annuler cette rencontre.
La gravité de cette entrave au débat démocratique ne saurait constituer ni fierté, ni victoire pour quiconque, mais une réelle indignation de tous ceux qui sont attachés à la richesse du dialogue, de l’échange pour comprendre la complexité de notre monde."

Les organisateurs des conférences Montaigne :
Béatrice Laville, Bernard Lachaise, Roger Billion, Élisabeth Bridet,
Marie Dinclaux, Linda Lawrance, Maïté Lachaise

 

Comprendre l'origine de cette censure violente par les mouvances LGBT d'extrême-gauche avec le cas de l'université d'Evergreen de l'état de Washington aux USA.

11 oct. 2019

PMA - GPA : Décodons les décodeurs du Monde


Quand on veut fausser un débat, il suffit de choisir des interlocuteurs qui vont dans le sens des croyances. 

Mettre en exergue Ciotti, la Manif pour tous permet d'axer sur les opposants à la PMA / GPA sont des homophobes. En rhétorique, cela s'appelle Ad Hominem et Ad Personam et permet d'occulter le propos, la personne étant disqualifiée.

Pourtant dans l'analyse des décodeurs, ils rappellent le contexte fortement homophobe dans les années 70 et les analyses étaient axées à savoir si les couples "fabriquaient" à leur tour des homosexuels. Elles n'étaient pas centrées sur le bien-être de l'enfant.

Les études actuelles aussi bien au Royaume-Uni (pays de la seule experte sur le sujet), aux USA ou en Suède, démontrent que les enfants de PMA Femmes Seules ont une moindre réussite scolaire et développent plus de troubles ainsi que des probabilités significatives de tomber dans la délinquance et la toxicomanie. 

Concernant la PMA / GPA de couples et peu importe que le couple soit hétéro ou homo, là encore les études actuelles montrent des difficultés pour les enfants. Aussi bien en raison de la méthode de procréation retenue, certaines comme la FIV ISCI créant plus de retard de développement que d'autres que part le fait que ce mode de procréation anxiogène par les traitements, les échecs et son faible taux de réussite (20% d'après les chiffres de l'inserm 2015) font que la psychologie et le comportemental des "parents d'intentions" sont différents et impactant négativement pour les enfants.

Et pour les violences sur enfants, l'étude Daly et Wilson montre que les parents non biologiques sont 12 fois plus violents que les parents biologiques.

Mais au delà des études existantes qui mettent en exergue des problèmes minimisés dans cette vidéo des décodeurs, vidéo qui fait l'impasse sur l'avis de l'Académie de Médecine qui précise un changement anthropologique majeur et les motivations de cet avis.

La PMA GPA favorise la manipulation biotechnique des capacités reproductives. En réalité, ces deux pratiques font partie d’une même logique vis-à-vis de la procréation : il s’agit de contourner les limites naturelles, quitte à éreinter le corps et à tomber dans le déni de notre condition, comme le prouvent les dérives du mouvement LGBT, grâce auquel une députée vient de proposer de supprimer, soit-disant à la faveur des personnes intersexuées et transgenres, la mention du sexe à l’état civil, car elle serait une donnée relative et « inutile » à observer.
Par ailleurs, les entreprises telles que Google proposent la congélation d'ovocytes des femmes durant leurs périodes de haute productivité puis de passer par une PMA plus tard y compris quand l'horloge biologique sera dépassée.
La PMA pour toutes ne pallie pas à une inégalité sociale, mais naturelle : la procréation seule ou entre personnes du même sexe est une impossibilité matérielle (ce qui rend le remboursement de la PMA par la Sécurité sociale aberrant).

Qu'en disent les enfants, devenus adultes à qui on a décidé de supprimer volontairement leur filiation biologique au profit d'une filiation fictive ?

Ils se regroupent en collectif pour exiger la fin de l'anonymat des donneurs (Pourtant à écouter les décodeurs du Monde tout irait bien dans le meilleur des mondes).
Ils témoignent de leur mal-être à ne pas connaitre leurs origines.
Et maintenant, ils font des procès à leurs parents d'intention pour obtenir une déchéance de parentalité et d'avoir un état civil conforme à la réalité biologique (Voir la décision de la CEDH en Janvier 2019).

Les décodeurs du Monde peuvent minimiser les inconvénients, taire la parole des concernés, ils ne décodent rien, ils participent à la fabrique du consentement telle que définit par Edward Bernays qui s'était appuyé sur les mouvements féministes pour mieux vendre des cigarettes.

Aujourd'hui, la fabrique du consentement au transhumanisme s'appuie sur les mouvements féministes et LGBT pour promouvoir une techno-reproduction où la sélection de certaines caractéristiques (Choix de la couleur des cheveux, de la couleur des yeux, du sexe de l'enfant, de son phénotype, de son groupe sanguin, de son niveau de QI avec suppression de maladies sont offerts sur catalogue suivant le porte monnaie des parents d'intention).


Quelques liens avec études sourcées et témoignages :

10 oct. 2019

La PMA n'est pas une victoire féministe mais une victoire de l'industrie de la techno-reproduction

Le site Racine Rouge tenu par Cécilia Lépine propose une analyse sur la PMA que nous vous invitons à découvrir.

Lors de la lecture de son texte, nous vous invitons à avoir en mémoire la fabrique du consentement d'Edward Bernays qui s'est servi des mouvements féministes, les suffragettes, pour vendre davantage de cigarettes.

Par ailleurs, nous mettons ici notre commentaire en ligne puisque Cecilia Lépine ne l'accepte pas, elle l'a supprimé. Les féministes n'aiment pas la contradiction, elles préfèrent la pensée en entre-soi comme tous les mouvements sectaires.
Mise à jour 21h33 : Notre commentaire est à nouveau en ligne sur le site de Racine Rouge..
Mise à jour 27/11/2019 16h 22 : Cette tendance que nous observons chez les féministes ne s'applique pas dans le cas spécifique à Cécilia Lépine. Notre premier commentaire fait suite à un quiproquo dû à une question technique de publication des commentaires.



La question de la PMA / GPA, est souvent posée dans le débat public et dans le débat des militants féministes et LGBT comme un débat entre conservateurs et progressistes. Cette manière de poser les cardinaux de ce débat la limite plus qu'autre chose à mon sens car il fait l'impasse sur l'Intérêt Supérieur de l'Enfant, il fait l'impasse sur l'avenir d'un humain, ce dernier, l'enfant étant réifié aussi bien comme réponse à un désir ou expression d'un besoin.

Le progrès tel qu'il est mis en débat met en exergue des technophiles et technophobes, simplement, là encore, ce binarisme, en fait oublier les subtilités. Cela revient à réfléchir par réductionnisme, l'humain ne se distingue plus alors de la machine qui ne pense qu'en 0 ou 1, en vrai et faux, en bien ou mal, etc...

A titre d'exemple, l'Art Pariétal et l'Art Numérique ne s'opposent pas, l'un n'est pas un progrès sur l'autre, chacun véhicule une idée de progrès. Mais chacun aussi amène à se poser la question : Prédire qu'est-ce que le progrès commence par définir le but de l'Histoire avec un H majuscule.

Le progrès notamment technique nous a permis d'améliorer la productivité, notamment au travail, et nous pouvons tous observer à quel point les progrès scientifiques et techniques se sont répandus dans toute la société au point que nous pouvons fabriquer du vivant.
La procréation médicale assistée a permis à des couples à la fertilité incertaine d'avoir des enfants, cette procréation agissait tel un médicament face à un problème de procréation. La technique s'est développée et d'une fécondation dite in vivo, nous sommes passés à une procréation Ex Utero ce qui a donné lieu à l'introduction d'un tiers (spermatozoïde, ovocyte ou embryon) avec une gestation aussi bien chez la génitrice biologique qu'une génitrice extérieure (le cas de la GPA).
La technique permet cela aujourd'hui et les méthodes de techno-reproduction se sont transformées en Assistance médicale Procréative. Cela a induit à un changement de paradigme avec l'émergence d'une fonction injonctive et performative. L'enfant a naître devait être un "bon enfant".
C'est-à-dire que les examens médicaux doivent (déontique) assurer aux futurs "parents" que l'enfant est sans handicap majeur (le cas de la trisomie 21 détectable avant l'implantation dans l'utérus et d'autres maladies identifiables par le dépistage pré-natale non invasif) mais également avec certaines caractéristiques (même phénotype, telle couleur de cheveux ou des yeux, tel groupe sanguin, tel sexe et maintenant tel niveau de QI). Nous sommes donc arrivés au seuil du transhumanisme et de la fabrication d'enfants dits parfaits grâce à la techno-reproduction.

Simplement, ce progrès technique et scientifique fait également l'impasse sur le progrès humain et des conditions de vie qui eux aussi composent ce concept de progrès.

Les études (Aux USA, en Suède et au Royaume-Uni) à ce jour permettent de savoir, par exemple, que les enfants de familles mono-parentales ont une moindre réussite scolaire, ont une probabilité de basculer dans la délinquance et la toxicomanie plus importante.
Par mono-parentale s'entend une famille où l'enfant est orphelin suite à un accident de la vie et maintenant suite à un choix délibéré et volontaire d'une femme, c'est le cas de la PMA femme célibataire. N'est pas considéré comme mono-parentales, des enfants qui seraient sous le régime de la garde alternée, ceux là, ont les mêmes chances de réussite que les enfants de familles non divorcées.

D'autres études, notamment celle de Daly et Wilson, éclairent sur l'Effet Cendrillon, à savoir que des parents non biologiques sont 12 fois plus violents que des parents biologiques. Ainsi dans une famille dite recomposée ou dans le cas d'une PMA de couples, on observe plus de violences de la part des parents sur leurs enfants non biologiques y compris quand le foyer est composé d'enfants biologiques et non biologiques.

L'étude Bowen faite sur 252 enfants montrent que les enfants fabriqués par la méthode FIV ISCI, privilégiée par l'Inserm, augmente le risque de retard dans le développement de l'enfant.

Une étude israélienne montre que les enfants issus de PMA / GPA ont des difficultés d’adaptation scolaire et les enfants eux-mêmes montrent plus d’agressivité et de sentiments anxieux et/ou dépressifs. Les plus problématiques sont des garçons et des enfants ayant des parents d’âge avancé.

Au travers de ces quelques études et il en existe encore d'autres, nous pouvons saisir les difficultés à venir sur les questions de progrès humains et de conditions de vie d'êtres en devenir.

A noter également, une différence entre Parents d'adoption, Tuteurs légaux et Parents d'intention.
Pour les enfants, il existe une différence bien que légalement rien ne distingue ces 3 dénominations.
Les pupilles de la Nation ont des tuteurs légaux, ils ne les reconnaissent pas comme parents.
Les orphelins adoptés distinguent les parents d'adoption des parents biologiques et nous pouvons observer que les parents d'adoption sont souvent accompagnateurs de leurs enfants quand ceux ci sont en recherche de leurs parents biologiques.
Les parents d'intention PMA GPA ont eux davantage tendance à expliquer qu'ils sont les seuls réels parents ce qui à l'adolescence peut créer différents conflits jusqu'à des procès de déchéance de parentalité à la demande des enfants.

Si j'ai tenu à rédiger tout cela et que j'étais heureux de lire votre analyse non pas de féministe mais d'humaine sur cette question et que je tenais, en ma qualité de personne sans filiation biologique à qui l'on a imposé une filiation d'intention que je refuse, mon point de vue et comment j'analysais cette question avec les mises en exergue effectuées.
Je ne prétends pas détenir la vérité mais simplement à exprimer comment un individu à qui on a volé son identité biologique délibérément malgré, je n'en doute pas de bonnes intentions initiales, comment une personne directement concerné par ce sujet peut à la fois être en accord avec l'asservissement techno-reproductif que vous avez explicité et en même temps avoir un avis quelque peu décalé sur le sujet puisque nous ne partageons pas les mêmes cardinaux dans l'analyse.

Cordialement.









La PMA n’est pas une victoire féministe

C’est sans grande surprise que l’Assemblée nationale a voté l’ouverture de la PMA aux femmes célibataires et aux couples lesbiens ce vendredi 27 septembre. Ce vote, célébré par moult effusions de joie, est décrit comme une « grande avancée » pour les femmes. Les associations féministes et LGBT, qui ont grandement porté ce projet de loi, s’accordent sur le sujet : la PMA est une question d’égalité sociale, une mesure féministe qui permet aux femmes de contrôler leur fertilité comme elles l’entendent. Elle serait un moyen de sortir du « modèle hétéro-patriarcal » qui veut qu’il faille un homme pour élever un enfant et former une famille.
Pour l’opinion progressiste, ceux qui s’y opposent sont soit des fidèles éparpillés de feu la Manif pour Tous, soit des droitistes rétrogrades et homophobes. Dans tous les cas, s’opposer à la PMA, c’est prendre le risque d’être remis à sa place par les partisans du progrès, qui semblent malheureusement croire que tout ce qui est innovant et fondamentalement opposé aux modèles et aux principes du passé constitue un progrès moral. À ce progrès s’oppose la droite conservatrice et traditionnelle, qui ne serait qu’un frein aux avancées de l’humanité puisqu’elle cherche à nous maintenir dans l’obscurité des cavernes de l’âge primitif. Dans Marianne, Jacques Julliard écrit :

La suite

7 oct. 2019

France : Pourquoi les féministes françaises regardent ailleurs quand les hommes meurent ?

 La perversion de la cité commence par la fraude des mots
Platon



Pour ceux qui n'écoutent que les féministes françaises, cette réalité n'existe pas. En effet, les féministes françaises sont connues pour dénoncer le patriarcat et ne choisir que des exemples qui vont dans le sens de leurs théories fallacieuses telles des religieuses cherchant des signes d'existence d'un Dieu.



Aussi bien pour le mythe des féminicides qui devraient s'appeler Uxoricides pour être exact mais qui obligeraient les féministes françaises à prendre en considération non par les violences faites aux femmes mais les violences conjugales dans leur globalité et leur complexité.
A savoir que lors de la mort d'un des deux conjoints, pour les féministes, tout est meurtre. Ainsi, un homme qui se suicide par immolation causant l'incendie de la maison où il se trouve, la femme meurt à cause de l'incendie. Les féministes considèrent le suicide de cet homme comme un féminicide car la femme est morte après. Dans le cadre des morts lors de violences conjugales, les féministes françaises font l'impasse aussi bien sur le fait qu'un homme est tué par sa femme tous les 13 jours en France que sur les viols de lesbiennes par leur conjointe ou les viols d'hommes par des femmes. Et pour conclure sur ce point : 70% des affaires de mort suite à des violences conjugales, la femme est à l'origine des violences. Silence des féministes. Quand la réalité ne leur plait pas, elles ne communiquent pas dessus. Les religieuses féministes n'aiment pas le réel, elles préfèrent le déni.


Yann Carrière, psychologue clinicien, présente son ouvrage, "Du sexisme au fascisme ?".
Un recueil de 7 textes axant la réflexion sur le traitement différencié des hommes et des femmes dans notre société occidentale depuis plusieurs décennies. Une critique sans concession du militantisme féministe moderne qui amène à opposer les femmes aux hommes, accompagnée d'une analyse singulière des mécanismes psychologiques qui sous-tendent ces prises de position et de ses effets sur nos croyances et attitudes quant à la situation actuelle des femmes.
Au menu :
5:24 - Pourquoi le terme fascisme n'est pas trop fort pour désigner le féminisme
11:36 - La suppression de l'identité de genre (et par extension, des différences remarquables) comme outil de purification fasciste de la société
19:36 - Comment le contrôle de la définition de l'égalité par le féminisme lui permet d'écraser l'égalité de droit par son idéologie
23:23 - Construire l'image de "l'ennemi": cas d'usage avec les violences conjugales et les inégalités salariales

Concernant le travail où les féministes françaises ne cessent de crier aux inégalités. Là, encore leur aveuglement est formidable. Les inégalités salariales ne sont que de 4% entre hommes et femmes et résultent le plus souvent d'un choix de vie et non d'une discrimination.
A savoir que les études montrent que les temps partiels majoritairement féminins sont choisis par les femmes et non subis, que les absences au travail plus importantes chez les femmes ce qui fait qu'elles sont moins productives que les hommes et elles négocient moins leur salaire que les hommes. Quand on demande à une femme si elle préfère un temps partiel ou un temps plein, elle répond un temps partiel comme l'a démontré une étude américaine récemment. 
Mais concernant le travail, une violence que taisent les féministes est celle de la mort au travail. Tant la presse fait ses choux gras quand une directrice d'école se suicide au travail mais rien quand plus de 200 hommes font la même chose.

A ce titre, le saviez-vous ?

Le taux de suicide des garçons et des filles agés de moins de 10 ans le même.

Entre 10 et 14 ans : le taux de suicide est deux fois supérieur pour les garçons.
Entre 15 et 19 ans : le taux de suicide est quatre fois supérieur pour les garçons.
Entre 20 et 25 ans : le taux de suicide est cinq fois supérieur pour les garçons.

Les féministes préfèrent axer leur communication sur les tentatives de suicide des femmes et non sur les morts des hommes. Elles se prétendent humanistes, comble du cynisme.
 

Pour conclure sur les morts des accidents du travail sont plus que majoritairement des hommes, silence radio des féministes françaises : Une cartographie des morts au travail. (2 femmes pour plus de 250 hommes)


Concernant nos affirmations, comme nous savons que les féministes françaises rétorqueront que c'est faux,0 voici trois vidéos pour expliquer les manipulations des féministes françaises et les sources des études nous permettant d'écrire nos affirmations !

Uxoricides


L'écart de salaires


Les viols d'hommes par les femmes 

6 oct. 2019

PMA / GPA : Les impacts sur les enfants que la France préfère ignorer face au chantage des LGBT français


Impact sur les enfants

Selon David Blankenhorn , [20] Patrick Fagan , [21] Mitch Pearlstein [22], David Popenoe [23] et Barbara Dafoe Whitehead [24] , le fait de vivre dans une famille monoparentale est fortement corrélé à l'échec scolaire et aux problèmes de délinquance, de drogue utilisation, grossesses précoces, pauvreté et dépendance à l’aide sociale aux États-Unis. En utilisant une modélisation à plusieurs niveaux, Suet-Ling Pong a montré qu’une forte proportion d’enfants américains issus de familles monoparentales obtenaient de piètres résultats en tests de mathématiques et en lecture. [25] [26]
 
En Suède, Emma Fransson et al. ont montré que le bien-être physique, la santé mentale, l’amitié entre amis, l’intimidation, les activités culturelles, les sports et les relations familiales des enfants vivant avec un seul parent étaient plus dégradés que ceux des enfants de familles intactes. En revanche, les enfants bénéficiant d'un partage des responsabilités parentales qui vivent à peu près autant que leurs père et mère divorcés jouissent du même bien-être que les enfants de familles intactes et obtiennent de meilleurs résultats que les enfants avec un seul parent gardien. [27]
 
L' Office des statistiques nationales du Royaume-Uni a signalé que les enfants de parents célibataires, après contrôle d'autres variables telles que le revenu familial, sont plus susceptibles d'avoir des problèmes, notamment deux fois plus susceptibles de souffrir de maladie mentale. Des chercheurs britanniques et américains ont montré que les enfants sans père étaient trois fois plus susceptibles d’être malheureux et qu’ils étaient également plus susceptibles d’avoir un comportement antisocial, d’abuser de la drogue et de se livrer à la délinquance juvénile. [29] [30] [31] [32]

Wikipedia 

A cela, il faut rajouter l'effet Cendrillon :

Les "parents d'intention" non biologiques sont plus violents que les parents biologiques. Pour 1 violence pour 1000 parents biologiques, l'étude Daly et Wilson montre 12 violences pour 1000 parents non biologiques. La même étude montre que dans les familles recomposées, les "parents d'intention" sont plus violents avec leurs enfants non biologiques qu'avec leurs enfants biologiques. Vous pouvez également lire l'étude de Boris Cyrulnik sur la biologie de l'attachement. puisque ce monsieur est le maitre à penser des 1000 premiers jours de l'enfant depuis l'action lancée par la présidence française Macron

Et pour conclure, sur les impacts et violences sur les enfants, il faut rajouter les violences conjugales qui sont plus importantes dans les couples de lesbiennes que dans les couples d'hétérosexuels et d'homosexuels hommes comme l'a démontré la CDC, l'équivalent de l'Insee au Canada. 
Une femme lesbienne a 44% de probabilités d'être violée par sa compagne. Une femme bisexuelle, 56% d'être violée par sa compagne et une femme hétérosexuelle  a 35% de probabilités d'être violée par son compagnon.

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