Bonjour et bienvenue

Rechercher

8 avr. 2020

#LLDDF : Covid-19, le virus de la destruction créative.



Avec le Covid-19, tous les mouvements avec un mode de fonctionnement sectaire étaient sur le qui-vive. L'aliénation mentale faisait son œuvre. Cela était observable et remarquable partout. Les chaînes de télévision, la presse écrite, les équipes gouvernementales et les partis politiques pour citer les plus emblématiques. Il fallait comprendre les mécanismes de l'aliénation mentale pour saisir les argumentations mises en place, le conformisme et le biais de normalité qui s’exacerbaient dans les esprits. Chacun y allait de sa prétendue démonstration, de son exemple, de sa scientificité et démontrait, ainsi, comment la raison et la logique avaient quitté la France et les Français. 

L'aliénation parentale, par exemple, s'exprimait par l'influence d'un parent sur l'enfant afin que ce dernier ressente peur, dégoût ou colère à l'égard de l'autre parent. Le recours à des faux souvenirs ou de faux abus était également fréquent pour dénigrer et faire haïr l'autre. Des messages répétitifs étaient alors déployés contre l'autre parent, ils avaient pour fonction de limiter les contacts et la communication, d'effacer la valeur et l'autorité de l'autre, d'encourager l'enfant à trahir la confiance du parent ciblé par cette mécanique vénéneuse. Sans être dans une secte identifiée comme telle, de nombreux parents lors de séparation et pour l'obtention de la garde des enfants mettaient en place inconsciemment, consciemment ou sur conseils d'associations à subventions publiques cette stratégie sectaire afin d'obtenir le résultat souhaité. Une étude canadienne avait montré que dans le cas d'accusations de violences sexuelles contre le père, les mères avaient menti dans 50 % des cas afin d'obtenir la garde des enfants lors d'un divorce.

Si dans cet exemple, la mécanique d'aliénation mentale se comprenait aisément, elle était identifiable dans les mouvements féministes avec la fausse accusation contre un patriarcat européen imaginaire, le désir d'essentialiser les femmes comme meilleures gouvernantes et meilleures défenseuses des droits des femmes quand la réalité avec une observation scientifique montrait que les droits des femmes avaient toujours été mieux défendus d'une part avec les hommes et d'autre part avec des personnes compétentes qui n'étaient pas dans l'essentialisme. Quand Marlène Schiappa écrivait qu'elle faisait de la diplomatie féministe et était heureuse d'enfin pouvoir travailler avec une cheffe de gouvernement scandinave, elle oubliait les lois anti-prostitution scandinaves générant plus de violences contre les femmes, la haine développée et entretenue par les féministes à l'égard des hommes engendrant encore plus de violences conjugales de haute intensité, l'aliénation mentale faisait que les jeunes adolescents tentaient davantage de suicides suite à ces discours, les garçons avaient de moindre résultats scolaires génération après génération de politique féministe.
Dans les cours de Sciences de la Vie et de la Terre de l’Éducation Nationale, les sociologues étaient convoquées pour expliquer le genre, la biologie était niée par les sociologues, l'identité et les stéréotypes liés au sexe étaient effacés par la gangrène féministe et leur idéologie de l'identité de genre. Tant dans le contenu des cours que dans la manière de les animer, l'échec scolaire et la baisse de niveau étaient le bilan féministe pédagogique en France, les institutrices et professeures recherchaient leurs éternels bouc-émissaires comme elles n'étaient responsables de rien, des chèvres cherchant leur bouc.

L'aliénation mentale s'observait également dans les discours et propositions sur le jour d'après du coronavirus où si le capitalisme et le libéralisme étaient mis en joue par différents apôtres de la sphère écologiste préférant une plus grande pollution avec des éoliennes qu'avec des centrales nucléaires, de la sphère de l'extrême-gauche préférant la lutte des races à la lutte des classes en défendant et promouvant ainsi le concept de races humaines, ou de la sphère des auto-proclamés humanistes niant toute idée de diversité et de pluralisme d'interprétation comme le Printemps Républicain, l'étude des paysages économiques des différents pays confrontés au covid-19 aurait du les éclairer sur ceux s'en sortant le mieux et rendant caduques la plupart de leurs argumentaires reposant uniquement sur des croyances perpétuées par une aliénation mentale massive, une perte du sens critique et de la culture scientifique. Une incapacité à comprendre le réel comme Aristote persuadé de l'immobilité de la Terre car la pomme tombait à la verticale. Il ne savait pas observer et  comprendre le réel.

Avec le Covid-19, les Français prenaient conscience qu'ils n'avaient pas le meilleur système de santé du monde, ni n'offraient la meilleure protection sociale aux plus démunis en période de pandémie, leurs gouvernants leur avaient menti et mettaient en place actuellement un discours pour se montrer les sauveurs aux yeux des benêts. 

Et pendant cette crise majeure, les journalistes s'interrogeaient sur la place de l'homme de plus de 50 ans, celui qui mourrait le plus du covid-19 mais l'aliénation était telle que les femmes françaises se présentaient en premières victimes. Tout comme avec l'attentat terroriste dans la Drome, la presse et quelques journalistes allaient même jusqu'à rédiger des articles où l'on pouvait croire que le terroriste ayant égorgé plusieurs personnes était, en fait, la victime d'un patriarcat blanc, ce soudanais disait fuir pour des questions de sécurité son pays. Il avait mal vécu d'être confiné, il aurait décompensé en coupant des gorges au cri d'Allahu Akbar.

Coronavirus et produit en croix, le féminisme et les mathématiques

La pauvreté de l'explication proposée par les journalistes tenait, d'abord, à la pauvreté linguistique, à la maîtrise de quelques 600 mots quand il en aurait fallu 6 000 pour conceptualiser, comprendre et argumenter. Ce manque de ressources ne permettait plus d'explorer de nouveaux territoires, de reconnaître différences, divergences et oppositions, d'identifier l'humanité commune. Quand la négociation linguistique n'est plus possible en raison d'un manque de ressources, la violence ne peut être différée, chaque territoire se transforme en ghetto indifférent au verbe où seule la barbarie peut surgir.

De même, face au manque de ressources en raison des modes de production comme de consommation, le Covid-19 avec son exigence de pause permettait à chacun d'avoir le temps de la réflexion, de se voir et de voir l'autre dans un quotidien confiné où l'ennui redevenait une valeur ajoutée comme l'écrivait, en son temps, Antoine de la Garanderie, où l'arrêt des déplacements aériens, ferroviaires, automobiles et piétons faisait que le bruit sismique était plus faible, la pollution disparaissait, le ciel redevenait bleu comme une orange, les achats étaient plus essentiels, moins superficiels. Les gens se retrouvaient avec ce qu'ils étaient. La destruction en cours des méta-croyances faisait naître autre chose, la destruction créative chère à Schumpeter. 

Si les mensonges de l'oligarchie financière faisaient les révoltes populaires, les mensonges du féminisme faisaient les violences conjugales et augmentaient l'aliénation des jeunes générations, et ce couplage et inter-couplage participaient à l'aveuglement scientifique, renforçaient les croyances radicales, et participaient aux automimétismes observables dans les divers cercles des entre-soi qu'ils soient féministes, religieux ou financiers. Ils ne pouvaient  aboutir qu'à la liquidation des institutions et de la démocratie représentative où les femmes seraient les grandes perdantes des combats féministes comme les croyants sécularisés étaient les perdants des combats des orthodoxes religieux comme les capitalistes et libéraux étaient les perdants des combats des ultralibéraux.
Le jeu de dominos mis en place s'écroulait inévitablement. La solidarité mécanique qui tenait grâce aux institutions faisait place, à nouveau, à la solidarité organique des sociétés considérées comme primitives car elles prenaient soin des aînés en sacrifiant quelques libertés, car elles prenaient en charge les malades en sacrifiant quelques loisirs, car à défaut d'une institution solidaire comme la sécurité sociale, la famille faisait œuvre de sa responsabilité, elles prenaient en charge les enfants comme les grands-parents. 
Personne n'avait pris en charge les mères célibataires ayant tout mis en œuvre pour garder leurs enfants sans solidarité organique mais en exigeant la solidarité collective. Les féministes étaient trop occupées à se badigeonner le visage de leurs menstruations, à se battre contre l'homme blanc de plus de 50 ans, à entretenir leurs mythes et croyances avec leurs réunions en non-mixité. 

Fuir le réel ne permettait pas d'échapper à la réalité telle était la leçon du Covid-19, fuir les sciences ne faisait qu'entrer plus violemment dans un monde régit par des croyances diverses. Le choc avait été sanglant pour les croyances françaises qui égalaient les croyances des religieux les plus orthodoxes.

Bien sûr, la génération suivante encore polluée de ces mythes continuerait à payer un fort tribut humain mais l'humanité continuerait comme elle l'avait toujours fait. Elle inventerait, améliorerait le quotidien et regarderait les post-modernistes comme elle regardait les tribus primitives dans les musées avec nostalgie et rires étouffés.

Pendant cette destruction en cours, les violences mimétiques avaient augmenté comme à chaque crise civilisationnelle, c'était le prix à payer d'entretenir depuis les plus hauts sommets de l’État une aliénation sociétale en donnant la parole aux croyants sans éthique, aux idéologues scientistes motivés par leur seule gloire personnelle.
Quelle trace dans l'histoire, quelle douce ironie. Le dernier français pouvait être lapidé, il avait bien vécu, heureux de faire un nouveau voyage dans l'inconnu.

#Odin : Il faut marcher pour apprendre, il faut voler pour comprendre.
L'omelette est bonne, non parce que les œufs ont été cassés mais parce qu'elle a été mangée.

Si l'anthropologue français Claude Levy-Strauss avait posé avec Les structures élémentaires de la parenté et La pensée sauvage le concept de coévolution Gène-Culture où comme il l'écrivait : « Chaque culture sélectionne des aptitudes génétiques qui, par rétroaction, influencent la culture qui avait initialement contribué à les renforcer », l'Homme était le seul animal terrestre, le seul singe, n'en déplaise à Christiane Taubira, capable de créer son environnement pour ensuite devoir s'y adapter en fonction des maisons, des routes, des langues, des religions, des classes sociales, des modes d'organisation de l'espace et du temps, ... Il avait fallu attendre l'émergence des socio-biologistes pour compléter ses travaux avec la prise en considération non plus des seules Génétique et Culture mais aussi de l'Epigénétique et de l'Environnement.
Ainsi, à titre d'exemple valant anodin symbolique, les structures familiales influaient sur les taux de testostérone et d’œstrogène faisant qu'homme comme femme étaient plus ou moins violents, agressifs, grands ou musclés et leur société plus ou moins évoluée, plus ou moins pacifiée. Mais comme la biologie était considérée de plus en plus comme une construction sociale tout comme l'identité de genre niait la réalité biologique, le déclin était inévitable. Une autre civilisation allait pouvoir se développer, l'humanité pouvait, enfin, faire un nouveau pas vers un autre horizon des possibles et de mieux comprendre les mécanismes de la sélection sexuelle  ayant abouti, entre autre,  à la création de l'homme européen à la peau blanche, aux cheveux roux et aux yeux bleus jusqu'à comprendre le parcours génétique créant cet homme ordinaire à la peau noire et aux yeux vairons, Siegfried, le Maître des Assassins, un agent M de niveau 8.



Les épisodes précédents :

https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais_12.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais-des.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais-les.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais-de.html 
https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais-de.html

https://code7h99.blogspot.com/2020/01/la-lapidation-du-dernier-francais-de_29.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/02/la-lapidation-du-dernier-francais-grace.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/02/la-lapidation-du-dernier-francais.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/02/la-lapidation-du-dernier-francais-la.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/02/la-lapidation-du-dernier-francais-des.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/02/llddf-cesar2020-le-cesar-de-la-taqiya.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/03/llddf-8-mars-2020-journee-du-droit-de.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/03/llddf-la-derniere-lecon-duniversalisme.html

https://code7h99.blogspot.com/2020/03/llddf-covid-19-les-elections.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/03/llddf-covid-19-les-elites-francaises.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/03/lldf-conspiracy-watch-et-les-decodeurs.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/03/llddf-covid-19-le-proces-du-president.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/03/llddf-covid-19-et-protection-de.html
https://code7h99.blogspot.com/2020/04/llddf-covid-19-et-lenfant-bleu.html

 




Aucun commentaire:

Articles les plus lus