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8 avr. 2020

#LLDDF : Covid-19, le virus de la destruction créative.



Avec le Covid-19, tous les mouvements avec un mode de fonctionnement sectaire étaient sur le qui-vive. L'aliénation mentale faisait son œuvre. Cela était observable et remarquable partout. Les chaînes de télévision, la presse écrite, les équipes gouvernementales et les partis politiques pour citer les plus emblématiques. Il fallait comprendre les mécanismes de l'aliénation mentale pour saisir les argumentations mises en place, le conformisme et le biais de normalité qui s’exacerbaient dans les esprits. Chacun y allait de sa prétendue démonstration, de son exemple, de sa scientificité et démontrait, ainsi, comment la raison et la logique avaient quitté la France et les Français. 

L'aliénation parentale, par exemple, s'exprimait par l'influence d'un parent sur l'enfant afin que ce dernier ressente peur, dégoût ou colère à l'égard de l'autre parent. Le recours à des faux souvenirs ou de faux abus était également fréquent pour dénigrer et faire haïr l'autre. Des messages répétitifs étaient alors déployés contre l'autre parent, ils avaient pour fonction de limiter les contacts et la communication, d'effacer la valeur et l'autorité de l'autre, d'encourager l'enfant à trahir la confiance du parent ciblé par cette mécanique vénéneuse. Sans être dans une secte identifiée comme telle, de nombreux parents lors de séparation et pour l'obtention de la garde des enfants mettaient en place inconsciemment, consciemment ou sur conseils d'associations à subventions publiques cette stratégie sectaire afin d'obtenir le résultat souhaité. Une étude canadienne avait montré que dans le cas d'accusations de violences sexuelles contre le père, les mères avaient menti dans 50 % des cas afin d'obtenir la garde des enfants lors d'un divorce.

Si dans cet exemple, la mécanique d'aliénation mentale se comprenait aisément, elle était identifiable dans les mouvements féministes avec la fausse accusation contre un patriarcat européen imaginaire, le désir d'essentialiser les femmes comme meilleures gouvernantes et meilleures défenseuses des droits des femmes quand la réalité avec une observation scientifique montrait que les droits des femmes avaient toujours été mieux défendus d'une part avec les hommes et d'autre part avec des personnes compétentes qui n'étaient pas dans l'essentialisme. Quand Marlène Schiappa écrivait qu'elle faisait de la diplomatie féministe et était heureuse d'enfin pouvoir travailler avec une cheffe de gouvernement scandinave, elle oubliait les lois anti-prostitution scandinaves générant plus de violences contre les femmes, la haine développée et entretenue par les féministes à l'égard des hommes engendrant encore plus de violences conjugales de haute intensité, l'aliénation mentale faisait que les jeunes adolescents tentaient davantage de suicides suite à ces discours, les garçons avaient de moindre résultats scolaires génération après génération de politique féministe.
Dans les cours de Sciences de la Vie et de la Terre de l’Éducation Nationale, les sociologues étaient convoquées pour expliquer le genre, la biologie était niée par les sociologues, l'identité et les stéréotypes liés au sexe étaient effacés par la gangrène féministe et leur idéologie de l'identité de genre. Tant dans le contenu des cours que dans la manière de les animer, l'échec scolaire et la baisse de niveau étaient le bilan féministe pédagogique en France, les institutrices et professeures recherchaient leurs éternels bouc-émissaires comme elles n'étaient responsables de rien, des chèvres cherchant leur bouc.

L'aliénation mentale s'observait également dans les discours et propositions sur le jour d'après du coronavirus où si le capitalisme et le libéralisme étaient mis en joue par différents apôtres de la sphère écologiste préférant une plus grande pollution avec des éoliennes qu'avec des centrales nucléaires, de la sphère de l'extrême-gauche préférant la lutte des races à la lutte des classes en défendant et promouvant ainsi le concept de races humaines, ou de la sphère des auto-proclamés humanistes niant toute idée de diversité et de pluralisme d'interprétation comme le Printemps Républicain, l'étude des paysages économiques des différents pays confrontés au covid-19 aurait du les éclairer sur ceux s'en sortant le mieux et rendant caduques la plupart de leurs argumentaires reposant uniquement sur des croyances perpétuées par une aliénation mentale massive, une perte du sens critique et de la culture scientifique. Une incapacité à comprendre le réel comme Aristote persuadé de l'immobilité de la Terre car la pomme tombait à la verticale. Il ne savait pas observer et  comprendre le réel.

Avec le Covid-19, les Français prenaient conscience qu'ils n'avaient pas le meilleur système de santé du monde, ni n'offraient la meilleure protection sociale aux plus démunis en période de pandémie, leurs gouvernants leur avaient menti et mettaient en place actuellement un discours pour se montrer les sauveurs aux yeux des benêts. 

Et pendant cette crise majeure, les journalistes s'interrogeaient sur la place de l'homme de plus de 50 ans, celui qui mourrait le plus du covid-19 mais l'aliénation était telle que les femmes françaises se présentaient en premières victimes. Tout comme avec l'attentat terroriste dans la Drome, la presse et quelques journalistes allaient même jusqu'à rédiger des articles où l'on pouvait croire que le terroriste ayant égorgé plusieurs personnes était, en fait, la victime d'un patriarcat blanc, ce soudanais disait fuir pour des questions de sécurité son pays. Il avait mal vécu d'être confiné, il aurait décompensé en coupant des gorges au cri d'Allahu Akbar.

Coronavirus et produit en croix, le féminisme et les mathématiques

La pauvreté de l'explication proposée par les journalistes tenait, d'abord, à la pauvreté linguistique, à la maîtrise de quelques 600 mots quand il en aurait fallu 6 000 pour conceptualiser, comprendre et argumenter. Ce manque de ressources ne permettait plus d'explorer de nouveaux territoires, de reconnaître différences, divergences et oppositions, d'identifier l'humanité commune. Quand la négociation linguistique n'est plus possible en raison d'un manque de ressources, la violence ne peut être différée, chaque territoire se transforme en ghetto indifférent au verbe où seule la barbarie peut surgir.

De même, face au manque de ressources en raison des modes de production comme de consommation, le Covid-19 avec son exigence de pause permettait à chacun d'avoir le temps de la réflexion, de se voir et de voir l'autre dans un quotidien confiné où l'ennui redevenait une valeur ajoutée comme l'écrivait, en son temps, Antoine de la Garanderie, où l'arrêt des déplacements aériens, ferroviaires, automobiles et piétons faisait que le bruit sismique était plus faible, la pollution disparaissait, le ciel redevenait bleu comme une orange, les achats étaient plus essentiels, moins superficiels. Les gens se retrouvaient avec ce qu'ils étaient. La destruction en cours des méta-croyances faisait naître autre chose, la destruction créative chère à Schumpeter. 

Si les mensonges de l'oligarchie financière faisaient les révoltes populaires, les mensonges du féminisme faisaient les violences conjugales et augmentaient l'aliénation des jeunes générations, et ce couplage et inter-couplage participaient à l'aveuglement scientifique, renforçaient les croyances radicales, et participaient aux automimétismes observables dans les divers cercles des entre-soi qu'ils soient féministes, religieux ou financiers. Ils ne pouvaient  aboutir qu'à la liquidation des institutions et de la démocratie représentative où les femmes seraient les grandes perdantes des combats féministes comme les croyants sécularisés étaient les perdants des combats des orthodoxes religieux comme les capitalistes et libéraux étaient les perdants des combats des ultralibéraux.
Le jeu de dominos mis en place s'écroulait inévitablement. La solidarité mécanique qui tenait grâce aux institutions faisait place, à nouveau, à la solidarité organique des sociétés considérées comme primitives car elles prenaient soin des aînés en sacrifiant quelques libertés, car elles prenaient en charge les malades en sacrifiant quelques loisirs, car à défaut d'une institution solidaire comme la sécurité sociale, la famille faisait œuvre de sa responsabilité, elles prenaient en charge les enfants comme les grands-parents. 
Personne n'avait pris en charge les mères célibataires ayant tout mis en œuvre pour garder leurs enfants sans solidarité organique mais en exigeant la solidarité collective. Les féministes étaient trop occupées à se badigeonner le visage de leurs menstruations, à se battre contre l'homme blanc de plus de 50 ans, à entretenir leurs mythes et croyances avec leurs réunions en non-mixité. 

Fuir le réel ne permettait pas d'échapper à la réalité telle était la leçon du Covid-19, fuir les sciences ne faisait qu'entrer plus violemment dans un monde régit par des croyances diverses. Le choc avait été sanglant pour les croyances françaises qui égalaient les croyances des religieux les plus orthodoxes.

Bien sûr, la génération suivante encore polluée de ces mythes continuerait à payer un fort tribut humain mais l'humanité continuerait comme elle l'avait toujours fait. Elle inventerait, améliorerait le quotidien et regarderait les post-modernistes comme elle regardait les tribus primitives dans les musées avec nostalgie et rires étouffés.

Pendant cette destruction en cours, les violences mimétiques avaient augmenté comme à chaque crise civilisationnelle, c'était le prix à payer d'entretenir depuis les plus hauts sommets de l’État une aliénation sociétale en donnant la parole aux croyants sans éthique, aux idéologues scientistes motivés par leur seule gloire personnelle.
Quelle trace dans l'histoire, quelle douce ironie. Le dernier français pouvait être lapidé, il avait bien vécu, heureux de faire un nouveau voyage dans l'inconnu.

#Odin : Il faut marcher pour apprendre, il faut voler pour comprendre.
L'omelette est bonne, non parce que les œufs ont été cassés mais parce qu'elle a été mangée.

Si l'anthropologue français Claude Levy-Strauss avait posé avec Les structures élémentaires de la parenté et La pensée sauvage le concept de coévolution Gène-Culture où comme il l'écrivait : « Chaque culture sélectionne des aptitudes génétiques qui, par rétroaction, influencent la culture qui avait initialement contribué à les renforcer », l'Homme était le seul animal terrestre, le seul singe, n'en déplaise à Christiane Taubira, capable de créer son environnement pour ensuite devoir s'y adapter en fonction des maisons, des routes, des langues, des religions, des classes sociales, des modes d'organisation de l'espace et du temps, ... Il avait fallu attendre l'émergence des socio-biologistes pour compléter ses travaux avec la prise en considération non plus des seules Génétique et Culture mais aussi de l'Epigénétique et de l'Environnement.
Ainsi, à titre d'exemple valant anodin symbolique, les structures familiales influaient sur les taux de testostérone et d’œstrogène faisant qu'homme comme femme étaient plus ou moins violents, agressifs, grands ou musclés et leur société plus ou moins évoluée, plus ou moins pacifiée. Mais comme la biologie était considérée de plus en plus comme une construction sociale tout comme l'identité de genre niait la réalité biologique, le déclin était inévitable. Une autre civilisation allait pouvoir se développer, l'humanité pouvait, enfin, faire un nouveau pas vers un autre horizon des possibles et de mieux comprendre les mécanismes de la sélection sexuelle  ayant abouti, entre autre,  à la création de l'homme européen à la peau blanche, aux cheveux roux et aux yeux bleus jusqu'à comprendre le parcours génétique créant cet homme ordinaire à la peau noire et aux yeux vairons, Siegfried, le Maître des Assassins, un agent M de niveau 8.



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2 avr. 2020

#LLDDF : Covid-19 et l'enfant bleu



Depuis Hans Asperger, rien n'avait changé. Si la première définition officielle de l'autisme avait été élaborée par Léo Kanner en 1943 où trois traits caractéristiques devaient être identifiés pour poser le diagnostique d'autisme comme le désir de solitude, l'aspiration à l'absence de changement et l'anormalité du langage, il mettait également en exergue des problèmes relationnels entre l'enfant autiste et les parents. Quand Bruno Bettelheim rédige La forteresse vide en 1967, l'intrication de la psychanalyse est à son maximum, les enfants devaient être éloignés de leur famille considérée comme pathogène et être accueillis au sein de structures psychiatriques. Il faudra attendre le début du 21e siècle, en 2010 pour une remise en cause de cette approche psychanalytique notamment par des associations de parents et l'enfant autiste sera considéré comme ayant des troubles envahissants du développement, l'expression spectre autistique se répand au sein du monde médical et populaire.

De la vision de l'autrichien travaillant pour le régime nazi préconisant l'extermination des déficients mentaux à l'exception des Asperger pour leur utilité à la mise à l'écart dans des structures psychiatriques, l'autiste était toujours un sujet socio-politique exclu du monde commun. Pour le chercheur Franck Ramus, directeur de recherche au CNRS en sciences cognitives, les autistes pouvaient être le fer de lance d'une refondation des traitements psychiatriques avec une analyse critique de la psychanalyse et de ses arguments d'autorité, de créer un nouveau manifeste pour une psychiatrie et une psychologie basées sur des preuves scientifiques. Les autistes notamment Asperger avaient beau expliquer qu'ils ne souhaitaient pas être rééduqués, ni devoir renormaliser leurs comportements, les psychiatres et psychologues notamment constructivistes issus de l'école Palo Alto et des travaux de Bateson exigeaient d'imposer des méthodes comportementalistes sur les autistes indépendamment de toute éthique. Ils étaient dans le même travers que les psychanalystes accusant les mères d'être responsables de l'autisme, ils se basaient sur leurs croyances illusoires pour rendre l'autre conforme à leur vision du monde.

Quand la femme du Président de la République Française, Brigitte Macron décida que l'autisme et les autistes devaient être mieux considérés, il s'agissait avant tout de mieux prendre en charge les seuls autistes Asperger, de les démarquer encore des autres autistes et du reste de la population. Il serait dommage que la société ne bénéficie pas de leur intelligence, ne profite pas de leur valeur ajoutée. Ainsi, sous couvert de cette fausse bienveillance répandue dans les mouvements féministes français, il était demandé d'être bienveillant avec les Asperger, d'adopter un comportement différent, de les traiter différemment, et donc de continuer à les stigmatiser encore plus. Ils étaient intelligents, ils avaient droit au respect de l'autre. Peu importe si les autres autistes étaient toujours maltraités dans les institutions psychiatriques françaises, seuls compter les Asperger comme au temps des nazis.

Il fallait voir sur Twitter pendant cette période de confinement qui n'avait rien d'exceptionnelle pour les autistes toujours emmurés dans leur monde, les messages suite à la journée des enfants bleus. Une injonction à la bienveillance qui serait remplacée le lendemain par une autre injonction envers d'autres populations qui n'étaient pas conformes à la majorité. 
Cette même société française dont la devise était l'égalité s'était perdue dans les chemins de la raison. D'une égalité des droits, la France exigeait que tous les français soient identiques, des clones où les handicapés, les déficients mentaux ou intellectuels devaient être montrés du doigt, se montrer en qualité de différents des autres pour avoir droit à de la bienveillance, être respectés, finalement être traités autrement que les autres. 
L'absurdité et le paradoxe français dans toute sa splendeur. L'enfant bleu n'était plus un humain avec ses spécificités mais un autre différent des autres, un neuro-atypique qui ne pouvait plus avoir de commun avec les autres. Sa ressemblance, ses points communs avec l''humanité n'étaient plus envisagés, son particularisme faisait que la société l'excluait du monde commun, il était bleu, à traiter avec bienveillance, à suivre des programmes comportementaux de rééducation comme dans des camps chinois sous Mao. Tel était l'état de l'humanisme en France en cette journée dédiée aux enfants bleus.

Même s'il existait de nombreux travaux sur la qualité de vie quant à la place à accorder à la subjectivité des personnes concernées, sur comment appréhender le bien-être en fonction des âges, des contextes de la vie qu'ils soient médicaux, thérapeutiques, institutionnels, professionnels, ... , la littérature sur l'autisme était essentiellement issue des universités en sociologie et en philosophie avec tous leurs biais et croyances diverses qui participaient, in fine, à refuser  autant le réel des autistes que d'accepter la diversité et l'altérité sans raison médicale.

Si l'empathie, en sa qualité de compréhension des sentiments, des intentions et cognitions d'autrui,  était une expérience décisive dans les interactions quotidiennes de tout à chacun, ses usages sociaux différenciés notamment à l'égard des Autistes et plus particulièrement des Asperger en cette journée de l'enfant bleu posait le problème moral induit par l'écart entre l'immédiateté d'un partage affectif désiré et la volonté d'y associer un contrôle interactionnel asymétrique des sentiments et de l'empathie, elle-même. 
Ainsi, une invisibilisation sociale et individuelle était la conséquence de cette journée de réification, de chosification des personnes autistes dans toute leur diversité avec cet oubli, voire ce déni que cette volonté de contrôle de l'empathie générait mépris et souffrance sociale par une dépossession et déshumanisation d'autrui qui participaient à leur tour à neutraliser l'expérience affective de chacun sur sa propre expérience de l'altérité en lui ordonnant de développer non pas des comportements adaptés en fonction des situations rencontrées mais un comportement normatif à la personne peu importe la situation du moment.

Entre un citadin affairé acceptant de laisser mourir un SDF sur les trottoirs en période de confinement ou pas, un responsable d'entreprise utilisant ses employés comme du personnel corvéable et jetable à merci et un politique décidant de décorer d'une légion d'honneur ou de faire bénéficier d'équipements de protection individuelle le seul personnel médical et non tous les personnels de l'agriculture à la logistique, de la sécurité au travail administratif, ... , indispensables eux-aussi au bien-être d'une société confinée, ils montraient tous que la société française, en période de crise, était toujours à classer la population entre des individus indispensables et méritants d'un côté, et les autres périssables et responsables de leur mort, à faire que les projections empathiques entraîneraient toujours de l'indifférence, produiraient inévitablement de la souffrance et de la distance sociale entre les individus avec des droits différenciés, soit le contraire de la devise française et par là-même sa périclitation comme aucun idéal n'était possible avec une telle différence de traitement, avec une telle déconsidération de l'autre. 

Sans une articulation entre l'histoire singulière et collective, la désaffiliation et la désacculturation étaient les seuls effets produits avec une impossibilité de développer les capacité de penser l'autre et ses idées, d'adhérer au groupe, à la communauté et mouvements divers qui faisaient la France. Cette intentionnalité spécifique de cette journée bleue ne participait qu'à déposséder chacun de ses ressources empathiques, à créer des bourreaux et des victimes. 

Quand 2 + 2 = 4, le reste suivait, chaque être dit bleu le savait mais pour la société des gouvernants 2 + 2 = 5 rien ne pouvait évoluer, rien ne pouvait être construit durablement, tout ne pouvait que s'écrouler tel un château de cartes quand un enfant se voulant Président de la Guerre car il avait ses petits poings serrés face au réel au nom de la bienveillance pour les siens et non de tous les français dans toute leur altérité, dans toute leur magnifique diversité.

Il n'existait pas de parents héroïques dotés de compétences et les autres, ce binarisme entretenu par la femme du Président de la République Française faisait que cette responsabilité transférée aux seuls parents dans leur volonté de faire évoluer l'enfant bleu dans un milieu ordinaire faisait l'impasse sur les définitions de la langue française de l'autonomie et de l'indépendance. La professeure de français Brigitte Macron ignorait la différence entre capacité à faire et capacité à décider, entre indépendance et autonomie. Sans une pluralité de direction, il ne pouvait exister une autonomie pragmatique où les parents comme les enfants auraient des choix, auraient comme tout à chacun un horizon des possibles mais ils leur étaient imposer, sans le dire, en étant hypocrite ou ignorant par le subterfuge de cette pseudo bienveillance d'orienter les parents vers un horizon normatif indéfini, et sans les doter des moyens indispensables à une réussite quelconque, de faire porter aux seuls parents la responsabilité des échecs tout en s'auréolant d'une empathie illusoire.


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29 mars 2020

#LLDDF Covid-19 et Protection de l'Enfance : #NeRienLaisserPasser à la femelle blanche Marlène Schiappa

 

Le 29 mars 2020, le Premier Ministre français Edouard Philippe avait déclaré : « Le moment venu, nous tirerons ensemble les leçons de la crise. Je ne suis pas de ceux qui se défaussent face à leurs responsabilités. Certains pensent savoir parfaitement ce qu’il faudrait faire et n’hésitent pas à formuler des critiques a posteriori. Je leur laisse ce luxe. »


Critiquer la gestion gouvernementale pendant la pandémie Covid-19 était un luxe que les enfants français payaient le prix fort. La secrétaire d’État à l'égalité Homme-Femme, la femelle blanche Marlène Schiappa était aux anges. Elle qui répandait sa vulgarité chaque jour sur twitter était heureuse. Elle profitait de cette pandémie pour continuer à twitter ses croyances féministes. 




Le parcours de cette femelle blanche était éloquent. Elle écrivait des romans érotiques où elle y développait ses fantasmes essentialistes et croyances féministes. Elle était convaincue que la ronde qu'elle était faisait d'elle une meilleure pratiquante des fellations que les autres femmes. Elle se voulait être la Reine des gorges profondes. 
Suite au succès de son blog Maman travaille et de ses compétences en réseaux sociaux, elle était entrée au gouvernement Valls au cabinet de Laurence Rossignol avec qui elle partageait ce même essentialisme qui consistait à réduire les hommes européens à des mâles blancs, à les animaliser pour tenter de croire que les femmes seraient des victimes par nature d'un patriarcat construit socialement par les hommes afin d'avoir un pouvoir hégémonique et de le pérenniser. Rarement autant d'obscurantisme n'avait bénéficié d'autant d'indulgences au plus haut sommet de l’État français pendant que les enfants français confiés à la Protection de l'Enfance étaient maltraités, frappés, violés, abandonnés et réduits à devenir des SDF.

Les études scientifiques avaient beau mettre en lumière l'égalité entre hommes et femmes dans la dynamique des violences conjugales, avaient beau expliquer les moments où les femmes mentaient le plus souvent en accusant leur conjoint de diverses violences notamment lors des périodes de divorce afin d'obtenir la garde des enfants, la femelle blanche Marlène Schiappa refusait cette réalité comme des Imam ou Rabbin orthodoxes refusaient les connaissances de la Science dans l'explication d'un Coronavirus et les moyens de s'en protéger. C'était le même déni scientifique. Seuls les élèments, les faits accréditant les croyances de Marlène Schiappa étaient retenus. Tout le réel était balayé d'un revers de la main avec la même désinvolture que celle du Premier Ministre français.

Cette femelle blanche refusait qu'une femme fasse le choix d'être mère au foyer et puisse s'épanouir, elle refusait qu'un couple décide de lui-même de la répartition des différentes tâches nécessaires à la tenue du foyer et à l'éducation des enfants. Elle refusait la réalité de la biologie et des hormones dans les comportements humains. Elle exigeait que les couples français obéissent à sa vision du monde et s'y conforment. Une dictatrice.
Elle était convaincue que les femmes étaient discriminées au travail par rapport aux hommes même si toutes les études montraient que c'était un fantasme de Marlène Schiappa, les femmes gagnaient moins d'argent car elles travaillaient moins tout simplement et s'engageaient dans des métiers moins rémunérateurs.
Elle était convaincue que les femmes étaient plus exposées que les hommes à des morts violentes quand toutes les statistiques indiquaient que les hommes faisaient des métiers plus dangereux et mouraient davantage au travail comme au foyer que les femmes. Marlène Schiappa ne supportait pas la réalité scientifique ni l'altérité tout comme le fait que les couples lesbiens étaient les couples les plus violents, des couples sans homme, démentant ainsi, encore une fois, la croyance de la femelle blanche Marlène Schiappa sur la violence naturelle des uniques hommes.

Les services ministériels de Marlène Schiappa avaient pondu une analyse en écriture inclusive sur la protection de l'enfance. L'écriture inclusive, l'arme illusoire des féministes blanches  pour lutter contre leur patriarcat imaginaire et les stéréotypes biologiques liés au sexe. Elles étaient persuadées qu'écrire des rapports scientifiques en écriture inclusive préserverait les enfants des violences et tentatives de meurtres de leur mère, responsables à plus de 70 % des infanticides en France. Elles étaient persuadées que la théorie du genre et queer avait une base scientifique quand ce n'était que des travaux littéraires reposant sur des fantasmes, des discussions de salons macronistes avec le pédophile Daniel Cohn-Bendit.
Ainsi, des enfants étaient mutilés en raison des croyances des mouvances transgenres et homosexuelles. Le taux de suicide suite à ces mutilations génitales ne dérangeait pas la femelle blanche Marlène Schiappa. Son seul combat était contre l'excision des filles africaines et non l'ablation des appareils génitaux des enfants européens lors de faux diagnostics de dysphorie de genre.


Les études scientifiques de tous les pays avaient beau montrer qu'une femme seule élevant un enfant faisait que ce dernier aurait plus de problèmes psychiatriques, plus de probabilités de devenir délinquant et d'avoir de moindres résultats scolaires, les femelles blanches comme Marlène Schiappa croyaient dans le pouvoir de l'écriture inclusive pour remédier à cela comme un marabout promet Amour, Santé et Richesse en égorgeant des poulets. 

 #Odin
« Je suis un être humain avant d'être un sexe » 
Marguerite Yourcenar

Les études avaient beau montrer que les parents non biologiques étaient plus violents avec les enfants que les parents biologiques, Marlène Schiappa restait persuadée que la biologie et la parentalité étaient des constructions sociales, une croyance comme Daesh pensait que les sciences étaient une croyance de blancs. Elle avait cela en commun avec les religieux les plus orthodoxes, les plus intégristes. Elle militait pour que n'importe qui puisse se déclarer Parents d'un humain, en fonction de sa seule volonté sans qu'aucun lien biologique n'existe entre les deux. Elle avait horreur du réel.

Les études avaient beau démontrer que l'ultra féminisation des métiers de l'éducation, de la justice et de la protection de l'enfant portait préjudice au développement et à la prise en charge des enfants, la femelle blanche Marlène Schiappa rejetait ces études expliquant qu'il s'agissait là d'une science misogyne et patriarcale. Rarement une telle femelle n'avait alimenté les violences sociétales par une communication massive et dispendieuse et entretenu des préjugés les plus éculés, rarement une secrétaire d’État n'avait contribué autant à la déshérence d'enfants, à massacrer leur identité et leur avenir. 
Son passage dans la Franc-Maçonnerie française n'avait servi que sa quête de pouvoir et non développer sa capacité à réfléchir. Si les Franc-Maçons s'étaient illustrés par le passé en participant à abolir l'esclavage et établir la Laïcité, en 2020, ils étaient devenus des promoteurs de croyances passéistes et d'intégrismes divers nuisibles à la protection de l'Enfance.

Un crime de lèse humanité dans toute sa splendeur tel avait été le bilan de cette femelle blanche, de cette blogueuse qui écrivait des nouvelles érotiques avant sa fuite sur les trottoirs de Manille. 

Pendant qu'un enfant français était violé ou tué chaque semaine, la secrétaire d’État Marlène Schiappa mobilisait les moyens de son cabinet ministériel pour mieux vendre ses livres. Elle n'était pas belle la vie ?



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